Un trafic d’organes au sein de l’ÉI ? | Le Monde de Demain

Un trafic d’organes au sein de l’ÉI ?

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Selon un document récupéré lors d’un raid en Syrie par les forces spéciales américaines, « l’État islamique a ratifié la collecte d’organes humains dans une décision précédente non divulguée par les érudits islamiques du groupe, faisant naître des craintes que ce groupe extrémiste et violent puisse trafiquer des parties de corps humains » (Reuters, 25 décembre 2015).

Le rapport traduit déclare que « la vie et les organes des apostats n’ont pas à être respectés et qu’ils pouvaient être pris en toute impunité […] Les prélèvements de ce type […] ne sont pas interdits » (ibid.). Les prophéties bibliques avaient annoncé longtemps à l’avance qu’à la fin de cette ère, les marchands de la terre achèteraient et vendraient toutes sortes de choses, y compris des « corps, et des âmes d’hommes » (Apocalypse 18 :11-13, Ostervald). Historiquement, ce marché concernait les esclaves ; de nos jours cela concerne des organes.

Les prophéties bibliques rapportent aussi la colère de Dieu contre les peuples d’Édom/Ésaü à cause de leurs atrocités : « À cause de ta violence contre ton frère Jacob, tu seras couvert de honte, et tu seras exterminé pour toujours […] Il te sera fait comme tu as fait » (Abdias 8-10, 15-18 ; Malachie 1 :2-3). Beaucoup d’habitants du Moyen-Orient ont le personnage biblique d’Ésaü pour patriarche, et une partie de ses descendants se trouve aujourd’hui parmi les membres de l’ÉI.

Les atrocités commises au Moyen-Orient – les décapitations, les crucifixions et la collecte d’organes sur les captifs – confirment ces prophéties et nous aident à comprendre pourquoi Jésus-Christ reviendra apporter la paix et la justice au Moyen-Orient et dans le monde entier (Ésaïe 9 :6-7). Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez notre article Guerre sur la « Cité de la Paix ».