Qui est la prostituée de l’Apocalypse ? | Le Monde de Demain

Qui est la prostituée de l’Apocalypse ?

Commenter cet article

Qui est la mystérieuse « prostituée d’Apocalypse 17 ? » Elle constitue un casse-tête pour des millions de gens – et même pour beaucoup de théologiens. Cependant, la parole de Dieu consacre tout un chapitre – et fait de nombreuses allusions ailleurs – à cet important sujet.

Qui que soit cette grande « prostituée », elle est très puissante. Par le passé elle a MARTYRISÉ un nombre incalculable d’êtres humains, et elle le fera encore à l’avenir. Elle aura un impact dramatique sur la vie de chacun d’entre vous qui lisez cet article ! Cette prostituée chevauche un système qui est établi sur beaucoup de nations et de gens : « Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations et des langues » (Apocalypse 17 :15). Et elle continuera à exister jusqu’au second avènement du Christ ! Car la parole de Dieu dit que les « dix cornes », qui représentent dix ROIS (verset 12), s’élèveront à cette époque : « Ils combattront contre l’Agneau, et l’Agneau les vaincra, parce qu’il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi […] Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu ; elles mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu » (versets 14, 16).

Des théologiens modernes et des commentaires bibliques tentent de parler de cette grande prostituée en termes « politiquement corrects ». Par exemple, notez ce commentaire du Expositor’s Bible Commentary, volume 12, pages 553-554 : « En un sens, l’interprétation de ce chapitre détermine l’interprétation de tout le livre de l’Apocalypse. Pour une majorité d’exégètes, Babylone représente la ville de Rome. La bête représente tout l’Empire romain, avec ses provinces assujetties et ses peuples. Les sept collines (verset 9) sont les sept dynasties d’empereurs romains d’Auguste à Domitien. Les dix rois sont les dirigeants d’états plus petits et belliqueux, impatients d’échapper à l’enclavement de la puissance colonisatrice. La prédiction de Jean, sur la chute de Babylone, consiste à annoncer l’imminente dissolution de tous les aspects de l’Empire romain » (C’est nous qui traduisons tout au long de cet article).

Bien que ces érudits puissent être sincères, il est étonnant qu’ils ne semblent ni vouloir ni voir que la « femme » – la grande prostituée – « DIRIGE » la bête (la Babylone moderne). Elle est clairement désignée comme une entité DISTINCTE de la bête – l’Empire avec ses dix rois de la fin, donnant leur puissance et leur autorité à un super dictateur appelé également la « bête ». Il est évident que la femme ne peut pas « conduire » la bête et être simultanément la bête !

Néanmoins, beaucoup d’érudits se rendent compte que la bête d’Apocalypse 17 est l’Empire romain et ses diverses « résurrections ». Pour connaître l’identité étonnante de cette bête d’Apocalypse 17, écrivez-nous pour recevoir un exemplaire gratuit de notre brochure intitulée La bête de l’Apocalypse.

Qui EST cette “femme” ?

Comprenez bien ! À travers le Nouveau Testament, le terme « femme » symbolise une Église. Par exemple, l’apôtre Paul écrit à l’Église de Dieu à Corinthe : « Oh ! si vous pouviez supporter de ma part un peu de folie ! Mais oui, supportez-moi ! Car je suis jaloux de vous d’une jalousie de Dieu, parce que je vous ai fiancés à un seul époux, pour vous présenter à Christ comme une vierge pure » (2 Corinthiens 11 :1-2). Il est clair que la véritable Église est décrite ici comme la « fiancée » de Jésus-Christ – c’est-à-dire comme si elle était une femme fiancée à Jésus-Christ.

Dans Ephésiens 5 :23-25, Paul écrit : « Car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l’Église qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même que l’Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l’être à leur mari en toutes choses. » Ici encore, par analogie, l’Église est clairement identifiée à une femme, à une épouse qui est soumise à son mari, le Christ. Et dans Apocalypse 12 :1-5, nous lisons que la « femme » – l’ancien Israël, l’« ÉGLISE au désert » (Actes 7 :38) – a été utilisée par Dieu pour enfanter le Messie, « un fils, qui doit paître toutes les nations avec une verge de fer ».

Le verset 6 évoque l’histoire de la « femme » – s’agissant ici de la véritable Église du Nouveau Testament – s’enfuyant dans le désert où elle avait un lieu préparé par Dieu ». Le verset suivant rend encore plus évident que cette « femme » est, en fait, la véritable Église de Dieu protégée par Dieu contre la colère de Satan.

