Comment bâtir un nouveau monde | Le Monde de Demain

Comment bâtir un nouveau monde

Comment bâtir un nouveau monde

Elon Musk veut envoyer des êtres humains sur la planète Mars. Il n’est pas le seul. La NASA a également pour objectif d’envoyer des astronautes sur Mars. Mais en quel genre de monde pourrions-nous transformer Mars ? En fait, nous connaissons déjà la réponse – et nous pouvons apprendre beaucoup de choses en explorant pourquoi nous la connaissons déjà. Rejoignez-nous pour cet épisode du Monde de Demain où nous vous expliquons comment bâtir un nouveau monde.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

SpaceX et la NASA projettent d’envoyer des missions humaines sur Mars

Elon Musk veut envoyer des êtres humains sur la planète Mars. Il n’est pas le seul. La NASA a également pour objectif d’envoyer des astronautes sur Mars. Mais que se passera-t-il si nous y parvenions ?  En quel genre de monde pourrions-nous transformer Mars ? En fait, nous connaissons déjà la réponse – et nous pouvons apprendre beaucoup de choses en explorant pourquoi nous la connaissons déjà. Rejoignez-nous pour cet épisode du Monde de Demain où nous vous expliquons comment bâtir un nouveau monde.

Bonjour et bienvenue au Monde de Demain, où nous vous aidons à donner un sens à votre monde à travers les pages de la Bible.

Et « votre monde » – du moins, pour l’instant – ne comprend qu’un seul monde : celui dont nous jouissons ici, sur notre bonne vieille planète Terre. Mais nombreux sont ceux qui cherchent à élargir la liste des mondes possibles pour y inclure la planète Mars.

Nous vous offrirons également un exemplaire gratuit de la brochure d’aujourd’hui, Le merveilleux monde de demain – Un regard biblique détaillé sur la façon dont Jésus-Christ transformera notre monde après Son retour.

Aimeriez-vous voyager dans un autre monde ? Eh bien, des personnes et des organisations très riches et très influentes s’efforcent de faire de cette possibilité une réalité, et peut-être même de votre vivant.

Le multimilliardaire Elon Musk, fondateur de SpaceX et PDG de Tesla, laissa entendre en 2022 qu’il ferait atterrir une mission habitée sur Mars dès 2029. Il publia en 2023 une vidéo montrant l’un de ses vaisseaux spatiaux, Starship, en train d’atterrir sur la planète et de rejoindre une colonie humaine florissante et en plein essor (“Elon Musk hints at a crewed mission to Mars in 2029”, NPR.org, 17 mars 2022).

Mais M. Musk n’est pas le seul avec ces ambitions. La NASA américaine travaille pour mettre en place une mission habitée sur la planète rouge. Dans le cadre de son programme Artémis, la NASA prévoit d’établir la première base permanente de l’humanité sur la Lune. Là, elle prévoit d’apprendre ce qu’il faut faire pour établir une base sur Mars (“How NASA is planning to get humans to Mars”, TheWeek.com, 17 avril 2023).

Je vais être honnête : je trouve ces missions fascinantes. Depuis le plus jeune âge, l’idée que l’humanité puisse installer des colonies sur un autre monde frappe mon imagination. Pourtant, même pour une planète relativement proche comme Mars, les défis technologiques sont considérables. D’une part, le voyage vers Mars pourrait durer six à sept mois, au cours desquels, selon l’Agence spatiale européenne, les astronautes seraient potentiellement exposés à 700 fois la quantité de radiations à laquelle nous sommes normalement exposés sur Terre (“The radiation showstopper for Mars exploration”, Agence spatiale européenne, ESA.int, 31 mai 2019).

Survivre à ce long, solitaire et dangereux voyage n’est pas la partie la plus difficile. Mars est peut-être la planète la plus proche de la Terre dans le système solaire, mais elle est loin d’être hospitalière. Même à l’équateur, relativement « tempéré », les températures chutent à moins 100 degrés Fahrenheit (ou moins 73 degrés Celsius). L’air sur Mars est aussi ténu que celui que l’on trouve à presque 34 km au-dessus de la surface de la Terre, et il est composé à 96% de dioxyde de carbone, l’oxygène représentant moins de deux dixièmes de pourcentage.

