De nouveaux dieux, de nouveaux péchés | Le Monde de Demain

De nouveaux dieux, de nouveaux péchés

De nouveaux dieux, de nouveaux péchés

Beaucoup pensent que l’âge de la religion et de la superstition appartient au passé, que l’humanité a finalement surmonté ces jours anciens d’adoration de dieux, d’obéissance à des listes de commandements et de condamnations des péchés. Mais ils se trompent. Bienvenue à l’ère de « nouveaux dieux » et de « nouveaux péchés ».

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Beaucoup pensent que l’âge de la religion et de la superstition appartient au passé, que l’humanité a finalement surmonté ces jours anciens d’adoration de dieux, d’obéissance à des listes de commandements et de condamnations des péchés.

Mais ils se trompent. Bienvenue à l’ère de « nouveaux dieux » et de « nouveaux péchés » – une ère que nous allons explorer ici au Monde de Demain !

De nouveaux dieux

Bonjour à tous et bienvenue à notre émission, où nous vous aidons à comprendre le monde grâce aux pages de la Bible. Nous sommes ravis de vous avoir ici.

Dans cette émission, nous allons discuter de l’ère de « nouveaux dieux » et de « nouveaux péchés » qui nous entoure aujourd’hui. Nous allons également vous proposer un des DVD les plus puissants et les plus pertinents que nous ayons jamais envoyés à nos téléspectateurs : « Un monde pris de folie. » Comme toujours, ce DVD est entièrement gratuit pour ceux qui le demandent.

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Il peut sembler étrange de parler de « nouveaux dieux », mais ne vous y méprenez pas. Ce que Jésus-Christ déclara devant Ses disciples le soir de la Pâque, il y a environ 2000 ans, est toujours valable de nos jours : « La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ » (Jean 17 :3).

Plus nous examinons le monde qui nous entoure, plus nous voyons une jungle de « nouvelles religions » qui poussent comme de mauvaises herbes. Il ne s’agit pas de religions traditionnelles du passé, centrées sur des dieux de la mythologie grecque, égyptienne ou scandinave, par exemple. Cependant, leurs partisans sont tout aussi passionnés que ces anciens païens. Et leur dévouement à l’égard de leurs divinités est tout aussi grand.

Ces « dieux » modernes dont nous allons parler aujourd’hui sont évoqués dans les paroles que Dieu inspira au prophète Ézéchiel dans Sa condamnation de l’ancien Israël – une condamnation qui est toujours valable de nos jours. Ézéchiel a écrit : « Et la parole de l’Éternel me fut adressée, en ces mots : Fils de l’homme, ces gens-là portent leurs idoles dans leur cœur, et ils attachent les regards sur ce qui les a fait tomber dans l’iniquité… » (Ézéchiel 14 :2-3).

Ils « portent leurs idoles dans leur cœur ». Il est facile de songer à des idoles sous la forme de statues de pierre ou d’or – ou encore à des gravures, des icônes et autres œuvres d’art. Et de telles images transgressent assurément le deuxième commandement !

Mais Dieu révèle ici que l’adoration des idoles va bien au-delà des objets que nous pourrions fabriquer avec nos mains ! Les êtres humains sont particulièrement adeptes de créer des idoles dans leur cœur – de faux dieux auxquels il se dédient religieusement, soumettant leur esprit, leurs actions, leur morale et leur conscience.

Et, mes amis, nous vivons de nos jours dans un panthéon virtuel d’idoles du cœur : comme les philosophies politiques, les causes sociales, les problèmes identitaires et les nouvelles visions du monde... La société qui nous entoure encourage un nombre croissant de « nouveaux dieux » et elle exige que toutes les « personnes raisonnables » les acceptent et les incluent dans leur liste de « nouvelles doctrines » éclairées et de « nouveaux péchés ».

Pis encore, les prêtres et les fidèles de ces « nouveaux dieux » sont de plus en plus disposés à imposer leur foi au monde et ils sont prêts à punir ceux qui se sortiraient du rang.