Ainsi, lorsque nous arrivons à la « femme » d’Apocalypse 17, il est manifeste que – en laissant la Bible interpréter ses propres symboles – cette femme est, en fait, une Église. En conséquence, cette Église « assise sur une bête écarlate » (verset 3) est véritablement une « prostituée » spirituelle.

Elle s’est prostituée avec les chefs et avec les rois de ce monde (verset 2). Les habitants de la terre sont devenus spirituellement « ivres » de ses faux enseignements. Elle est l’Église « mère » – ayant donné naissance à des « prostituées » spirituelles (verset 5). Et comme cela est indiqué, elle porte un « mystère » comme les anciennes religions païennes qui l’ont précédée.

Une Église QUI PERSECUTE

Cette « femme » est également une grande Église qui PERSECUTE. Car l’apôtre Jean a écrit : « Je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement » (verset 6).

Pensez à cela !

Qui est cette grande femme déchue – une Église puissante – qui fut et qui sera encore « ivre du sang des SAINTS » ? Manifestement, elle persécute les vrais chrétiens – les véritables « saints » de Dieu. Ils sont décrits dans Apocalypse 14 :12 : « C’est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. »

À l’inverse de l’Église qui garde les commandements de Dieu, cette grande Église apostate et ses Églises « filles » REJETTENT l’obligation d’observer les Dix Commandements en tant que MODE de vie ! D’une manière ou d’une autre, dans leur ivresse spirituelle, elles s’arrangent pour raisonner autour des enseignements clairs et entiers de Jésus : « SI tu veux entrer dans la vie, OBSERVE les commandements » (Matthieu 19 :17).

D’après l’Histoire, pouvons-nous trouver une grande Église, qui ait persécuté des millions de gensau cours du Moyen Age ? Une telle Église existe-t-elle encore aujourd’hui ?

Dans un livre bien documenté, À Woman Rides the Beast (pages 243-244), l’auteur Dave Hunt décrit ce que la « femme » fit pendant les siècles du Moyen Age :

Donc, le catholicisme romain devint « le plus grand persécuteur de la foi que le monde ait jamais vu […] (ordonnant) au trône d’imposer la religion chrétienne (catholique) à tous ses sujets. Innocent III fit assassiner beaucoup plus de chrétiens en un après-midi […] que n’importe quel empereur romain au cours de tout un règne. » Will Durant écrit avec justesse : « Comparée avec la persécution des hérétiques en Europe de 1227 à 1492, la persécution des chrétiens par les Romains, au cours des trois premiers siècles après Jésus-Christ, apparaît comme une procédure douce et humaine. »

Avec toute l’indulgence qu’un historien et qu’un chrétien puissent se permettre, force est de constater que l’Inquisition a dépassé en férocité et en bestialité tous les types de persécutions et tous les types de guerres de notre époque.

Ainsi, l’apôtre Jean n’exagérait pas en disant que cette « femme », ou cette Église apostate, était « ivre du SANG des saints ». Un grand nombre d’écrivains catholiques sont même fort embarrassés de ce que leur Église a commis des centaines d’années auparavant. Les nombreux récits de prêtres qui pratiquaient la sodomie sur de jeunes hommes, de papes qui entretenaient ouvertement des maîtresses et qui se retrouvaient pères d’enfants illégitimes à travers toute l’Italie, d’organisation de grands offices religieux destinés à récolter de l’argent ont montré à beaucoup d’historiens objectifs que cette Église puissante personnifiait, véritablement, le mal à travers presque tous ses aspects.

La “petite corne” de Daniel

Le prophète Daniel a décrit ce faux système religieux sous l’image d’une « petite corne ». Après avoir décrit les quatre grands empires qui devaient diriger le monde – babylonien, médo-perse, gréco-macédonien d’Alexandre et finalement Rome – Daniel mentionne une « petite corne » surgissant d’entre celles qui furent les premières résurrections de l’Empire romain : « Je considérai les cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d’elles, et trois des premières cornes furent arrachées devant cette corne ; et voici, elle avait des yeux comme des yeux d’homme, et une bouche qui parlait avec arrogance » (Daniel 7 :8).

