Wallace Smith | Le Monde de Demain

Wallace Smith

Et voici, parut un cheval blanc

Les quatre cavaliers de l’Apocalypse suscitent tant l’émerveillement que la peur et le mystère dans l’esprit de beaucoup d’entre nous. Leur cavalcade commence avec l’arrivée du premier cavalier sur un cheval blanc. Sera-t-il possible de reconnaître ce cavalier lorsqu’il arrivera sur son cheval blanc ? Dans cette émission du Monde de Demain, nous apprendrons comment l’identifier.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Les quatre cavaliers de l’Apocalypse suscitent tant l’émerveillement que la peur et le mystère dans l’esprit de beaucoup d’entre nous. Leur chevauchée à l’approche de la fin des temps apportera de la terreur, des catastrophes et de la dévastation, telles que le monde n’en a jamais connu. Leur cavalcade commence avec l’arrivée du premier cavalier sur un cheval blanc.

Sera-t-il possible de reconnaître ce cavalier lorsqu’il arrivera sur son cheval blanc ? La réponse est affirmative. Dans cette émission du Monde de Demain, nous apprendrons comment l’identifier.

Je reviens d’ici cinq secondes – ne partez pas.

Bonjour et bienvenue au Monde de Demain, où nous vous aidons à donner un sens à votre monde à travers les pages de la Bible.

Aujourd’hui, nous examinerons l’un des plus surprenants signes avant-coureurs de la fin des temps – le fameux premier cavalier de l’Apocalypse – et comment reconnaître son influence même dans le monde aujourd’hui.

Nous vous donnerons également plusieurs occasions de demander notre fascinante brochure gratuite approfondissant ce sujet, Quelle est l'identité de l’Antéchrist ? Gardez l’œil ouvert pour obtenir les informations nécessaires à la demande de votre exemplaire gratuit.

Jésus-Christ nous donne l’explication de l’Apocalypse

Pour commencer notre analyse, nous devons examiner le contexte du livre appelé l’Apocalypse. Ce mystérieux livre est, comme le dit le tout premier verset, la « Révélation de Jésus-Christ », dans laquelle le Sauveur retrace l’Histoire de l’humanité et de l’Église depuis l’époque de l’apôtre Jean jusqu’à la nôtre, en décrivant en détail la fin des temps et Son retour des cieux. Alors qu’Il entre dans la partie de cette vision consacrée à la fin des temps, le Christ montre à Jean quatre chevaux mystérieux et leurs cavaliers – les fameux quatre cavaliers de l’Apocalypse.

« Je regardai, quand l’Agneau ouvrit un des sept sceaux, et j’entendis l’un des quatre êtres vivants qui disait comme d’une voix de tonnerre : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre » (Apocalypse 6 :1-2).

Après ce premier cavalier, trois autres se succèdent, chacun sur un cheval de couleur différente : un roux, un noir, et enfin un verdâtre plutôt malsain.

Chacun représente une vague de calamités qui frappera les peuples de la Terre – dans l’ordre, l’une après l’autre – à la fin des temps… des calamités dont le verset 8 nous dit qu’elles dévasteront « le quart de la terre ». L’identité des deuxième, troisième et quatrième cavaliers est assez claire : le cavalier sur un cheval roux représente la guerre mondiale, le cavalier sur un cheval noir représente la famine et la disette, et le cavalier sur un cheval verdâtre représente les maladies et les pestes dévastatrices.

Pourtant, c’est le cheval blanc qui vient en premier. Tous les autres suivent ce cheval, qui doit venir en premier. Ainsi, pour comprendre à quel moment ces difficultés commenceront, il faut comprendre ce que représente ce cheval blanc et son cavalier.

Clé no1 : le cheval blanc représente un christianisme de contrefaçon

Dans l’émission d’aujourd’hui, nous nous attacherons à vous expliquer, à partir des pages de la parole de Dieu, comment reconnaître l’arrivée de ce cheval blanc et de son cavalier. Ce faisant, il apparaîtra clairement que les bases d’une telle arrivée sont déjà en train d’être posées.

Aujourd’hui, nous vous présenterons donc sept clés qui vous aideront à reconnaître le premier des quatre cavaliers de l’Apocalypse et son cheval blanc.

Nous commencerons par nous tourner vers Celui qui est à l’origine de cette prophétie en tant que notre source d’entendement. Nous avons noté que la vision de Jean dans l’Apocalypse est la « révélation de Jésus-Christ », et c’est Jésus-Christ Lui-même qui nous fournit ailleurs la clé pour comprendre la signification du premier cheval ! Pour cela, il faut se reporter au premier livre du Nouveau Testament, l’Évangile de Matthieu.

C’est là, au chapitre 24, que nous lisons le célèbre discours sur le mont des Oliviers lequel décrit ce qui se passerait depuis l’époque des apôtres jusqu’à nos jours, tout comme le fait le livre de l’Apocalypse.

Lisons les versets 4 à 8. Ici, les disciples de Jésus viennent de L’interroger sur la destruction à venir du temple, Sa venue et la fin de cette ère :

« Et Jésus, répondant, leur dit : Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens. Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres ; prenez garde de ne pas vous troubler, car il faut que toutes ces choses arrivent ; mais ce ne sera pas encore la fin. Car une nation s’élèvera contre une autre nation, et un royaume contre un autre royaume ; et il y aura des famines, des pestes et des tremblements de terre en divers lieux. Mais tout cela ne sera qu’un commencement de douleurs » (Ostervald).