À quoi ressembleraient les nouvelles colonies humaines sur Mars ?

Mais, pour l’instant, laissons tout cela de côté. Supposons que nous ayons réussi. Imaginons que l’humanité – qu’il s’agisse des États-Unis, des disciples d’Elon Musk ou de n’importe qui d’autre – ait été capable de faire atterrir des engins sur Mars et d’y construire une colonie permanente. En fait, imaginons cette colonie cent ans dans le futur. Ou même dans cinq cents ans. Tous les défis technologiques ont été relevés et surmontés – un nouvel avant-poste vaste et prospère pour l’humanité. Imaginez que nous ayons réalisé nos rêves les plus fous, conquis la dernière frontière et réussi à transplanter l’humanité et la civilisation humaine de la planète Terre à la planète Mars.

Dans de tels avant-postes futuristes, à quoi peut-on s’attendre ? Soyons clairs : je ne parle pas de la technologie à laquelle nous devrions nous attendre. Cela pourrait être n’importe quoi : des villes en forme de dôme, des machines d’ingénierie environnementale, de nouvelles formes de transport… Non, je veux parler de la civilisation elle-même, des gens, des citoyens de nos nouvelles métropoles interplanétaires, de leur vie, de leurs relations… Que devrions-nous attendre de la vie humaine sur ce nouveau monde ?

Ou peut-être devrais-je poser la question différemment. Y a-t-il une raison pour laquelle nous devrions espérer à ce que la vie sur Mars soit fondamentalement différente de la vie sur Terre ? Des relations difficiles ? Des familles brisées ? La corruption du gouvernement ? La confusion et l’absurdité dans l’enseignement ? La rancœur politique ? La criminalité ? Le vol ? Les meurtres ? Les viols ?

Car, quelle que soit les technologies nouvelles et fantastiques que nous pourrions inventer et déployer là-bas, le seul élément commun à notre civilisation imaginée sur Mars et à notre civilisation bien réelle ici sur Terre, c’est nous. Les êtres humains.

Des milliers d’années d’expérience nous enseignent une leçon importante : nous ne savons pas comment vivre ensemble dans notre propre monde – comment pourrions-nous espérer un nouveau monde et savoir comment le bâtir ?

L’élément commun que nous apporterions sur d’autres planètes

Si nous commençons un jour à construire de nouveaux mondes sur d’autres planètes, l’élément clé que nous apporterons avec nous, c’est nous-mêmes. Avec nous, nous apporterons tous les mêmes problèmes spirituels auxquels nous avons permis de corrompre et de corroder notre civilisation ici : La luxure. L’avidité. La haine. L’envie. La convoitise. La tromperie. L’orgueil. La malice. L’arrogance. Le sectarisme. La cruauté. L’hédonisme. L’égocentrisme.

Peu importe où nous nous rendons dans cet Univers, ces terribles facettes de la nature humaine nous accompagneront comme des passagers clandestins indésirables, mais inévitables. Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi de tels comportements autodestructeurs sont-ils si inévitables dans notre monde ? Existe-t-il un moyen de construire un monde nouveau vraiment meilleur ?

Pourquoi les fondations de ce monde sont ruinées ?

Oui, c’est possible. Mais pour comprendre comment y parvenir, nous devons d’abord répondre à une autre question : pourquoi notre monde actuel est-il tel qu’il est ?

Croyez-le ou non, la réponse à cette question est simple. Comprendre la réponse nous indique la seule façon de créer un monde nouveau et meilleur.

La clé pour résoudre ce problème est de comprendre pourquoi notre monde est tel qu’il est. Et cette raison est liée à la fondation sur laquelle notre monde est construit. Dans le Psaume 11 :3, le roi David demande : « Puisque les fondements sont ruinés, que fera le juste ? » (Martin).

