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Combien d’entre nous considèrent les oiseaux comme allant de soi ? Lorsqu’ils sont proches, nous entendons leur chant et les remarquons en train de voler. Lorsqu’ils migrent pour la saison, nous remarquons rarement leur absence. Pourtant, de nombreux oiseaux migrent sur des milliers de kilomètres deux fois par an, revenant à l’endroit exact qu’ils ont quitté six mois plus tôt. Certaines espèces de colibris (de la taille d’une petite figue) migrent sur plus de 5000 km, du Mexique et de l’Amérique centrale à l’Alaska, deux fois par an, en parcourant jusqu’à 833 km par jour (Partnersinflight.org, 30 avril 2020). Mais comment ces minuscules créatures parviennent-elles à naviguer avec une telle précision sans satellites – certaines reviennent même à quelques centimètres de l’endroit d’où elles sont parties des mois plus tôt (The Guardian, 23 mars 2025) ?
Il est intéressant de noter que de nombreux oiseaux migrateurs voyagent de nuit ou seuls, et qu’ils n’apprennent donc pas les techniques de navigation de leurs parents. Comme le découvre le domaine en plein essor de la migration des oiseaux, certains oiseaux « utilisent le champ magnétique terrestre pour trouver leur chemin, et il est probable qu’au moins une partie du mécanisme biologique qui leur permet de le faire puisse être expliquée par la mécanique quantique ». Les scientifiques peaufinent encore leurs théories, mais beaucoup pensent qu’ils se rapprochent de la compréhension de l’utilisation des champs magnétiques par les oiseaux pour se géolocaliser. Comme l’a déclaré un scientifique pour tenter d’expliquer cet exploit phénoménal, « il s’agit d’une incroyable prouesse de détection quantique », réalisée non pas dans un laboratoire de pointe, mais « dans l’environnement organique complexe de l’œil d’un oiseau ».
Alors que les scientifiques sont aux prises avec l’incroyable technologie de la biologie moléculaire et cellulaire des oiseaux, ils s’accrochent à l’idée erronée que cette technologie, bien supérieure à tout ce que les êtres humains ont pu développer jusqu’à présent, est le fruit de forces aléatoires et non guidées. Une fois de plus, on attribue à une évolution insensée une intelligence bien supérieure à celle de l’homme, ce qui n’a aucun sens et va à l’encontre des faits. Pendant combien de temps encore l’humanité niera-t-elle les « perfections invisibles » d’un Dieu réel qui sont clairement visibles dans toute Sa création (Romains 1 :20) ? Pour en savoir plus sur la complexité déconcertante de la création de Dieu, lisez notre article « Petit oiseau, grand miracle ! »