Ces afflictions décrites par Jésus affectent l’humanité depuis des siècles, c’est certain. Le Christ nous avertit de nous garder d’être troublés par toute calamité, à l’approche de ces derniers jours.

Cela dit, reprenons le récit des quatre cavaliers dans l’ordre. Nous avons déjà dit que les deuxième, troisième et quatrième cavaliers dans l’ordre représentent la guerre, la famine et la maladie. Et de quoi parle Christ dans Matthieu 24 ? Des guerres, des famines et des maladies.

Remarquez qu’Il les mentionne exactement dans le même ordre. Les quatre cavaliers représentent des versions de la fin des temps, extrêmes et ultimes, des calamités décrites par Jésus-Christ !

Ensuite, revenons un peu en arrière pour voir le tout premier élément mentionné par Jésus-Christ. Quel est le premier élément cité dont Il avertit Ses disciples ? « Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens » (versets 4-5, Ostervald).

Nous voyons donc qu’avant la guerre, la famine et la maladie, Jésus nous met en garde contre une séduction religieuse. En fait, pas seulement une séduction religieuse au sens large, mais spécifiquement une séduction religieuse en Son nomau nom du « Christ » !

Rappelons que la ponctuation dans la plupart des traductions de la Bible ne figurait pas dans le texte original en grec. Jésus dit à Ses disciples que des gens viendront proclamer qu’Il est le Christ, le Messie, pour ensuite séduire beaucoup de monde.

L’information révélée par Jésus-Christ est la première clé que nous devons rechercher. Le cheval blanc représente donc un christianisme de contrefaçon.

Nous retrouvons également cet aspect de la signification du cheval blanc dans d’autres pages des Écritures. Par exemple, reportez-vous un peu plus loin dans Apocalypse 13. Là, après avoir décrit le titan politique, militaro-économique qui s’élèvera dans les années à venir, la bête de l’Apocalypse, Jésus-Christ révèle à Jean une deuxième bête représentant un deuxième personnage – cette fois-ci, un personnage religieux : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon » (verset 11).

Ici, le symbolisme biblique doit être clairement perçu. Remarquez : cette deuxième bête, le faux prophète à venir, a l’apparence d’un agneau – c’est-à-dire qu’il donne l’impression d’être comme Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu – mais il parle comme un dragon. C’est-à-dire que les doctrines qu’il enseigne sont en réalité les ruses et les mensonges subtils du diable, qui est appelé « le grand dragon » et « le serpent ancien » à deux reprises dans l’Apocalypse (12 :9 ; 20 :2).

Nous entrerons dans les détails de ses mensonges et séductions dans un instant. Mais tout d’abord, il est essentiel de comprendre que ce cheval blanc ne représente pas une fausse religion quelconque. Il symbolise spécifiquement un faux christianisme, un christianisme de contrefaçon, portant le nom de Jésus-Christ en affirmant Le représenter, Lui et Ses enseignements, dans le monde ! Ensuite, nous devons comprendre que ce christianisme de contrefaçon est :

Clé no2 : d’origine très ancienne, il remonte jusqu’au tout début du véritable christianisme

Nous voyons dans les pages de la Bible que les apôtres y faisaient face déjà à leur époque, au cours de la première génération après la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Paul mit en garde les chrétiens de Corinthe contre l’influence de cette contrefaçon :

« Toutefois, de même que le serpent séduisit Ève par sa ruse, je crains que vos pensées ne se corrompent et ne se détournent de la simplicité à l’égard de Christ. Car, si quelqu’un vient vous prêcher un autre Jésus que celui que nous avons prêché, ou si vous recevez un autre esprit que celui que vous avez reçu, ou un autre évangile que celui que vous avez embrassé, vous le supportez fort bien » (2 Corinthiens 11 :3-4).

Remarquez-le : Paul dit que certains prêchaient Jésus et prêchaient l’évangile, mais il s’agissait d’un autre Jésus et d’un autre évangile ! Paul les avertit plus tard qu’en enseignant ces mensonges déguisés en véritable christianisme, « Satan lui-même se déguise en ange de lumière » (verset 14) !

L’influence corruptrice de ce christianisme de contrefaçon était si répandue que le frère de Jésus, Jude, dut mettre en garde l’Église dans son épître :

« Bien-aimés, alors que je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de vous envoyer cette lettre pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Car il s’est glissé parmi vous certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps, des impies, qui changent la grâce de notre Dieu en dérèglement, et qui renient notre seul maître et Seigneur Jésus-Christ » (Jude 1 :3-4).

Malgré les dires de l’avènement d’un Antéchrist aux derniers jours, il convient de noter ce que l’apôtre Jean écrivit vers la fin du premier siècle, il y a près de 2000 ans :

« Petits enfants, c’est la dernière heure, et comme vous avez appris qu’un antéchrist vient, il y a maintenant plusieurs antéchrists : par là nous connaissons que c’est la dernière heure » (1 Jean 2 :18).