La réponse est censée être évidente : « Rien ». Si les fondations sont ruinées, alors rien de durable ne peut être construit dessus. Comme nous allons le voir, les fondations sur lesquelles nous continuons à essayer de construire notre monde sont totalement délabrées. Pour comprendre pourquoi, il faut remonter au début de notre civilisation, au tout début.

Nous voyons cela dans le livre de la Genèse, lorsque Dieu créa le premier homme et la première femme, Adam et Ève :

« Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre » (Genèse 1 :26).

L’homme devait recevoir la gestion du monde entier et de tout ce qui s’y trouve. C’était parce que l’humanité avait un but très spécial à remplir. Continuons au verset 27 : « Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. »

Contrairement à tous les animaux, chacun créé selon sa propre espèce, l’homme fut créé selon l’espèce divine – conçu pour refléter son Créateur et, en fin de compte, pour devenir pleinement comme son Créateur. Mais pour ressembler au Créateur, il ne suffit pas d’être à Sa ressemblance et à Son image. Il faut édifier aussi Son propre caractère. Pour se forger un caractère, il faut choisir.

Dieu planta donc dans le jardin d’Éden deux arbres qui allaient placer l’homme devant un choix : obéir ou désobéir :

« L’Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l’arbre de la vie au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal […] L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2 :9, 16-17).

Si vous connaissez la suite de l’histoire, vous savez qu’Adam choisit de manger du mauvais arbre. Sa femme, Ève, fut séduite par le diable. Mais, l’apôtre Paul nous dit que, lorsqu’elle donna le fruit de l’arbre défendu à Adam, « Adam n’a pas été séduit » (1 Timothée 2 :14). Il savait ce qu’il faisait, et choisit volontairement de désobéir à Dieu.

Ce seul acte jeta les bases de toute l’Histoire de l’humanité et de la civilisation. Dieu avait donné à Adam et Ève, les premiers humains, tout ce qu’ils pouvaient désirer : un paradis sûr et magnifique, un travail honnête, la communion avec leur Créateur et une future famille à engendrer et à élever. Ils n’avaient qu’à obéir à la volonté aimante de leur Créateur.

Mais Adam choisit de faire autrement. En choisissant de manger délibérément de l’arbre interdit, Adam dit à Dieu : « Ce n’est pas ta volonté, Dieu, mais la mienne que je veux faire ». Adam rejeta la volonté divine en faveur de la sienne. En réalité, si vous et moi sommes honnêtes, nous avons nous-mêmes fait le même choix. Choisir sa propre volonté plutôt que la volonté expresse de Dieu, c’est un péché. La Bible nous assure que « tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3 :23).

Cette déclaration – « Non pas ta volonté, Dieu, mais la mienne » – est la base fondamentale de pratiquement toutes les institutions humaines que nous voyons autour de nous aujourd’hui. Dans les gouvernements, on ne rend qu’un hommage de pure forme à Dieu. En Amérique, par exemple, les politiciens aiment dire des choses comme « Dieu bénisse l’Amérique », mais ils ne veulent pas rechercher Ses bénédictions dans leurs lois et leurs politiques. Dans les tours d’ivoire du monde universitaire, les élites accréditées ont tendance à croire qu’elles ont dépassé Dieu et proposent constamment des codes d’éthique et de moralité conçus par l’homme, qui n’aboutissent qu’à un déclin moral continu. Qualifier l’industrie du divertissement de « cloaque » est une insulte aux cloaques. Et, aussi choquant que cela puisse paraître, nos religions, même la grande majorité du soi-disant « christianisme », sont remplies d’idées et de philosophies humaines, et de superstitions païennes – elles sont fondées plus sur la tradition humaine que sur la parole de Dieu.

La devise de la civilisation qui s’effondre se résume à cette seule phrase : « Non pas ta volonté, Dieu, mais la mienne ». Comprendre les bases de notre monde actuel est la clé pour comprendre comment construire un nouveau monde, un monde meilleur, un monde qui durera pour l’éternité.

Depuis des millénaires, l’humanité a cherché à construire son propre monde à sa propre manière – sans jamais s’engager à le faire entièrement selon la méthode divine !

