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Le problème posé par Noël

Noël touche au cœur même de nos émotions en faisant appel à tous nos sens. Nous aimons l’odeur des sapins fraîchement coupés et nous admirons les couronnes verdoyantes. Nos papilles gustatives attendent avec impatience boissons et plats festifs. Toutefois, Noël pose un problème dont tout chrétien sincère devrait se préoccuper. Aussi difficile que cela soit de le croire, le problème posé par Noël réside dans sa contradiction avec le récit biblique. Restez à l’écoute !

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Noël touche au cœur même de nos émotions en faisant appel à tous nos sens. Nous aimons l’odeur des sapins fraîchement coupés et nous admirons les couronnes verdoyantes. Nos papilles gustatives attendent avec impatience boissons et plats festifs. Nous nous émerveillons à la vue des illuminations multicolores. Des ritournelles sont diffusées dans les grands magasins et qui ne rêve pas de recevoir une boîte joliment emballée avec une surprise à l’intérieur ?

Cependant, le problème posé par Noël ne se limite pas au fait de « remettre le Christ au centre de Noël », et tout chrétien devrait s’y arrêter et en prendre note. Aussi difficile que cela puisse être de l’accepter et aussi difficile que cela soit de le croire, le problème posé par Noël réside dans sa contradiction avec le récit biblique. Cette fête occulte la véritable signification de la naissance de Jésus.

Cela peut vous choquer, et dans l’émission du Monde de Demain d’aujourd’hui, je vous exposerai des preuves indiscutables qui démontrent comment l’histoire de Noël, avec toutes ses coutumes et traditions, déforme les faits historiques. Nous vous offrirons également une brochure gratuite sur le sujet, intitulée Noël est-il chrétien ?

Voulez-vous, mes amis, connaître ce qui ne va pas avec Noël ? Si oui, restez à l’écoute !

Bienvenue au Monde de Demain, et je souhaite tout particulièrement la bienvenue aux téléspectateurs qui nous regardent pour la première fois. Dans l’émission d’aujourd’hui, je discuterai de quatre dilemmes sérieux liés à Noël, des dilemmes dont tout chrétien sincère devrait se préoccuper. Quels sont donc les dilemmes que pose Noël ?

Dilemme n° 1 : La tradition de Noël n’est pas biblique

C’est vrai. L’histoire que vous entendez chaque année en décembre n’est pas la même que celle qui se trouve dans la Bible. Mais ne vous méprenez pas : Jésus est bien le Fils de Dieu et Sa naissance est effectivement relatée dans la Bible, mais pas comme pensent la plupart des gens.

Par exemple, saviez-vous que les rois mages ne vinrent pas la nuit de la naissance de Jésus ? Il n’était plus dans une mangeoire quand ils se présentèrent. Ils n’apportèrent pas de cadeaux de naissance. En plus, contrairement aux chants de Noël, la Bible ne nous dit nulle part qu’il y avait trois rois. L’histoire des rois mages ne s’est pas passée comme on le raconte aujourd’hui. En tout cas, pas selon la Bible ! C’est un mythe qui déforme et occulte la vérité des Écritures. Remarquez ce que la Bible dit réellement.

La visite des mages eut lieu des semaines, voire des mois après la naissance de Jésus, et lorsqu’ils Lui rendirent visite, l’enfant n’était plus dans une crèche, mais dans une maison avec Sa mère. Aucune mention de bergers et de moutons, ni même de Joseph, lors de la visite des mages. Mais ne nous avançons pas trop vite dans l’histoire. Lorsque les mages arrivèrent à Jérusalem, rapportant avoir vu une étoile inhabituelle dans le ciel, ils vinrent s’informer au sujet d’un enfant qui naquit pour devenir roi des Juifs. Cela ne manqua pas de créer une certaine agitation parmi les habitants de la contrée, y compris chez le roi Hérode :

« Le roi Hérode, ayant appris cela, fut troublé, et tout Jérusalem avec lui. Il assembla tous les principaux sacrificateurs et les scribes du peuple, et il s’informa auprès d’eux du lieu où le Christ devait naître » (Matthieu 2 :3-4).

La réponse de ces chefs religieux fut celle que le Messie devait naître à Bethléem. Hérode envoya alors ces visiteurs d’orient à Bethléem, pour trouver l’enfant et lui faire un rapport sur l’endroit où il avait été trouvé afin de pouvoir l’adorer. Bien sûr, il s’agissait d’une ruse. Hérode n’avait aucune intention d’adorer un autre roi, mais il voulait savoir où se trouvait l’enfant pour pouvoir le tuer.

Bien que Bethléem ne se trouve qu’à un peu plus de 9 km de Jérusalem, ce qui n’est pas une grande distance, il devrait être évident, d’après ce que nous avons déjà lu, que la naissance de Jésus et la visite des mages n’eurent pas lieu la même nuit, mais remarquez cette déclaration claire qui se trouve : « Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent » (Matthieu 2 :11).