Oui, le faux christianisme représenté par le cheval blanc ne sera pas une « nouvelle » religion. Il est doté d’un ancien pédigrée, remontant à plus de 2000 ans. Encore une fois, il ressemble au christianisme mais prononce les paroles du dragon. Ce sont les enseignements de la fausse Église qui nous donnent la clé suivante pour identifier le cheval blanc :

Clé no3 : ce système religieux et son dirigeant seront impies, faisant des compromis avec la loi de Dieu

L’apôtre Paul a appelé le système de l’Antéchrist « le mystère du mal », disant qu’il était « déjà » à l’œuvre (2 Thessaloniciens 2 :7) en son temps – et que le « Sans Loi » (Nouvelle Bible Segond) à venir (versets 8-9) sera détruit et réduit à néant lors du retour du Christ. Il convient d’être prudent. Le terme « Sans Loi » (Nouvelle Bible Segond) ne signifie pas qu’il est complètement dépourvu de loi ou d’ordre. Bien au contraire !

Le livre de Daniel, dans l’Ancien Testament, révèle un détail important concernant ce futur chef religieux « sans foi ni loi ». « Il prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très-Haut, et il espérera changer les temps et la loi » (7 :25).

Remarquez qu’Il espérera changer les temps et la loi ! Ce système anarchique aura de nombreux canons, credo, jugements et décisions ecclésiastiques. Sa « loi ecclésiastique » sera peut-être rigoureuse et détaillée ! Mais la loi qui importe à Dieu est Sa propre loi ! Cette fausse Église rejettera cette loi ! Malgré un calendrier de culte riche et rempli de fêtes, ce calendrier constitue un changement par rapport aux Jours de culte ordonnés par Dieu dans Sa parole !

En effet, ce système est un ensemble de compromis – un mélange des éléments de la vérité de Dieu et des influences corruptrices des philosophies de ce monde et du paganisme.

C’est ce que nous voyons dans Apocalypse 17. Cette structure chrétienne, fausse et contrefaite, y est dépeinte comme une prostituée :

« Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m’adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à la débauche, et c’est du vin de sa débauche que les habitants de la terre se sont enivrés » (versets 1-2).

Nous reparlerons plus en détail de cette prostituée prophétique plus tard dans notre émission, mais pour l’instant il est essentiel de comprendre que la compromission de la vraie foi et de sa mise en pratique, en la mêlant avec des idées et des pratiques fausses et païennes, est symbolisée dans la Bible souvent par la prostitution, la fornication et l’adultère. On en trouve des exemples dans Osée (1 :2), Ésaïe (57 :3) et ailleurs dans les Écritures. La quatrième révèle que le cheval blanc représente :

Clé no 4 : une Église puissante et qui persécute

Poursuivons la lecture d’Apocalypse 17 sur la grande prostituée qui représente cette fausse Église chrétienne :

« Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution » (verset 4).

Le pourpre et l’écarlate, l’or, les pierres précieuses et les perles, dénotent la richesse de la prostituée, et son ostentation à la vue du monde entier. Ce faux système religieux possède une richesse et une influence mondiale considérables. Nous avons lu aux versets 1 et 2, qu’elle est assise sur « les grandes eaux » et qu’elle a des relations avec « les rois de la terre ».

Dans la vision de Jean, le guide angélique explique la signification des eaux : « Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues » (verset 15).

Cette fausse Église est d’une portée universelle, ayant des fidèles dans le monde entier. Comment cette organisation qui prétend être l’Église du Christ a-t-elle utilisé sa richesse et son influence ? Elle a persécuté, assassiné et martyrisé ceux qui ont cherché à suivre et à obéir au vrai Jésus-Christ. Remarquez que le verset 6 dit que la femme était « ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. »

C’est ce qu’indique également le passage de Daniel 7 que nous avons lu plus tôt, lequel dit que les saints seront livrés entre les mains de ce faux prophète, « pendant un temps, des temps, et la moitié d’un temps », c’est-à-dire pendant la durée de la grande tribulation (verset 25).

Rappelons la description originelle du cheval blanc. Apocalypse 6 :2 dit que le cavalier « avait un arc » et « partait en vainqueur et pour vaincre ». Cela nous dit qu’il ne s’agit pas d’une Église désireuse de convertir les autres par la simple prédication de l’Évangile et en donnant le bon exemple. La persécution à venir fera passer les inquisitions des siècles passés pour un jeu d’enfant.

Une autre stratégie utilisée par cette fausse chrétienté dans sa persécution des vrais chrétiens constitue notre prochaine clé d’identification du cheval blanc :

Clé no 5 : cette fausse Église sera enrôlée dans une alliance politico-religieuse impie

Remarquez que la grande prostituée d’Apocalypse 17 n’est pas seule. Lisez la description de Jean au verset 3 : « Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes ». Les têtes de cette bête représentent les résurgences successives de l’Empire romain dans l’Histoire, culminant à l’entité politique finale, puissante, de la fin des temps, qui ébranlera le monde. Remarquez que cette femme, à califourchon sur la bête, la chevauche et dirige ses mouvements.

Il est intéressant de noter qu’au verset 9, il est dit que la femme est assise sur sept montagnes. Rome est connue comme la ville aux sept collines, d’après les sept collines sur lesquelles la ville est située. Cette immense et fausse Église, qui s’étend sur tout le globe, est intimement associée à Rome et participera à une alliance impie avec la résurgence finale de l’Empire romain à l’approche du retour de Jésus-Christ. Apocalypse 13 dépeint cette alliance, dans laquelle chaque partie profite égoïstement du pouvoir et de l’influence de l’autre.