Supprimer les fondations ruinées et les remplacer pas de bonnes fondations

Puisque nous ne pouvons pas construire un monde nouveau sur des fondations brisées, nous n’avons qu’un seul choix : Supprimer ces fondations et les remplacer par de bonnes fondations. Jésus-Christ personnifie cette fondation ! Nous le voyons exemplifié dans le jardin de Gethsémané, la nuit où Jésus devait être trahi et finalement livré à la crucifixion. Alors que Ses disciples dormaient cette nuit-là, Jésus pria devant Son Père. Connaissant la douleur et l’agonie qui l’attendaient, Il s’agenouilla dans le jardin et demanda à Son Père s’il y avait une autre façon d’accomplir leur grand projet. Il ne voulait pas être torturé à mort pendant des heures ! Personne ne le voudrait. Il ne voulait pas passer par l’épreuve ultime, la mort cruelle, solitaire et atroce qui l’attendait !

Pourtant, dans toutes Ses supplications passionnées, Sa concentration et Sa détermination ne faillirent jamais. Même face à l’une des exécutions les plus cruelles que l’humanité ait conçues, Il dit à Dieu dans Sa prière : « Père, si tu voulais éloigner de moi cette coupe ! Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne » (Luc 22 :42). Cette attitude est la base sur laquelle de nouveaux mondes peuvent être construits !

Au sein du paradis et du confort, Adam dit à Dieu : « Non pas ta volonté, mais la mienne ». Pourtant, face à l’agonie, à la souffrance et à une mort torturante, Jésus a dit à Dieu : « Non pas ma volonté, Père, mais la tienne ». Cela, mes amis, est la seule base sur laquelle un nouveau monde de paix, de joie, d’espoir et d’amour véritables et sans fin peut être construit ! C’est l’opposé même des fondations sur lesquelles le monde d’aujourd’hui est construit – mais ce sera la fondation solide comme le roc du monde de demain !

À quoi ressemblerait un monde bâti sur le Christ ? 

Notre brochure gratuite d’aujourd’hui, Le merveilleux monde de demain, décrit en détail, page après page, ce monde futur et magnifique que Jésus-Christ construira sur cette base. Permettez-moi de vous lire quelques extraits de la brochure décrivant ce monde nouveau et merveilleux. En page 14, feu Roderick Meredith – évangéliste de longue date de Jésus-Christ – parle de ce monde nouveau qui nous attend, construit sur des fondations toutes neuves :

« La paix et la prospérité deviendront réalité lorsque toute l’humanité apprendra à obéir aux commandements divins ! Le monde sera alors béni avec une grande abondance physique. Les malades et les infirmes seront guéris. Les millions d’individus spirituellement aveugles commenceront à véritablement connaître Dieu.

Pendant le règne millénaire du Christ, les êtres humains sur la Terre apprendront à chanter, à danser et à pousser des cris de joie concernant le formidable mode de vie qu’ils découvriront sous le gouvernement parfait de Dieu.

Comme nous l’avons vu, même l’instinct des animaux sauvages deviendra amour – il ne reflètera plus la haine et l’égoïsme. Finalement tous les peuples apprendront qu’il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir (Actes 20 :35). Toutes leurs frustrations et leurs sentiments de culpabilité disparaîtront. Ils commenceront à connaître “la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence” (Philippiens 4 :7).

Sous le gouvernement de Dieu et Ses lois parfaites, les gens apprendront que Jésus ne parlait pas à la légère en disant qu’il est “venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance” (Jean 10 :10) » (Meredith, Le merveilleux monde de demain, page 16).

Plus loin, en page 29, en parlant du règne de mille ans du Christ et de Ses saints, il écrit :

« Au cours du Millénium, la façon d’aborder l’agriculture et la santé sera complètement différente de la tendance actuelle de l’industrie agroalimentaire et de la construction de fermes immenses. De nos jours, les profits sont l’objectif principal, au détriment de la qualité des aliments et de la santé. Dans le monde de demain, lorsque le Christ vivant sera directement en charge, les agriculteurs seront guidés par ce que la Bible appelle la “crainte de Dieu”. Ils voudront sincèrement servir leur prochain en produisant et en distribuant les aliments et les produits dérivés issus de l’agriculture » (Meredith, Le merveilleux monde de demain, page 29).