Notez la référence faite au Christ comme étant un petit enfant, et non un nourrisson ou un nouveau-né, mais nous n’avons pas besoin de nous fier aux nuances des termes pour savoir que les mages ne se présentèrent pas la nuit de la Nativité et voici pourquoi. Après quelques jours sans doute, Hérode se rendit compte que les mages n’allaient pas lui faire de rapport :

« Alors Hérode, voyant qu’il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethléhem et dans tout son territoire » (Matthieu 2 :16).

Pourquoi jusqu’à l’âge de deux ans ? Après tout, il y a une énorme différence entre un nourrisson et un enfant de deux ans. Le reste du verset 16 l’explique : « selon la date dont il s’était soigneusement enquis auprès des mages. »

Certes, Jésus avait moins de deux ans, mais Il n’était plus un nouveau-né. Au minimum, Il était déjà âgé de plusieurs semaines. Comme nous le lisons dans Luc, Il fut circoncis le 8e jour et, 40 jours après Sa naissance, Il fut amené au temple : « Et, quand les jours de leur purification [celle de Marie] furent accomplis, selon la loi de Moïse [c’est-à-dire 40 jours], Joseph et Marie le portèrent à Jérusalem, pour le présenter au Seigneur » (Luc 2 :22).

Ces événements se produisirent avant la visite des mages. Peu après leur visite, Joseph fut averti en songe de fuir en Égypte avec l’enfant, car Hérode allait tuer tous les enfants de moins de deux ans dans la région.

Dans l’émission du Monde de Demain d’aujourd’hui, nous discuterons du problème posé par Noël et nous verrons comment la vérité fut occultée par la tradition. Mais vous vous demandez peut-être si tout cela est important ? Oui, assurément ! Si, en tant que parent, vous mentez à vos enfants, vous portez atteinte à votre propre intégrité. Quelle crédibilité avez-vous en enseignant de dire toujours la vérité, si vous n’êtes pas honnête vous-même ? Que dire du fait qu’au nom de la religion, vous-même violez les principes de votre religion ?

Notez cet avertissement qui donne à réfléchir et qui se trouve dans Apocalypse 21 :8 :

« Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort. »

Oui, les menteurs seront traités comme les meurtriers et les personnes sexuellement immorales. Notez également que les lâches font partie de la liste ici. Combien de gens qui se disent chrétiens ont le courage de faire ce qu’ils savent être juste ? Le plus souvent, la crainte de la famille, des amis et des collègues, les empêche d’agir en fonction de la vérité.

Dans la partie précédente de cette émission, j’ai présenté le dilemme n° 1 : La tradition de Noël n’est pas biblique. Outre le fait que la Bible montre clairement que les rois mages ne rendirent pas visite au Christ la nuit de Sa naissance, nous avons également vu que Jésus se trouvait dans une maison avec Sa mère lorsqu’ils arrivèrent.

En outre, nous ne trouvons nulle part dans les Écritures la mention spécifique de trois rois ou de trois sages. Ils firent trois sortes de présents (de l’or, de l’encens et de la myrrhe), mais il s’agit de catégories de cadeaux, et non d’une indication du nombre des mages. S’ils ne se présentèrent pas le jour de Sa naissance, pourquoi apportèrent-ils des présents ? Il nous est raconté que nous donnons des présents à Noël parce que c’est ce que les mages firent. Mais attendez un peu ! Offrirent-ils des présents à Jésus Seul, et non entre eux ?

La vérité est importante. Ils ne célébrèrent pas une fête de naissance, mais offrirent des présents à un Roi, ce qui se perd dans les traditions et coutumes modernes. Jésus naquit pour être un Roi littéralement parlant. Remarquez la réponse de Jésus à la question de Pilate : « Tu es donc roi ? Jésus répondit :  Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité » (Jean 18 :37).

Bien que le terme roi soit utilisé dans l’histoire traditionnelle de Noël, la réalité de ce que cela signifie s’est en quelque sorte perdue. Par exemple, Zacharie 14 donne une prophétie sur le futur rôle du Messie : « L’Éternel sera roi de toute la terre » (verset 9). Lisez vous-même Zacharie 14 et vous verrez qu’il s’agit d’un véritable Royaume qui sera établi ici-bas lors du second Avènement de Jésus. Cela nous amène à notre deuxième dilemme avec Noël :

Dilemme n° 2 : Jésus ne naquit pas un 25 décembre

Le fait qu’il s’agisse d’une affabulation est attesté par une multitude de sources. Vous verrez souvent ce fait dans les ouvrages traitant de Noël, ainsi que dans les articles de journaux paraissant chaque année en décembre. Personne ne connaît avec certitude la date exacte de la naissance de Jésus, mais nous sommes certains d’une chose : cela n’eut pas lieu un 25 décembre. Luc 2 :8 nous dit : « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. »