La prochaine clé de notre liste parle de l’un des avantages de cette alliance dont jouira la bête :

Clé no 6 : Cette fausse Église manifestera des signes et des prodiges puissants à l’approche de la fin de cette ère

L’apôtre Paul décrit ces signes surnaturels dans le passage que nous avons lu précédemment : « L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers » (2 Thessaloniciens 2 :9). Apocalypse 13 :13 les décrit également : « Elle opérait de grands prodiges, jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. »

L’Antéchrist ou le faux prophète à venir utilisera ces signes et ces prodiges pour unifier l’humanité et la diriger vers la grande bête, renforçant ainsi l’autorité de la bête, son influence et sa puissance à l’échelle mondiale. Enfin, nous arrivons à la septième clé :

Clé no 7 : cette fausse Église est la mère d’autres Églises apostates

C’est un point qui peut facilement passer inaperçu, mais il est bien visible dans la parole de Dieu. Regardez avec moi dans Apocalypse 17. Lorsque nous lisons attentivement la description que fait Jean de la grande prostituée qui représente ce faux christianisme, nous voyons un détail important au verset 5 : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des prostituées et des abominations de la terre. »

La grande prostituée n’est pas unique. Elle est la mère de beaucoup d’autres Églises prostituées apostates – la mère de beaucoup d’autres dénominations chrétiennes qui, comme leur mère, mêlent dans leurs doctrines et traditions des éléments des vérités bibliques avec des philosophies humaines et des pratiques païennes ! Toutes prétendent parler au nom du Christ, mais toutes sont liées au même faux système.

Ces sept caractéristiques, ces sept clés, vous permettront de reconnaître le cheval blanc et son cavalier lorsqu’ils feront irruption sur la scène ! Pour ceux qui ont des yeux pour voir, elles révèlent comment le système qu’elles identifient opère dans le monde depuis presque deux mille ans revendiquant faussement le nom de Christ et se préparant désormais à l’avenir funeste que la parole de Dieu prophétise depuis si longtemps.

Le cinquième cavalier

Pourtant, l’histoire ne se termine pas avec le premier cavalier qui monte sur le cheval blanc. Après tout, ce n’est que le premier des quatre cavaliers. En fait, pour reconnaître le premier cavalier, il faut savoir qu’il n’y a pas seulement quatre cavaliers dans le livre de l’Apocalypse – il en contient cinq ! Et l’identité du cinquième cavalier est, à bien des égards, la plus importante de toutes ! Nous le lisons dans Apocalypse 19 :11 : « Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc ». Remarquez que ce passage mentionne les mêmes mots ! « Et voici, parut un cheval blanc ! » (Apocalypse 6 :2). Pourtant, comme nous le verrons, il s’agit d’un cheval bien différent, et assurément d’un cavalier tout aussi différent ! Poursuivons :

« Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même ; et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu » (Apocalypse 19 :11-13).

Il ne s’agit pas d’un prétendant au trône ou d’un faux Messie. C’est le vrai Jésus-Christ, la Parole de Dieu. Tout comme le premier cavalier d’Apocalypse 6, Il est Lui aussi armé, comme nous le voyons dans Apocalypse 19 :15 : « De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations ». Et, bien sûr, Éphésiens 6 :17 nous dit que « l’épée de l’Esprit […] est la parole de Dieu. » Remarquez que ce récit est parfaitement conforme avec la première clé concernant le premier cavalier et son cheval blanc qui se révèle être un imposteur…

Tous deux montent un cheval blanc, mais le premier des quatre cavaliers porte une seule « couronne », alors que Jésus-Christ apparaît avec « plusieurs diadèmes » sur Sa tête. Le premier des quatre cavaliers « avait un arc », mais le Sauveur s’avance avec « une épée aiguë » qui sort de Sa bouche. Encore une fois, la fausse Église ressemble au vrai christianisme, mais, avec l’aide de Dieu, nous pouvons repérer les différences !

Mais le fait le plus important est énoncé dans Apocalypse 19 :16 : Le cavalier de ce cheval venant du ciel est « Roi des rois et Seigneur des seigneurs ». Il apportera avec Lui un monde nouveau – le monde de demain.

Ici, au Monde de Demain, nous espérons que vous attendez avec autant d’impatience que nous l’arrivée de ce cinquième cavalier.


1700 ans après Nicée



Le concile de Nicée posa les bases du christianisme dominant actuel, mais celles-ci reposent-elles sur une erreur ?

Les petits secrets bien gardés de l’évolution

La théorie de l’évolution par la sélection naturelle, publiée pour la première fois il y a plus d’un siècle par Charles Darwin, est considérée comme l’une des théories scientifiques les plus significatives au cours de l’Histoire. Son impact sur la vie moderne – dans pratiquement tous les domaines de la connaissance – serait en effet difficile à mesurer. Mais est-elle réelle ? Rejoignez-nous dans cet épisode du Monde de Demain où nous dévoilerons quelques-uns des petits secrets bien gardés de l’évolution.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

La théorie de l’évolution par la sélection naturelle, publiée pour la première fois il y a plus d’un siècle par Charles Darwin, est considérée comme l’une des théories scientifiques les plus significatives au cours de l’Histoire. Son impact sur la vie moderne – dans pratiquement tous les domaines de la connaissance – serait en effet difficile à mesurer.