Aux versets 25-27 de ce même chapitre, Daniel fut inspiré à décrire les agissements de cette « petite corne » arrogante, et comment elle serait encore debout jusqu’au retour du Christ et de Son RÈGNE sur les nations : « Il prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très-Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d’un temps. Puis viendra le jugement, et on lui ôtera sa domination, qui sera détruite et anéantie pour jamais. Le règne, la domination, et la grandeur de tous les royaumes qui sont sous les cieux, seront donnés au peuple des saints du Très-Haut. Son règne est un règne éternel, et tous les dominateurs le serviront et lui obéiront. »

Notez que cette « petite corne » est différente de l’Empire païen (verset 24), car elle est en réalité un Empire RELIGIEUX ! Notez aussi que le chef humain de ce faux système parle « avec arrogance » contre Dieu, qu’il persécute les véritables chrétiens, et qu’il a l’intention de changer les TEMPS et la LOI. C’est ici une référence directe au fait que l’Église catholique a développé l’idée que les Dix Commandements devaient être soumis à l’autorité de l’Église, et qu’elle CHANGEA le sabbat du septième jour ordonné par Dieu (Exode 20 :8-11 ; Hébreux 4 :9-11). Elle substitua le « jour du soleil » païen au sabbat de Dieu.

L’historien moderne Will Durant écrit : « Tout le sérieux du sabbat juif avait passé au dimanche chrétien, qui le remplaça depuis le 2ème siècle » (Histoire de la civilisation, volume IX 1963). Comment cela est-il arrivé ? Un cours d’étude catholique romain nous dit que « l’Église [catholique] a transféré l’obligation du samedi au dimanche »(Père Smith enseigne Jackson). The Catholic Mirror admet que « l’Église catholique […] en vertu de sa divine mission, a changé le jour du samedi au dimanche » (23 septembre 1893). Si vous désirez plus d’informations au sujet du véritable sabbat de la Bible, écrivez-nous pour recevoir notre brochure gratuite Quel est le jour du sabbat chrétien ?

La papauté prédite d’avance

Comme nous l’avons vu, la « petite corne » de Daniel décrit la fausse Église – et particulièrement son porte-parole, le pape, parlant « avec arrogance ». Dans le Nouveau Testament, Dieu a inspiré l’apôtre Jean à décrire la « résurrection » de la bête finale, l’Empire romain (Apocalypse 13 :1-10). Puis, les versets 11-14 décrivent « une autre bête », qui s’élève et qui ressemble à un « agneau », c’est-à-dire au Christ, mais qui parle comme un « dragon », c’est-à-dire comme Satanle diable (Apocalypse 12 :9). Ce FAUX PROPHÈTE extrêmement astucieux et sinistre exerce « toute l’autorité de la première bête [l’Empire romain ressuscité] en sa présence, et elle obligeait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie ». En d’autres termes, ce grand faux prophète pourra influencer la plupart des gens, afin de les contraindre à OBÉIR à l’Empire romain ressuscité !

Nous lisons ensuite : « Elle opérait de grands prodiges, jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image de la bête qui avait été blessée par l’épée et qui vivait » (versets 13-14).

Avec ce système, un « homme du péché » se révélera – s’attribuant avec audace les titres et l’autorité qui n’appartiennent qu’à Dieu – il s’assiéra comme un « dieu » dans le temple de Dieu, en usurpant certains titres de Dieu. En fait, de même que Jésus appelait Dieu « Père saint », les catholiques appellent le pape « Très saint Père » et « Vicaire du Christ », ce qui signifie littéralement « à la place du Christ » !

Dave Hunt décrit les prétentions blasphématoires de la papauté :

La soumission totale que Rome requiert a été exprimée par de nombreux papes, mais aucun ne l’a mieux exprimé que Nicolas 1er (858-867) :

« Il est évident que les papes ne peuvent être ni liés par aucun pouvoir terrestre, ni même par cet apôtre [Pierre] s’il revenait sur terre ; puisque Constantin le Grand a reconnu que les pontifes tenaient la place de Dieu sur terre, la divinité ne pouvant être jugée par aucun homme vivant. Donc, nous sommes infaillibles, et quoi que nous fassions, nous n’avons de compte à rendre à personne, excepté à nous-mêmes » (À Woman Rides the Beast, pages 153-154).