Contrairement au christianisme biblique qui, dès ses origines chercha à témoigner au cœur et à l’esprit des gens par de bonnes paroles et un bon exemple, les adeptes de ces « nouveaux dieux » ressemblent plutôt le christianisme apostat : ils sont prêts à utiliser la force pour obliger par tous les moyens la confession ou l’acceptation.

Que ce soit dans les tribunaux, les corps législatifs, les marchés financiers ou les médias, les partisans acharnés de ces « nouveaux dieux » cherchent à punir tous ceux qui oseraient défier la foi dans laquelle ils se sont jetés corps et âme.

La science omnisciente

Examinons quelques-unes des philosophies, des visions du monde et des idéologies des êtres humains qui ont été élevées au rang de « divinité » dans notre société actuelle.

Le premier « nouveau dieu » que nous allons examiner est celui de la science. Cela me brise le cœur parce que j’aime la science. Proverbes 25 et verset 2 nous dit que « la gloire de Dieu, c’est de cacher les choses ; la gloire des rois, c’est de sonder les choses. » Pour moi, la science est un des meilleurs exemples de sonder les choses.

Les avancées issues de la recherche scientifique ont fortement amélioré notre vie et elles ont apporté des solutions à un grand nombre de maladies, d’inconvénients et de souffrances humaines. Nous avons découvert certains secrets de l’Univers et notre compréhension du monde s’est considérablement accrue.

Cependant, la science ne remplace pas Dieu. Elle ne nous dit pas comment différencier le bien du mal. Les théories et les expérimentations qui ont révélé les secrets du monde subatomique nous ont aussi permis de fabriquer des armes qui ont dévasté Hiroshima et Nagasaki en 1945, tuant des centaines des milliers d’êtres humains.

Alors que les gens expulsent Dieu hors de la civilisation, quelque chose doit Le remplacer et ceux qui ne comprennent pas, ou qui ne se soucient pas, des limitations de la science sont heureux de bâtir des autels en son nom et de l’élever au rang de « nouveau dieu ». Et comme toute religion, ses adorateurs la créent avec ses orthodoxies, ses dogmes et ses péchés. En invoquant le nom de leur dieu, les gens cherchent à avoir le dernier mot en proclamant que la « science » est de leur côté – peu importe si d’autres études scientifiques soutiennent une opinion contraire.

Les scientifiques sont considérés comme des prêtres délivrant la parole de Dieu – et leurs opinions sont considérées comme des vérités canoniques, de sorte que tous ceux qui osent être en désaccord sont considérés comme des hérétiques devant être brûlés sur le bûcher – même si d’autres scientifiques apportent des preuves soutenant un point de vue contraire.

Trouvez-vous cette déclaration trop sévère ? C’est pourtant ce que confirme l’expérience de la vie réelle. Le site Internet FreeScience.today recense les noms de plusieurs scientifiques qui ont été pratiquement « excommuniés » pour s’être écartés du dogme de l’évolution. Ils ont perdu leur poste et leur emploi. Ils ont fait l’objet d’une enquête dans leur département et leurs cours ont été annulés. Au sujet de la mise à l’écart de l’un d’entre eux, Richard Sternberg, qui est titulaire de deux doctorats en biologie, voici les conclusions du Bureau américain des enquêtes spéciales : « Il est clair qu’un cadre de travail hostile a été créé avec pour objectif ultime de vous forcer à quitter le SI [Smithsonian Institute] » (“Richard Sternberg”, FreeScience.today). Son tort ? Avoir autorisé la publication dans un journal scientifique d’un article, après un examen collégial, qui ne dénigrait pas le design intelligent.

Car lorsque la science est élevée au rang divin, toute once de désaccord avec l’évolution devient une hérésie totale et les hérésies ne doivent pas être tolérées.

Le changement climatique

Un autre « nouveau dieu » que beaucoup associent à la science – bien qu’il ne soit pas exactement le même – concerne le « nouveau dieu » du changement climatique.

Soyons clairs : nous devons prendre soin de la Terre. L’homme n’a pas été fait pour la Terre, mais la Terre a été créée pour l’homme et nous devons gérer ses ressources avec sagesse.  Et je ne suis pas ici pour entrer dans le débat au sujet du changement climatique global – à savoir si le comportement de l’humanité en est ou non la cause principale.

