| Le Monde de Demain

Les horreurs de la guerre en Syrie



Le site de l’Associated Press titrait récemment : « Plus de place pour les morts alors qu’Alep, en Syrie, est écrasée » (4 décembre 2016).

L’Italie et l’avenir de l’Union européenne



« L’Italie et la zone euro ont été plongées dans l’incertitude après que le Premier ministre [italien] Matteo Renzi a annoncé sa démission, suite à la cuisante défaite lors du referendum de dimanche sur la réforme constitutionnelle […] Les Italiens ont rejeté les réformes de Renzi par 60% contre 40%, et cela marque une grande victoire politique pour le mouvement populiste anti-euro Cinq étoiles » (EU Observer, 5 décembre 2016).

Les mots peuvent blesser



Tous ceux qui suivent les actualités, où qui observent la scène mondiale autour d’eux, sont frappés par la généralisation du manque de civisme. Nous voyons cela dans les reportages et dans les événements eux-mêmes. Nous voyons cela dans les relations quotidiennes entre les gens dans tous les aspects de la vie. Dans la plupart des échanges qui impliquent des différences d’opinions, le ton se durcit et monte rapidement. Que ce soit au Sénat, au Parlement ou dans les rues de nos villes – depuis les chambres à coucher jusqu’aux chambres du Parlement – il semble que les conflits soient dans l’air du temps.

Les “larmes noires” de Pearl Harbor



La visite du mémorial de l’USS Arizona à Pearl Harbor, au large de l’île d’Oahu, à Hawaï, fut une expérience émouvante. Cette attaque (le 7 décembre 1941) avait propulsé les États-Unis dans la Deuxième Guerre mondiale et elle a affectée la vie de millions d’Américains, y compris dans ma famille. Saisi d’indignation et de ferveur patriotique, mon propre père s’engagea dans la Marine américaine trois jours plus tard.

De plus en plus d’espèces disparaissent !



« Selon une nouvelle étude, le nombre d’animaux sauvages vivant sur la Terre devrait diminuer de deux tiers d’ici à 2020, en partie à cause de l’extinction de masse qui détruit le milieu naturel dont dépend l’humanité. Cette recherche, qui est la plus exhaustive à ce jour, montre que les populations animales ont fondu de 58% entre 1970 et 2012. À ce rythme-là, cette baisse devrait atteindre 67% à l’horizon 2020.

Pages