La promesse de Nimrod | Le Monde de Demain

La promesse de Nimrod

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Bien que le président Obama n’ait probablement jamais entendu parler du Cours de Bible du Monde de Demain, son discours du 25 septembre 2009 lors du récent sommet du G20 à Pittsburgh contient presqu’exactement les mêmes propos que ceux publiés par l’Église du Dieu Vivant, il y a plus de neuf ans, et il fait écho aux promesses de Nimrod d’il y a quatre mille ans.

La troisième leçon du Cours de Bible du Monde de Demain intitulée « Pouvez-vous comprendre les prophéties bibliques ? » commence par expliquer des sujets allant de l’époque des quatre anciens royaumes de Daniel 2 (royaumes babylonien, médo-perse, gréco-macédonien et romain) à celle des quatre cavaliers de l’Apocalypse. Puis le lecteur est guidé à travers l’étude d’un cartel financier mondial des temps de la fin, mentionné dans Apocalypse 18 :9-21 et Ezéchiel 27, communément appelé « Babylone la grande ». La Bible révèle que ce dernier empire mondial est en fait la dernière résurgence de la Babylone antique. Ses racines et son héritage spirituel trouvent leurs origines dans la Babylone antique – le premier des quatre royaumes de Daniel 2.

En parlant de ce système des temps de la fin, la leçon 3 du Cours de Bible déclare : « La Babylone des temps de la fin fera miroiter ce que Nimrod avait promis à la famille humaine, à la tour de Babel : l’unité, la sécurité et la prospérité. C’est ce que Nebucadnetsar, Cyrus le Grand, Alexandre le Grand et César-Auguste, chacun à son tour, proposèrent aussi » (page 11).

En parlant des défis mondiaux à relever par la gouvernance internationale, le président Obama a déclaré : « Mais nous rentrons chez nous aujourd’hui plus confiants et plus unis dans un effort commun pour la sécurité et la prospérité de tous nos peuples » (Discours de Barack Obama à l’occasion de la conférence de presse du G20 à Pittsburgh, 25 septembre 2009).

Le G20 n’est pas « Babylone la grande » et il n’y a rien de mal à appeler à « l’unité, la sécurité et la prospérité ». Le président Obama semble avoir de bonnes intentions humaines pour essayer de traiter au mieux les complexes problèmes mondiaux. Mais le fait est que dans les années à venir, toutes les institutions et toutes les nations commenceront progressivement à être dominées par Babylone la grande. Et pour parvenir à l’unité, à la sécurité et à la prospérité, Babylone la grande réclamera aux autres nations de lui remettre leur souveraineté, leur liberté et leur soumission religieuse.

La signification des promesses brandies par les principaux dirigeants mondiaux lors du G20, pour promouvoir ce nouvel ordre mondial à venir, ne doivent pas nous échapper. Les puissances présentes derrière ce système sont de plus en plus actives.

L’Église de Dieu a depuis longtemps délivré des avertissements précis à propos de ce futur qui verra l’Allemagne conduire un groupe de nations européennes gouvernées par dix rois (ou dix dirigeants) qui sont les successeurs des branches orientale et occidentale de l’ancien Empire romain.

Dès les années 1940, notre prédécesseur dans cette Œuvre, M. Herbert W. Armstrong, avait lancé des avertissements à propos de cette Europe conduite par une Allemagne réunifiée. De même, les dirigeants politiques français et britanniques ont longtemps craint les conséquences d’une résurgence de l’Allemagne. Le mois dernier, des documents secrets publiés par le gouvernement britannique ont révélé que les anciens président français François Mitterrand et Premier ministre britannique Margaret Thatcher étaient inquiets « qu’une Allemagne réunifiée pourrait “même être plus étendue que sous Hitler” » (Financial Times, 10 septembre 2009).

En fin de compte, Babylone la grande utilisera sa force économique et militaire pour tenter d’imposer une entière soumission économique, politique, militaire et religieuse. Cela conduira de nombreuses personnes à se soumettre à ce futur système babylonien, en acceptant la marque de la bête – c’est-à-dire en rejetant les lois de Dieu, Ses Jours saints et Son signe d’obéissance qui est le sabbat.

Il y a des décennies, M. Armstrong avait écrit : « Vous devez choisir à qui vous obéirez – soit vous obéirez à ce futur Empire romain ressuscité par des États-Unis d’Europe et dirigé par la chrétienté traditionnelle, soit vous obéirez à Dieu ! » (Who or What is the Prophetic Beast ?, Ed. 1960, page 35).

Les années à venir seront dangereuses. L’unité, la sécurité et la prospérité véritables… ainsi que les bénédictions abondantes ne deviendront réalité qu’à partir du moment où le Christ établira Son gouvernement millénaire. Pour en apprendre davantage, lisez notre brochure intitulée La bête de l’Apocalypse – Mythe, métaphore ou réalité à venir.