Mais est-elle réelle ? Nombreux affirmeront : « Bien sûr ! L’évolution a été prouvée des milliers de fois ! Les preuves dont nous disposons en font un fait de la nature ! » Les preuves remontant à 1859 sont-elles vraiment si fiables ? La théorie de l’évolution est-elle vraiment indéniable ? Eh bien, non, ce n’est pas le cas. Aujourd’hui, nous allons lever le voile sur certains faits que de nombreux évolutionnistes préféreraient que vous ne connaissiez pas.

Rejoignez-nous dans cet épisode du Monde de Demain où nous dévoilerons quelques-uns des petits secrets bien gardés de l’évolution.

Bienvenue au Monde de Demain, où nous vous aidons à comprendre votre monde à travers les pages de la Bible. Notre sujet d’aujourd’hui peut sembler très éloigné de la Bible : la théorie de l’évolution. C’est peut-être l’une des théories scientifiques les plus significatives au cours de l’Histoire, avec un impact incommensurable sur la science, la philosophie, l’éducation, la politique et même la religion. Beaucoup de voix influentes nous assurent que la véracité de cette théorie est prouvée, qu’aucune personne intelligente ou éduquée n’oserait la remettre en question.

Eh bien, aujourd’hui, nous allons oser la remettre en question. Car si l’évolution fait bonne figure, elle renferme une longue liste de petits secrets bien gardés dont vous n’avez pas l’habitude d’entendre parler dans les salles de classe ou dans les émissions télévisées. Et plus on en apprend sur ces lacunes de l’évolution, plus on se demande pourquoi tant de gens font confiance à une idée qui n’a pas encore été prouvée.

Il s’agit d’un sujet vaste, et nous ne ferons que l’effleurer aujourd’hui. Commençons par vérifier ce que nous entendons par le terme « évolution ». En affirmant que la vie a commencé il y a très longtemps, sous une forme beaucoup plus simple, peut-être celle d’une bactérie microscopique, la théorie de l’évolution affirme qu’au cours de millions, voire de milliards d’années, la lutte pour la survie a octroyé des variations minimes et aléatoires chez les descendants de cette première forme de vie – des variations qui leur ont donné un avantage, peut-être le fait de trouver leur alimentation plus rapidement ou de se reproduire avec plus de réussite – tout en punissant les autres descendants chez qui ces adaptations aléatoires entravèrent leur survie.

L’évolution déclare qu’à travers ce processus simple, naturel, dénué d’intelligence et sans direction – une sélection naturelle basée sur des variations aléatoires – pendant des milliards d’années, ces organismes bactériologiques microscopiques devinrent l’époustouflante variété de vies que nous voyons autour de nous, y compris les êtres humains, sans que l’intervention d’un Concepteur ou d’un Créateur ne soit nécessaire.

Il n’y a pas longtemps, la célèbre maison d’enchères britannique Sotheby’s a mis en vente une lettre manuscrite de Charles Darwin, écrite en 1865, défendant la théorie de l’évolution qu’il avait expliquée en 1859 dans son ouvrage intitulé L’origine des espèces au moyen de la sélection naturelle ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie. L’enchère victorieuse s’éleva à 719.000 £ (soit 810.000 € ou presque 1,2 million de dollars canadiens).

Pourquoi un simple feuillet a-t-il atteint un tel prix ? Plusieurs facteurs entrent en jeu, mais le rôle emblématique de Darwin dans l’histoire humaine est probablement le plus important. Sotheby’s qualifia L’origine des espèces de Darwin comme « un des plus grands aboutissements de la découverte scientifique ». L’historien des sciences Bern Dibner écrivit que ce livre est « l’ouvrage le plus important de l’histoire des sciences » (Heralds of Science, 1955, p. 62, cite dans les collections Aristophil, catalogue Drouout, Aguttes, p. 72).

Assurément des louanges très élevées. Mais est-ce exact ? La théorie de l’évolution est-elle vraiment indéniable ? Si toutes les formes de vie que nous connaissons de nos jours sont le résultat d’un processus aveugle, alors oui, l’ouvrage de Darwin est un gigantesque accomplissement dans l’histoire humaine, une découverte monumentale qui place l’homme à sa place, qui n’aurait rien de spécial ni de remarquable, juste une forme de vie aléatoire sur une planète quelconque et sans finalité. Si cette théorie est véridique, alors la vie n’aurait aucun sens.

Encore une fois… si cette théorie est véridique. Beaucoup clament haut et fort que la théorie de l’évolution est réelle. Le défenseur de l’évolution Jerry Coyne l’a écrit dans son livre Évolution – les preuves :

« L’évolution est un fait. Loin de jeter le doute sur le darwinisme, les données rassemblées par les scientifiques au cours des 150 dernières [années] conspirent toutes à le confirmer. Elles montrent que l’évolution a eu lieu et qu’elle s’est déroulée en grande partie de la manière dont Darwin l’avait proposé, suivant les mécanismes de la sélection naturelle » (Évolution : les preuves, Jerry Coyne, édition Markus Haller, p. 15-15, traduction Florian Cova).

En fait, beaucoup de gens veulent que l’évolution soit véridique. La théorie de Darwin est devenue une échappatoire pour ceux qui espèrent expliquer la formidable diversité et complexité de la vie en l’absence d’un Créateur. Comme le biologiste Richard Dawkins l’a écrit : « C’est grâce à Darwin que l’athéisme a pu être une solution pleinement satisfaisante pour l’intellect » (L’horloger aveugle, Richard Dawkins, éditions Robert Laffont, p. 21, traduction Bernard Sigaud).