La pertinence de cette affirmation est expliquée par The Interpreter’s Bible : « L’implication du récit de Luc est que Jésus naquit à une époque où l’on pouvait encore garder les moutons dans les champs – soit entre avril et novembre. » Mais décembre reste un mois froid et pluvieux. Esdras 10 :9 le confirme : « C’était le vingtième jour du neuvième mois. Tout le peuple se tenait sur la place de la maison de Dieu, tremblant à cause de la circonstance et par suite de la pluie. »

Le vingtième jour du neuvième mois du calendrier hébraïque tombe entre fin novembre et fin décembre, selon l’année. Ensuite, il est dit : « Mais le peuple est nombreux, le temps est à la pluie, et il n’est pas possible de rester dehors » (Esdras 10 :13).

The Interpreter’s Bible commente ces versets comme suit :

« Ce mois marque généralement le début des fortes pluies en Palestine, lorsque la pluie abonde… gorge la terre et remplit les citernes. C’était… “le début des tempêtes d’hiver”, car les pluies, souvent glaciales, atteignaient leur pic d’intensité en décembre et en janvier. »

Certains tentent vainement de s’accrocher au 25 décembre comme date de la Nativité, mais les faits ne sont pas de leur côté, ce qui nous amène au troisième dilemme avec Noël.

Dilemme n° 3 : Noël ne TIRE pas ses origines de la Nativité

Nous entendons souvent parler de « remettre le Christ au centre de Noël ». Le problème, c’est que le Christ n’a jamais fait partie de Noël. Le christianisme traditionnel a simplement repris les coutumes et les traditions païennes, en y apposant le nom du Christ.

Alors que la Bible relate la véritable histoire de la naissance de Jésus-Christ, il n’existe absolument aucune trace d’une célébration annuelle de Sa naissance – zéro, nada ! Ce n’est que des siècles plus tard que Sa naissance fut associée à des célébrations païennes déjà existantes. La onzième édition de L’Encyclopedia Britannica, faisant autorité en la matière, déclare ce qui suit :

« À la fin de l’an 245 [apr. J.-C.], Origène, dans sa huitième homélie du Lévitique, repoussa l’idée pécheresse de l’observance de l’anniversaire de la naissance du Christ “comme s’il s’agissait d’un roi Pharaon”. La première mention précise officielle du 25 décembre, dans les annales romaines, date de l’an 354 apr. J.-C. » (Encyclopeadia Britannica, onzième édition, article “Christmas”).

Il est évident, d’après la déclaration d’Origène, que la célébration de la Nativité commença à s’insinuer dans l’Église dès cette époque, ce qui est corroboré par une note dans The Interpreter’s Bible :

« Au début du troisième siècle de notre ère, certaines sections de l’Église célébraient la Nativité le 6 janvier. Au quatrième siècle, cette date fut remplacée par le 25 décembre, jour qui fut longtemps l’occasion d’une fête païenne associée à la renaissance de diverses divinités solaires. C’était la date du solstice d’hiver selon le calendrier julien. »

Dans l’ouvrage de Tom Flynn, Le problème avec Noël, il cite l’auteur religieux conservateur George Cornell :

« Pendant plus de 300 ans après la naissance de Jésus, les chrétiens ne célébrèrent pas Sa naissance. L’observance commença au quatrième siècle à Rome, programmée pour coïncider avec une fête païenne du milieu de l’hiver honorant les dieux païens Mithra et Saturne. La date de décembre fut choisie pour commémorer la naissance de Jésus, car la date exacte n’est pas connue. En conséquence, la fusion du sacré et du profane a caractérisé cette célébration dès le début » (Le problème avec Noël, Flynn, pages 68-69).

Beaucoup comprennent que le 25 décembre n’est pas le jour de la Nativité et beaucoup se rendent compte que le sapin de Noël, le baiser sous le gui, la bûche de Noël, le Père Noël et bien d’autres coutumes puisent leur origine dans des traditions païennes. Tout se résume donc à la question suivante : « Est-ce que tout cela a de l’importance du moment que nous célébrons Jésus ? » Je vais répondre à cette question à partir des pages de la Bible – ce livre que tant de gens prétendent être la source de leurs croyances et de leurs traditions.