Ce débat est devenu hors sujet, car une fois que le changement climatique a été élevé au rang de « divinité », cela met fin à toutes les discussions. Le bien suprême devient l’acceptation des « dogmes divins » concernant le changement climatique. Les bonnes et les mauvaises valeurs morales ne sont plus déterminées que par la doctrine de l’impact environnemental, qu’il soit valide ou non.

Il n’y a plus aucun problème à détruire la capacité de production d’une nation, ses systèmes économiques et ses structures sociales afin d’atteindre la nouvelle donne verte et de préserver l’environnement, car il s’agit du « nouveau dieu » du changement climatique. Le bien moral ultime est de prendre soin de la Terre – du moins de donner l’apparence d’en prendre soin.

Le professeur de science politique Michael Munger expliqua ce point dans un article de 2019 pour l’American Institute for Economic Research. Lors d’une conférence sur le recyclage, il démontra que le recyclage du verre pouvait être nocif pour l’environnement – en raison de la pollution générée, des coûts carbone, des dépenses, etc. Il s’attendait à une vague d’indignation de la part des personnes présentes qui défendaient toutes le recyclage. Mais il fut surpris par leur réaction. Il écrit :

« Un participant allait complètement dans mon sens : “Oh, nous savons tous que c’est absurde de recycler le verre. Le constat économique est simple. Mais les gens doivent continuer à recycler, car c’est la bonne chose à faire. Ça n’a rien à voir avec l’environnement. Il s’agit de mobiliser les gens afin qu’ils prennent soin du symbole de l’environnement. Globalement, ça vaut toujours la peine de recycler, quelques soient les répercussions.”

« Une jeune femme intervint : “Ce n’est pas un problème de mentionner ce genre de choses ici, car nous sommes des initiés. Mais il vaut mieux ne pas parler des questions économiques auprès du grand public. Nous devons aider à les entraîner à prendre soin de l’environnement et le recyclage est une des meilleures façons de le faire” […]

« Le message qui me tracassait et que je pensais être polémique n’avait rien de nouveau dans ce milieu professionnel. Mais c’était hors sujet, car le recyclage était un impératif moral pour eux. Une fois que vous commencez à voir le recyclage comme un symbole d’une dévotion religieuse, au lieu d’une solution pragmatique aux problèmes environnementaux, la situation générale prend tout son sens » (“For Most Things, Recycling Harms the Environment”, American Institute for Economic Research, AIER.org, 14 août 2019).

Cesser de consommer de la viande car vous êtes préoccupé par l’impact de la filière bovine sur le réchauffement climatique, ou encore décider de ne pas avoir d’enfants afin de réduire « l’empreinte carbone » de l’humanité... de telles actions sont considérées comme étant un faible prix à payer pour satisfaire les demandes du « nouveau dieu » du changement climatique. Mais si vous mangez un steak, que vous avez une famille nombreuse ou que vous ne recyclez pas cette bouteille de soda, attentez-vous à être qualifié de « pécheur ».

L’anarchie sexuelle

Nous avons examiné deux des « nouveaux dieux » de notre ère moderne. Notre prochain « nouveau dieu » concerne l’anarchie sexuelle.

En termes de sexualité, le modèle biblique est simple : l’humanité a été créée homme et femme – deux catégories biologiques clairement identifiables. Ces deux genres ont été créés l’un pour l’autre, afin que lorsqu’ils décident de s’engager l’un envers l’autre au sein du mariage, un homme et une femme profitent des avantages de cette union sacrée – dont l’intimité sexuelle et les enfants qui naîtront.

Pourtant, le « nouveau dieu » de l’anarchie sexuelle impose que la sexualité et la nature sexuelle ne supporte aucune règle, aucune contrainte, ni aucune loi naturelle.