A-t-il raison ? Encore une fois, la réponse est « oui », mais à condition que la preuve ait été faite que l’évolution soit véridique. Or, ce n’est pas le cas.

Malgré les allégations disant que toutes les preuves soutiennent l’évolution, la vérité est que cette théorie renferme un grand nombre de petits secrets bien gardés dont les programmes scolaires et scientifiques ne parlent pas ouvertement.

Secret n°1 : la structure unicellulaire discrédite la théorie de l’évolution

Le premier petit secret est que la structure unicellulaire la plus simple et la plus basique discrédite la théorie de l’évolution. À l’époque de Darwin, les scientifiques savaient peu de choses sur les cellules. Des organismes unicellulaires comme les amibes furent décrits par George Henry Lewes, un contemporain de Darwin, telle « une masse microscopique à la substance semblable à de la gelée, ou du protoplasme […] entièrement dénué de texture et, par conséquent, dénué d’organes » (Problems of Life and Mind, 1887, p. 38).

Dans d’autres cellules, comme celles du corps humain, il est possible d’observer un noyau, mais son but était un mystère et la cellule semblait généralement n’avoir aucune particularité, car presque aucun détail n’était visible.

À cette époque, lorsque l’unité de vie la plus simple et la plus petite semblait aussi basique – un morceau de gelée avec quelques fonctions inintéressantes – il était facile d’imaginer que, d’une manière ou d’une autre, quelque chose puisse avoir lieu dans cette mystérieuse gelée « générant de la vie ». Mais avec l’amélioration des microscopes et de la technologie, il est devenu possible de percer les secrets à l’intérieur des cellules. Nous avons alors découvert que cette substance basique « semblable à de la gelée » était constituée d’une machinerie complexe et d’une fonctionnalité à couper le souffle, d’une ingénierie remarquable et d’une conception magistrale.

Par exemple, environ un milliard de réactions chimiques ont lieu chaque seconde dans une cellule humaine. Ces réactions chimiques ne sont pas aléatoires. Chaque cellule humaine contient des dizaines de milliers de protéines, elles-mêmes de milliers de variétés différentes – des machines moléculaires conçues pour travailler ensemble afin d’atteindre des objectifs spécifiques, manipulant leur environnement pour créer de nouvelles structures ou pour démanteler d’anciennes structures dans une danse dynamique de complexité qui, en comparaison, ferait passer une navette spatiale pour un engin archaïque.

Dans la ressource gratuite d’aujourd’hui, nous incluons un diagramme d’une protéine motrice utilisée par certaines bactéries pour se déplacer, composée de 78.216 atomes différents. Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres montrant la vaste complexité de la machinerie cellulaire que Darwin et ses contemporains n’auraient même pas osé imaginer.

La vie serait impossible sans ces machines complexes et le moindre changement évolutif hypothétique impliquerait une modification de celles-ci, voire la création de nouvelles machines.

Le biochimiste Douglas Axe a examiné la probabilité qu’une seule protéine, accomplissant une fonction significative, puisse se former par hasard. Son estimation est de 1 sur 1064, c’est-à-dire un 1 suivi de 64 zéros. Avec sa collègue Ann Gauger, Axe a exploré la possibilité qu’une protéine évolue depuis une autre protéine similaire, impliquant des changements minimes de l’ADN. Avec les taux de mutation actuellement compris, ils ont trouvé qu’il faudrait 1027 années pour qu’un tel changement ait lieu, c’est-à-dire un 1 suivi de 27 zéros.

À titre de comparaison, le consensus de la communauté scientifique établit que notre Univers serait vieux de 13,7 milliards d’années. Songez qu’un milliard est un 1 suivi de seulement neuf zéros. Autrement dit, l’existence des protéines ne peut pas se produire sans une intervention intelligente.

Même la structure unicellulaire la plus simple et la plus basique discrédite la théorie de l’évolution.

Secret n°2 : l’ADN représente un système de codification abstrait qui implique une intelligence supérieure

La nature de l’ADN, la molécule que je viens de mentionner, est un autre petit secret bien gardé de l’évolution, car l’ADN représente un système de codification abstrait qui implique une intelligence supérieure.

L’acide désoxyribonucléique, ou ADN, était inconnu à l’époque de Darwin, or il a la responsabilité de véhiculer les informations nécessaires pour construire chacune des protéines rendant la vie possible. Chaque noyau de chaque cellule dans le corps humain contient environ deux mètres d’ADN entassés dans un point microscopique. Chacun d’entre eux contient les informations nécessaires pour vous construire.

L’ADN utilise des paires de bases, combinant quatre composés, qui agissent comme les 0 et les 1 dans un code informatique, donnant à notre machinerie cellulaire les informations détaillées nécessaires pour construire les protéines complexes nécessaires à la vie. Les protéines lisent notre code ADN et, en fonction de cette information, assemblent de nouvelles protéines à partir d’acides aminés séquencés avec précision. Ainsi, chaque cellule est une usine chimique complexe, créant une machinerie nanoscopique conçue dans un but précis, ainsi que certains des composés chimiques les plus complexes de tout l’Univers.