Ainsi, les papes ont déclaré qu’ils tenaient “la place de DIEU sur terre” ! Le plus effrayant est qu’ils continuent à faire de telles déclarationsdans notre monde « moderne ». En effet, l’Église catholique romaine est une entité tellement omniprésente et puissante, que les médias passent d’ordinaire assez superficiellement sur les déclarations scandaleuses et sur les blasphèmes des papes modernes et du clergé.

Mais en quoi tout cela pourrait-il vous affecter ?

La bête et la femme – réunies de nouveau

Peu de gens réalisent que le prétendu « saint » Empire romain est en train de ressusciter sous notre nez ! À travers toute l’Europe continentale monte un désir d’unité européenne totale. Et l’un des acteurs principaux de ce jeu d’échec géopolitique – vous l’avez deviné – se trouve être le pape en personne.

Dans son livre bien documenté et révélateur, The Principality and Power of Europe (pages 36-37),l’auteur britannique Adrian Hilton explique ce qui est en train de se passer :

Lors de sa visite en Autriche, en 1983, le pape s’est déclaré contre les frontières nationales et artificielles dressées au sein de toute l’Europe. Il a ajouté : « Les Européens devraient surmonter les confrontations internationales, qui menacent les états et les alliances, et créer une nouvelle Europe unie qui s’étendrait de l’Atlantique à l’Oural. »

En 1988, il poursuivit sur ce thème lorsqu’il s’adressa au parlement européen de Strasbourg. Pour beaucoup, ce fut l’occasion de se demander pourquoi un dirigeant spirituel abordait des sujets d’unité politique. En 1991, le Sunday Telegraph résumait les plans du pape pour « l’évangélisation » de l’Europe. Il déclara : « Il prépare tranquillement son rôle qu’il suppose solennellement être un droit divin, de porter le manteau d’un nouveau saint empereur romain régnant de l’Oural à l’Atlantique. »

Quoique la Bible n’indique pas que le dernier pape sera l’« empereur » de cet Empire romain ressuscité, elle montre qu’il sera « la puissance qui sera derrière le trône ». Comme Dieu nous le dit, le faux prophète à venir « fera en sorte » que ceux qui n’adoreront pas son système « soient tués » (Apocalypse 13 :15). Ainsi, comme de nombreux papes au cours du Moyen Age, il utilisera le pouvoir de l’État– la « bête » – pour imposer sa volonté au monde occidental !

Vous souvenez-vous de ce qui s’est passé sous Hitler ? On frappe à la porte, le père ou la mère est empoigné et poussé dans une voiture de la police pour avoir dit ou fait quelque chose de « politiquement incorrect » ! Pensez-vous que cela ne pourrait PAS se reproduire ? Si vous le pensez, vous avez tort au plus haut degré !

Dieu qui nous donne la vie et la respiration décrit comment, une fois de plus, la femme « conduira » la bête. La plupart des gens ne réalisent pas que les fausses pratiques et les faux enseignements de cette « femme » déchue ont IMPRÈGNE le monde entier. C’est précisément ce que l’apôtre Jean fut inspiré à écrire : « Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit TOUTE LA TERRE, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui » (Apocalypse 12 :9).

Même les protestants et les évangélistes sincères sont inconsciemment et spirituellement IVRES du paganisme de ce système : « Et c’est du vin de sa débauche que les habitants de la terre se sont enivrés » (Apocalypse 17 :2). Il est nécessaire que chacun de vous prenne conscience que SATAN est le « dieu » invisible de ce monde présent (2 Corinthiens 4 :3-4), et que « toutes les nations » sont spirituellement IVRES.

Notez ce que dit le Critical and Experimental Commentary,en décrivant ce système ainsi que les « filles » prostituées qui sont sorties de Rome, la « mère » : « Non seulement Rome, mais la chrétienté, de même qu’Israël sont devenus une prostituée […] Son influence externe sur le monde et son attachement interne à ce système sont symbolisés par le nom de cette ville : “Babylone” » (Volume 6, page 710).

Ce que vous devriez faire

De par le monde, de nombreux journaux signalent que la persécution catholique persiste contre certaines minorités religieuses. Bien qu’ils aient appris à sourire et à agir agréablement là où les protestants ou d’autres sont majoritaires, les vieux démons de la haine et de l’autoritarisme ressurgissent vivement lorsque les catholiques tiennent les rênes.