Aux yeux de ses adeptes, ce « nouveau dieu » publie une longue liste détaillée de péchés qui peut être résumée très simplement : tous ceux qui affirment croire aux concepts bibliques du genre, de la sexualité ou du mariage sont, au mieux, prudes et, au pire, fanatiques. De tels concepts sont considérés comme beaucoup trop restrictifs par les adorateurs de l’anarchie sexuelle. Comme le mot « anarchie » l’implique, tout est envisageable.

La sexualité n’est plus réservée au mariage – et le « mariage » lui-même a été redéfini pour y inclure toutes les combinaisons possibles d’individus, quel que soit leur nombre ou leur genre. En fait, le genre lui-même a été redéfini. Il n’est plus seulement constitué d’hommes et de femmes, mais il a été « libéré » pour se déplacer avec fluidité le long d’un spectre de possibilités – sans aucune règle, contrainte ou limite.

Chaque année, de nombreux enfants sont sacrifiés à ce « nouveau dieu » de l’anarchie sexuelle. Les enfants qui sont considérés comme trop jeunes pour voter, servir dans l’armée ou conduire une voiture, reçoivent la permission de prendre une décision fondamentale, aux lourdes implications, concernant leur genre, qui peut modifier le restant de leur vie de façon irrémédiable.

Même plusieurs tribunaux ont commencé à reconnaître le problème que pose une telle situation. Le 1er décembre 2020, la BBC décrivait une affaire portée devant un tribunal contre le service de santé publique britannique par plusieurs personnes, dont une jeune femme qui s’était vu prescrire des inhibiteurs d’hormones pendant son adolescence afin de bloquer sa puberté de façon irrémédiable, car elle souhaitait alors être un homme. Les différentes plaignantes dans ce dossier ont gagné le procès. Elles ont fait valoir que des enfants n’avaient pas la capacité de prendre de telles décisions. Une des juges a déclaré :

« Il est hautement improbable qu’un enfant âgé de 13 ans ou moins possède les compétences pour donner son consentement à l’administration de bloqueurs de puberté. Il est improbable qu’un enfant de 14 ou 15 ans puisse comprendre et mesurer les risques et les conséquences à long terme de l’administration de bloqueurs de puberté » (“Puberty blockers : Under-16s ‘unlikely to be able to give informed consent’”, BBC News, 1er décembre 2020).

Mais ne vous attendez pas à ce que les croyants de l’anarchie sexuelle abandonnent leur foi après ce petit échec. Ils vont continuer à chercher à punir ceux qui pensent que la sexualité et la moralité selon la Bible représentent ce qu’il y a de mieux pour la société – et les sacrifices continueront à avoir lieu dans leur poursuite.

La révolution sociale

En fait, la foi dans le « nouveau dieu » de l’anarchie sexuelle ne représente qu’une seule secte parmi une multitude de « nouvelles religions » qui tombent sous l’égide d’un « nouveau dieu » plus grand que cela – comme Zeus était au-dessus tous les dieux dans la Grèce antique, ou Jupiter dans la Rome antique. Ce « nouveau dieu » plus étendu pourrait être appelé révolution sociale.

Une puissance particulière de ce « nouveau dieu » est sa capacité à s’adapter à l’image de l’adorateur. Si vous pensez que les normes concernant la sexualité et le genre sont le grand ennemi empêchant la société de progresser, alors la révolution tourne autour de ce sujet. Si vous étudiez en tant que femme dans une université prestigieuse et que vous pensez que le monde ne sera pas sûr tant que le patriarcat ne sera pas détruit, alors le « nouveau dieu » de la transformation sociale est prêt à bénir votre cause. Si vous pensez que le capitalisme est le VÉRITABLE fléau de la société, peu importe le nombre de vies qu’il a améliorées, alors la révolution est prête à vous aider à faire progresser l’extrême gauche, le communisme, ou même l’anarchie, avec des pancartes, des banderoles, voire des cocktails Molotov. Et si le rêve de Martin Luther King, selon lequel les gens seraient jugés sur le contenu de leur caractère plutôt que sur la couleur de leur peau, semble « ne pas suffire », alors la transformation sociale est prête à vous armer pour le combat sur les réseaux sociaux autour des théories raciales, dont la discrimination positive, ainsi que pour l’endoctrinement dans les écoles et sur les lieux de travail.

