William Bowmer | Le Monde de Demain

William Bowmer

Kaboul et la prophétie



Alors que les États-Unis ont subi une défaite sans précédent, après un engagement de 20 ans pour « libérer » l’Afghanistan des talibans, beaucoup se demandent ce que nous réserve l’avenir.

La chute du mur de Berlin : Les prophéties bibliques et la main de Dieu



La petite Angela Kasner, fille d’un pasteur luthérien en Allemagne de l’Est, sous la gouvernance de la Russie, avait à peine deux ans quand un prédicateur radio américain publiait dans son magazine cette déclaration stupéfiante : « La voie est en train d’être préparée pour l’avènement d’une troisième force colossale dans le monde politique – une Fédération de nations européennes qui sera plus puissante que la Russie ou les Etats-Unis !… Nous avons montré, des années à l’avance, l’avenir de l’empire russe en Europe orientale » (Plain Truth, décembre 1956, page 3).

L’œcuménisme et les prophéties des temps de la fin



Le psalmiste écrivit : « Voici, oh ! qu’il est bon et qu’il est agréable que des frères demeurent unis ensemble ! » (Psaume 133 :1, Ostervald). L’apôtre Paul attendait avec espoir l’époque où « nous [serons] tous parvenus à l’unité de la foi » (Éphésiens 4 :13). Que révèlent les prophéties bibliques sur les efforts actuels pour l’unité de l’Église ? Quelles sont les implications de l’unité parmi ceux qui professent le Christ ?

Rester ferme dans le véritable Évangile !



Dans un monde où près d’une personne sur quatre est capable de nommer les quatre premiers livres du Nouveau Testament, connus comme les « Évangiles », n’est-il pas surprenant que la plupart des gens ne comprennent pas le véritable Évangile proclamé par Jésus-Christ et les apôtres ? De nombreuses personnes acceptent des promesses fausses et superficielles, au lieu du message du Christ, tandis que d’autres tordent les enseignements au point de renier le Christ Lui-même ! Alors quel est le véritable Évangile ?

Facebook : ami ou ennemi ?



Des chercheurs ont trouvé que les utilisateurs intensifs du réseau social Facebook avaient tendance à être plus instables et égoïstes que ceux qui n’utilisent pas ce site populaire. « Les individus les plus narcissiques et ceux qui ont une faible estime de soi passent plus de temps sur le site et ils remplissent leurs pages avec davantage de contenu auto-promotionnel », selon un récent communiqué de presse de l’Université d’York.

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