Il ne s’agit là que de quelques exemples – notre brochure Le merveilleux monde de demain en cite bien d’autres ! Il suffit de dire que ce que Dieu voulait que le monde soit, illustré par l’abondance et la beauté du jardin d’Éden, sera restauré ! Ce sera, dans un sens très réel, un nouveau monde construit par le Fils de Dieu et par Ses disciples glorifiés, guidant, dirigeant et enseignant l’humanité pendant mille ans.

L’attitude qui sera la base du monde de demain

Au lieu du monde corrompu que nous avons toujours connu, l’humanité connaîtra un monde de paix, de joie, de santé et d’abondance. Tout cela parce que le nouveau monde à venir aura été construit sur une nouvelle fondation : « Non pas ma volonté, Dieu, mais la tienne. »

Nous désirons ardemment que le Christ revienne et que ce jour arrive, comme Jésus-Christ nous apprit à prier : « Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié ; que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel » (Matthieu 6 :9-10).

Une fois que vous savez comment un monde vraiment nouveau pourra être bâti, et à quel point ce nouveau monde sera beau et joyeux, il est difficile d’attendre !

Nous avons vu que la seule fondation sur laquelle un monde vraiment nouveau peut être construit est une soumission totale et complète à la volonté divine dans l’obéissance et l’amour. Comme le dit Jésus-Christ : « Non pas ma volonté, mais la tienne ».

À moins qu’Elon Musk ou la NASA ne prévoient de construire sur ces fondations, attendez-vous à ce que les civilisations que nous construirons sur Mars ne soient que des rediffusions des horreurs que nous avons créées ici sur Terre. Autre planète, même humanité, mêmes problèmes dévastateurs.

Mais le monde que Jésus-Christ établira après Son retour sera construit sur cette nouvelle fondation – transformant le monde et, par la suite, le cosmos tout entier. Comme le dit Paul :

« J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité – non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise – avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu » (Romains 8 :18-21).

En effet, finalement, toute la création – l’Univers entier – fera l’expérience de la libération qui vient avec le fait d’être gouverné par la famille de Dieu, qui inclura les disciples glorifiés de Jésus-Christ. Ses disciples ont hâte de bâtir sur les nouvelles fondations que leur Sauveur s’est chargé de poser. Alors, oui, même Mars pourrait finalement avoir sa chance !

Commencer dès maintenant à construire nos vies sur les bonnes bases

Mais nous n’avons pas besoin d’attendre le retour du Christ pour commencer à goûter la joie de bâtir un nouveau monde. Aucun d’entre nous ne peut contrôler une planète entière à l’heure actuelle, mais nous avons chacun notre propre monde individuel – nos propres familles, nos propres sphères d’influence, nos propres vies – dans lesquels nous pouvons commencer à bâtir une nouvelle vie. Nous pouvons faire l’expérience, dans nos propres vies, dès à présent, d’un avant-goût de la joie, de l’espoir, de la paix et du bonheur qui attendent le reste du monde au retour du Sauveur.

Tout ce qui est nécessaire pour commencer à bâtir ce nouveau monde dans nos vies dès à présent, c’est le choix de construire sur ces véritables fondations qui disent : « Pas ma volonté, Dieu, mais la tienne ». Nous avons simplement besoin de nous repentir. Abandonner nos péchés. Demander à Dieu de nous pardonner. Renoncer à notre entêtement à faire les choses à notre manière, et demander à Dieu de nous aider à commencer à faire les choses à Sa manière – la manière dont Jésus-Christ les aurait faites. À chaque pas que nous ferons, nous verrons les fleurs de ce nouveau monde pousser sous nos pieds et apporter avec elles le parfum du monde de demain que le Christ apportera avec Lui.

Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez demander notre brochure gratuite – Le merveilleux monde de demain.


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