Mais quelle est l’origine de cette information, de ce code de programmation abstrait ? L’évolution ne peut pas s’attribuer ce mérite, puisqu’elle ne serait qu’un processus aveugle et sans objectif. Et d’où vient l’ADN ? Vous ne pouvez pas construire des protéines sans ADN, or l’ADN lui-même est formé par des protéines.

La découverte de l’ADN aurait dû être un grand succès pour l’évolution : le secret révélant finalement comment les caractéristiques de la vie sont transmises à nos descendants. Mais l’ADN s’est avéré être une catastrophe pour l’évolution. L’idée d’une molécule massive, riche en informations, contenant un code de programmation abstrait et permettant de maintenir et d’organiser l’information nécessaire pour construire la machinerie complexe de la vie est incompatible avec l’idée évolutionniste affirmant que la vie est devenue complexe au travers de processus naturels aveugles et dénués d’informations.

Les évolutionnistes ne peuvent pas nier que l’ADN représente un système de codification abstrait qui implique une intelligence supérieure.

Secret n°3 : les lacunes dans les fossiles découverts n’ont cessé de croître depuis l’époque de Darwin

Notre prochain secret bien gardé de l’évolution nous permet de renvoyer la balle. Le secret est que les lacunes dans les fossiles découverts n’ont cessé de croître depuis l’époque de Darwin, au lieu de diminuer.

La théorie de l’évolution dépend de l’accumulation lente et progressive de légères variations, tandis que de grands « bonds » impliqueraient qu’il y ait un concepteur ou un planificateur. Selon l’évolution, le résultat devrait montrer une transition régulière dans les fossiles : des animaux se « transformant » graduellement, presque imperceptiblement, en de nouvelles espèces à travers des changements minimes et progressifs.

Mais ce n’est pas ce que montrent les fossiles retrouvés. Au lieu d’observer une transition progressive et régulière entre les créatures, nous voyons des lacunes, ou des chaînons manquants, entre les différentes espèces animales. Les lacunes ont persisté, comme Michael Denton l’a fait remarquer dans son ouvrage précurseur Évolution : Une théorie en crise :

« Comme nous le rappelle Steven Stanley dans son récent livre Macroévolution, l’image globale de la vie sur Terre est à tel point discontinue, les fossés entre les types tellement évidents, que si nos connaissances en biologie s’arrêtaient aux espèces actuellement existantes “nous devrions nous demander si la doctrine de l’évolution n’est pas autre chose qu’une hypothèse excessive”. Sans formes transitoires pour combler les énormes fossés qui séparent les espèces et les groupes d’organismes existants, on ne pourrait pas vraiment envisager le concept d’évolution comme une hypothèse scientifique » (Évolution : Une théorie en crise, Michael Denton, éditions Flammarion, p. 163-164, traduction Nicolas Balbo).

Bien entendu, des semblants de lignes « continues » de progression évolutive sont souvent présentées pour prétendre que les lacunes ne sont pas aussi problématiques qu’elles en ont l’air. Par exemple, vous verrez des séquences théoriques pour l’évolution des baleines, des chevaux et même des humains. Non seulement ces séquences sont trompeuses et n’apportent pas de preuves, mais si l’évolution était réelle, de telles séquences seraient la norme, pas l’exception.

Ironiquement, les évolutionnistes accusent souvent les croyants d’avoir foi en un « Dieu des lacunes » qui effectuerait par magie tout ce qu’ils n’arrivent pas à expliquer. Cependant, les lacunes inexplicables dans les fossiles – le poil à gratter de l’évolution depuis plus de 150 ans – renvoient la balle aux évolutionnistes et exposent le fait qu’ils doivent exercer une foi aveugle et croire à leur propre « dieu des lacunes », ou plus précisément à leur « Darwin des lacunes ».

Secret n°4 : l’évolution n’offre aucune explication crédible montrant comment de nouveaux organes peuvent se former

Pour découvrir le dernier secret bien gardé, tout ce dont vous avez besoin est de regarder vos yeux dans un miroir. Ils sont un défi remarquable à l’évolution, car celle-ci n’offre aucune explication crédible montrant comment de nouveaux organes peuvent se former.

Dans les Psaumes, le roi David loue Dieu et s’adresse à son Créateur : « Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse » (Psaume 139 :14). Nous constatons une facette de cet émerveillement dans les organes du corps, comme l’œil.

Après tout, les organes représentent non seulement des tissus spécialisés, mais aussi des systèmes interconnectés – souvent une imbrication de systèmes – finement ajustés et parfaitement structurés pour travailler ensemble. S’il manque un seul élément, l’ensemble de la structure peut tomber en panne. L’amélioration de l’organe impliquerait que chaque pièce ou chaque élément évolue conjointement avec toutes les autres pièces. Cela requiert un niveau de coordination que l’évolution est totalement incapable d’atteindre.

Il n’y a pas très longtemps, le journal britannique The Guardian résuma ce problème dans un article. Celui-ci commençait avec l’explication traditionnelle de l’évolution de l’œil. Il s’agit de la théorie donnée depuis plusieurs décennies par des milliers d’enseignants à d’innombrables étudiants. Ils expliquent que, pour une raison ou une autre, les animaux qui ont des cellules sensibles à la lumière ont connu une série de légères mutations leur conférant des avantages croissants de survie. Peut-être qu’une légère excavation de la chair autour des cellules a aidé à focaliser la lumière et, au fil du temps, une protection transparente a fini par sceller cet espace afin de devenir lentement une lentille. Puis, les muscles ont réussi à mieux configurer cette lentille et à lui permettre d’en régler la focale. L’article continue :

« C’est l’histoire basique de l’évolution, comme le rapportent d’innombrables manuels et best-sellers de vulgarisation scientifique. Le problème, selon un nombre croissant de scientifiques, est que c’est ridiculement grossier et trompeur.  