Un article dans la revue Christianity Today (août 2000, page 30) relate : « En mars, environ 70 familles protestantes furent expulsées du village mexicain de Plan de Ayala dans l’état du Chiapas, par la majorité catholique de la ville. “Quatorze maisons furent détruites par la foule, alors que les protestants courraient se réfugier dans les collines”, rapporte le pasteur Isias Espinosa de l’Église adventiste du septième jour. » Cela n’est qu’un petit échantillon du genre d’oppression religieuse, conduite par cette Église puissante! Et ses dirigeants persistent à dire qu’ils sont la SEULE véritable Église – les autres n’étant que des « chrétiens de deuxième classe ». Un rapport récent de Victor Simpson est arrivé à l’agence de presse Associated Press le 5 septembre 2000 :

Accusant plusieurs théologiens catholiques de manipuler des vérités fondamentales de l’Église, le vatican a précisé, mardi, sa position face aux tentatives grandissantes de considérer toutes les religions sur un même plan d’égalité […] l’égalité pour le vatican concerne la « dignité humaine » des individus, à l’exclusion de la doctrine. C’est le second document récent de la congrégation [la Congrégation (catholique) pour la Doctrine et la Foi] qui met en garde contre des abus dans les rapports entre les catholiques et les autres religions. La source d’information italienne rapporte que la congrégation s’est également opposé au terme « Églises sœurs », en disant que celui-ci était en contra-diction avec l’identité de l’Église catholique, qui est « LA MÈRE » DE TOUTES LES ÉGLISES. Ce document n’a cependant pas été publié. Le cardinal Joseph Ratzinger, lors d’une conférence de presse, s’est référé à la tendance grandissante du RELATIVISME RELIGIEUX.

« Le manque d’unité parmi les chrétiens est certainement une blessure pour l’Église », disait ce document, il empêchait « LA REALISATION DE SON UNIVERSALITÉ HISTORIQUE ».

La déclaration qui est un document théologique complexe s’intitulait : « Sur l’unité et l’universalité salvatrice de Jésus-Christ et de l’Église. »

Ainsi, ils ne l’admettent pas seulement, mais ils maintiennent encore qu’ils sont la « MÈRE » de toutes les Églises ! Ils maintiennent également qu’eux seuls détiennent les « clés » du Royaume de Dieu !

Il est grand temps de SE REVEILLER !

Il est temps pour tous ceux qui croient en Dieu de faire un retour en arrière, et de PROUVER si leurs croyances religieuses et leurs pratiques proviennent, en fin de compte, de la Bible – ou de « Babylone ». En effet, le Dieu créateur dit à tous ceux qui sont attentifs : « Parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de sa débauche, que les rois de la terre se sont livrés avec elle à la débauche, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait : Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point part à ses FLÉAUX » (Apocalypse 18 :3-4).

Je vous encourage, au nom du Christ à commencer à ETUDIER sérieusement la Bible, comme jamais auparavant ! Offrez-vous aussi notre Cours de Bible,qui est absolument GRATUIT – et obéissez aux recommandations inspirées de l’apôtre Paul : « EXAMINEZ toutes choses ; retenez ce qui est bon » (1 Thessaloniciens 5 :21).

Je vous encourage également à nous écrire afin de nous demander un exemplaire GRATUIT de notre brochure La bête de l’Apocalypse. Cette brochure – associée à l’article que vous êtes en train de lire – vous présentera l’image complète et la DÉMONSTRATION de la nature des forces puissantes et sinistres, qui montent maintenant en Europe.

Comme Jésus a dit : « Veillez ! » Observez cette résurrection du saint Empire romain. « Veillez » lorsqu’il commencera, lentement mais sûrement, à s’imposer dans la plupart des pays d’Europe – puis en Amérique Centrale et en Amérique du Sud, et, finalement dans le monde entier. « Veillez » lorsque d’autres Églises seront, petit à petit, encouragées, persuadées ou finalement contraintes de regagner l’Église « mère ». Franchement, vous serez étonné de voir comment tant de dirigeants protestants et évangélistes, apparemment dévoués, se laisseront manœuvrer en abandonnant ce qu’ils ont toujours cru, lorsqu’on fera PRESSION sur eux.

Vous détournerez-VOUS aussi du Dieu de la Bible ?

Pour votre bien éternel, priez pour comprendre, pour avoir de la foi et du courage. Obéissez aux instructions de Jésus : « Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d’échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout devant le Fils de l’homme » (Luc 21 :36).

AUTRES ARTICLES DANS CETTE REVUE

Voir +