Tous les « nouveaux dieux » engendrent de « nouveaux péchés ». Pour le dieu de la révolution sociale, le plus grand péché devient le délit d’opinion – comme George Orwell l’avait imaginé dans son roman 1984. Ceux qui pensent différemment des partisans de la révolution sociale sont « effacés » et désavoués publiquement. Des professeurs d’université sont menacés de perdre leur titularisation. Des écrivains populaires, comme J.K. Rowling, sont menacés de boycott. Même les revenus des célébrités médiatiques peuvent être mis en danger lorsque d’anciens tweets ou commentaires sont découverts sur les réseaux sociaux, car l’inquisition examine chaque déclaration publique pour s’assurer que leur mode de pensée soit « pur ». Parfois, après avoir fait amende honorable, en se répandant en excuses publiques et déclarant leur fidélité à la nouvelle foi, ces individus sont pardonnés – même s’ils resteront souvent considérés comme suspects après cette « repentance » servile.

Le « péché » de la mauvaise opinion ne doit tout simplement PAS être toléré.

Conclusion

Dans un sens, ces « nouveaux dieux » ressemblent bien plus qu’il n’y paraît aux « anciens dieux » de la mythologie. Comme dans les légendes des anciens dieux grecs qui se querellaient, se jalousaient et se combattaient, ces nouveaux faux dieux font la même chose. Par exemple, les études scientifiques qui contredisent les conclusions des anarchistes sexuels sont qualifiées de haineuses et d’inexactes – sur des bases idéologiques et non factuelles. Et même au sein même des croyances individuelles générées par ces « nouveaux dieux », il y a aussi de nombreuses divisions. Certains des débats les plus mouvementés et les plus agressifs que vous pouvez trouver sur Internet ont lieu entre des féministes et des partisans de l’identité de genre.

Mais tous ces « nouveaux dieux » sont plus anciens qu’il n’y paraît. Chacun d’entre eux est la manifestation d’une espèce très différente de faux dieu ; il s’agit d’un être bien réel qui a dominé sur la Terre depuis des milliers d’années, Satan le diable.

Se référant à lui comme « le dieu de ce monde » (version Semeur) – ou, selon la version Louis Segond « le dieu de ce siècle » – l’apôtre Paul explique comment Satan utilise des tactiques comme ces faux dieux et ces idoles du cœur pour détourner les gens de la vérité du vrai Dieu de la Bible :

« Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent, pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence, afin qu’ils ne voient pas briller la splendeur de l’Évangile de la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu. » (2 Corinthiens 4 :3-4)

Depuis que le diable a incité Ève à manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal – en invitant Adam à manger avec elle – les êtres humains ont placé leur confiance dans leurs propres philosophies, leurs propres systèmes gouvernementaux et leurs propres hypothèses concernant le monde qui les entoure, au lieu de se laisser guider par le Dieu qui les a créés dans un objectif précis. Les « nouveaux dieux » actuels ne sont que les derniers exemples de la confiance mal placée de l’humanité dans sa propre folie.

Mais, heureusement, Dieu ne nous a pas abandonnés malgré une telle folie !

Il enverra Jésus-Christ sur cette Terre pour restaurer toutes choses et mettre en place Son Royaume – le seul véritable espoir pour l’humanité. Dans ce Royaume, les « nouveaux dieux » seront poursuivis et jugés ineptes, comme les faux dieux de l’Égypte lorsque le Tout-Puissant libéra les enfants d’Israël.

La science reviendra à sa place, comme outil pour découvrir et comprendre la création. L’anarchie sexuelle sera remplacée par la paix d’esprit de Celui qui a créé la sexualité. L’environnement sera restauré et les habitants de la Terre apprendront à le respecter de façon équilibrée. La transformation sociale ultime aura enfin lieu – l’ensemble de la société se tournera vers le vrai Dieu pour obtenir Ses directives, Sa sagesse et Son amour.

Que le Christ revienne bientôt et nous sauve au plus vite de ces « nouveaux dieux » en montrant au monde qui est le véritable Dieu.