D’une part, [cette hypothèse] prend l’histoire en cours de route, tenant pour acquis l’existence des cellules photosensibles, des lentilles et des iris, sans expliquer d’où ils viennent en premier lieu. Cela n’explique pas non plus comment des composants aussi délicats, et facilement perturbables, se sont harmonisés pour former un organe distinct. Et cette théorie traditionnelle ne se heurte pas qu’aux yeux. Comme l’explique Armin Moczek, biologiste à l’université de l’Indiana : “Le premier œil, la première aile, le premier placenta. La façon dont ils apparaissent. Expliquer cela est la motivation fondamentale de la biologie évolutionniste” » (“Do we need a new theory of evolution”, The Guardian, 28 juin 2022).

En bref, l’évolution promet de pouvoir expliquer comment notre corps et nos organes, précisément organisés et remarquablement fonctionnels, sont supposés s’être formés graduellement pendant des millénaires, mais en réalité, elle n’en a aucune idée.

Le fait que l’évolution n’offre toujours pas une explication valable montrant comment de nouveaux organes peuvent se former est un petit secret bien gardé qui détruit une théorie développée depuis plus de 160 ans.

Le seul point de départ possible

Je sais que Le magicien d’Oz est un classique, mais je ne suis pas particulièrement amateur de cette histoire. Lorsque je l’ai vu pour la première fois, je n’étais qu’un petit enfant et, franchement, j’avais trouvé les singes ailés plutôt effrayants !

Mais en grandissant, une scène que j’aime beaucoup resta dans ma mémoire. Elle se situe vers la fin du film, lorsque Dorothée et son groupe confrontent le terrifiant magicien d’Oz car il n’a pas tenu ses promesses. Des flammes jaillissent, le tonnerre gronde et le magicien leur parle sous la forme d’une énorme et monstrueuse tête verte qui les surplombe, en leur criant : « N’irritez pas le grand et redoutable Oz ! »

Dans le même temps, Toto, le chien de Dorothée, s’écarte vers la gauche et tire un rideau vert afin de révéler un vieil homme aux cheveux blancs utilisant une machine pour créer l’illusion qu’ils étaient tous en train de regarder et parlant dans un microphone pour amplifier sa voix et la rendre vraiment terrifiante.

Mon moment favori est lorsque le vieil homme regarde dans leur direction, se rend compte qu’ils peuvent le voir, mais se tourne à nouveau vers le microphone et demande : « Ne faites pas attention à cet homme derrière le rideau ! »

Les forces déployées pour convaincre les gens de ne pas remettre en question la théorie de l’évolution sont très similaires. Il y a du tonnerre et des flammes, des proclamations impressionnantes à propos des « preuves », et beaucoup de théâtre destiné à vous faire penser qu’il n’y pas l’ombre d’un doute.

Mais comme le magicien d’Oz, l’évolution n’a pas tenu ses promesses. Cette théorie promet une explication de vos origines, une explication qui n’a besoin ni de Dieu ni d’une intelligence quelconque, juste d’un microbe initial, d’un processus naturel et aveugle, et de quelques milliards d’années.

Nous devons avoir la volonté d’ouvrir le rideau, de ne pas être impressionnés par tout ce théâtre. Nous devons avoir le courage de remettre en question ce qui nous est présenté et nous devons être suffisamment forts pour décrier l’évolution car elle ne tient pas ses promesses.

Pour faire référence à une autre fiction, ce fut peut-être difficile le jour où vous avez appris que le Père Noël n’existait pas, mais cette prise de conscience vous a fait avancer dans le monde réel et vous a éloigné d’un monde imaginaire.

Reconnaître les petits secrets bien gardés de l’évolution peut également vous aider à vous éloigner d’un monde imaginaire. Cependant, les questions que les évolutionnistes se posent demeurent : D’où venons-nous ? Comment la vie est-elle apparue ? L’existence a-t-elle un but ? Dans l’affirmative, quel est-il ?

En vous débarrassant de la fumée, des flammes et du tonnerre du théâtre évolutionniste, vous pourrez voir les véritables réponses à ces questions. Ce faisant, si vous cherchez vraiment des réponses avec un esprit et un cœur ouverts, grâce à l’aide de Dieu, vous trouverez la voie vers le seul point de départ possible, qui est le tout premier verset de la Bible : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1 :1). J’espère que vous trouverez le courage de regarder plus souvent derrière le rideau.


Notre Terre bibliquement vieille



Dans notre monde moderne, la science et la Bible semblent être constamment mises en opposition. Certaines questions restent assurément en suspens, mais de nombreux « conflits » entre la science et la Bible sont des illusions, résultant soit d’une mauvaise compréhension des données scientifiques, soit d’une mauvaise compréhension de la vérité de la parole de Dieu.

L’âge de la Terre en est un exemple. Les chrétiens devraient-ils s’opposer aux théories des géologues de renom afin de pouvoir accepter les affirmations bibliques ? Quel est l’âge de la Terre ?

Pages