| Le Monde de Demain

Endettement, désobéissance et chute des nations



Deux des plus puissantes et influentes nations dans l’histoire du monde – la Grande-Bretagne et les États-Unis d’Amérique – sont en train de chanceler, et se trouvent au bord de l’effondrement économique et de l’asphyxie nationale. Cette sinistre condition est due aux malédictions financières engendrées par la décadence morale. Alors que tant de gens, aujourd’hui, ont adopté les idées d’intellectuels séculiers, à savoir que Dieu n’existe pas et que la Bible n’est rien d’autre qu’un recueil de mythes et de fables, les anciennes prophéties bibliques, qui ont prédit depuis longtemps ces sérieux développements, sont en train de s’accomplir aujourd’hui – juste sous nos yeux !

Sécurité financière et bénédictions !



Le monde connaît actuellement la plus grande récession financière depuis la Grande Dépression (1929-1939). Des millions de gens aux États-Unis, au Canada et en Grande-Bretagne sont au chômage. Et il leur est très difficile de retrouver un emploi. Les perspectives financières sont tristes. Pourquoi ?

Tout est important



Les gens disent souvent : « Ne te prends pas la tête avec ça, ce n’est pas important. » Nous cherchons souvent à éviter le stress et à éviter de subir les conséquences de nos actions. Cependant, un jour ou l’autre, nous devons rendre compte de nos agissements – et à ce moment-là, tout est important.

Reconsidérer son Église



Le fait de « reconsidérer son Église » est dans l’air du temps. Souhaitez-vous faire partir de la fidèle Église de Jésus ; du « petit troupeau » (Luc 12 :32) auquel Jésus a promis de ne jamais cesser d’exister (Matthieu 1 :32) ? Si votre réponse est oui, alors voici dix points bibliques pour vous aider à « reconsidérer votre Église » et vérifier si vous suivez le Christ – ou de fausses idées humaines.

Quelle importance ?



Lors d’une réunion de famille aux États-Unis, à l’occasion du week-end de la fête du Travail, trois générations venues de tout le pays étaient réunies pour célébrer le patriarche de la famille, qui allait avoir 88 ans le lendemain. Cet homme avait servi son pays avec honneur, comme jeune pilote pendant la Deuxième Guerre mondiale puis pendant la guerre de Corée. Quand on l’interrogeait sur ces années de guerre, le colonel avait l’habitude de répondre calmement : « Je n’ai jamais appris la guerre nulle part. »

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