Pour certains d’entre vous, cela peut être nouveau. Pour d’autres, vous savez ces choses depuis fort longtemps. Donc, le nœud du problème est le suivant : « Est-ce que ces choses ont de l’importance pourvu que nous observions la naissance de Jésus ? » Il est maintenant temps de considérer le prochain dilemme :

Dilemme n° 4 : Dieu n’ordonne pas de célébrer la Nativité

L’ouvrage de Tom Flynn, Le problème avec Noël, est certes écrit d’un point de vue athée, et nous ne sommes pas athées au Monde de Demain. Néanmoins, ce qu’il écrit dans le chapitre intitulé « Jeter le bébé avec l’eau du bain » est exact :

« Même les chrétiens dévots – tout comme le clergé chrétien libéral et dominant – doivent admettre que la plupart de ce que nous savons sur le “récit de Noël” est le résultat d’un processus d’agglomération littéraire. Ses éléments sont inspirés par (ou empruntés à) des légendes de “personnages” saints plus anciens. Et même si le christianisme est véritable, le récit de Noël n’en est pas digne » (Le problème avec Noël, Flynn, pages 68-69).

Allons directement à la Bible pour apprendre ce qu’elle nous dit. Après tout, n’est-ce pas la source qui compte véritablement ? Jésus réprimanda ceux de Son époque qui l’appelaient leur Seigneur, c’est-à-dire leur Maître, mais qui n’obéissaient pas à Ses enseignements. « Pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (Luc 6 :46).

Jésus réprimande ceux qui transgressent Ses lois pour garder leurs traditions

En outre, Il réprimanda les pharisiens pour avoir placé la tradition du lavement des mains au-dessus de la loi divine. La question était peut-être différente, mais le principe est le même – faire passer la tradition avant les commandements de Dieu. « Vous rejetez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Marc 7 :9).

Dieu est-Il donc favorable aux traditions de Noël ? Est-Il satisfait et bien disposé envers ceux qui célèbrent la Nativité, à condition qu’ils le fassent « pour Lui » ? N’est-il pas temps de mettre le raisonnement humain de côté et de laisser la Bible répondre à ces questions ? Que pense Dieu du mélange de ces pratiques païennes avec le culte de Jésus ? Deutéronome 12 :29-32 déclare :

« Lorsque l’Éternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi […] garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant […] Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Éternel, ton Dieu ; car elles servaient leurs dieux en faisant toutes les abominations qui sont odieuses à l’Éternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne ; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. »

À l’époque de l’antique Israël, les gens mélangeaient l’adoration du vrai Dieu avec celle du faux dieu païen Baal. Le prophète Élie les mit au défi dans 1 Rois 18 :21 en leur posant cette simple question : « Alors Élie s’approcha de tout le peuple, et dit : Jusqu’à quand boiterez-vous des deux côtés ? Si l’Éternel est Dieu, allez après lui ; si c’est Baal, allez après lui ! » Remarquez leur réaction à sa question : « Le peuple ne lui répondit rien. »

Dieu interdit l’utilisation de pratiques païennes pour l’adorer

Comme beaucoup de gens aujourd’hui, ils voulaient gagner sur les deux tableaux. Ils voulaient adorer Dieu et une divinité païenne en même temps. Le New Bible Commentary Revised fait cette observation opportune concernant ce verset :

« Le péché du peuple n’était pas d’avoir rejeté l’adoration de Yahvé, mais d’avoir essayé d’y combiner celle de Baal. Un tel syncrétisme [combinaison d’idées religieuses] est toujours apparenté à une largesse d’esprit, tandis que l’opposé s’apparente à une étroitesse d’esprit. Mais le Yahvé d’Israël ne laissait pas de place pour d’autres dieux » (New Bible Commentary Revised, page 343).  

Cela fut le défi à travers l’Histoire, et notre époque n’est pas différente. Les gens veulent adorer Dieu à leur manière. Lorsque Étienne, le diacre nouvellement ordonné, confronta les Juifs au premier siècle, il leur fit remarquer qu’ils se tournaient sans cesse vers ce qui était païen. Puis il s’écria : « Hommes au cou raide, incirconcis de cœur et d’oreilles ! Vous vous opposez toujours au Saint-Esprit. Ce que vos pères ont été, vous l’êtes aussi » (Actes 7 :51).

Oui, mes amis, il y a un problème avec Noël, et Dieu rejette le fait de mélanger des pratiques païennes avec l’adoration de Son Fils. Comme Il le dit par l’intermédiaire du prophète Ésaïe :

« Tous ceux-là se complaisent dans leurs voies, et leur âme trouve du plaisir dans leurs abominations. Moi aussi, je me complairai dans leur infortune, et je ferai venir sur eux ce qui cause leur effroi, parce que j’ai appelé, et qu’ils n’ont point répondu, parce que j’ai parlé, et qu’ils n’ont point écouté ; mais ils ont fait ce qui est mal à mes yeux, et ils ont choisi ce qui me déplaît » (Ésaïe 66 :3–4).

Dans l’émission du Monde de Demain d’aujourd’hui, nous avons brièvement exploré le problème posé par Noël. C’est bien plus qu’un exercice académique. Il touche au cœur même de notre relation avec notre Créateur, mais face aux faits, peu ont le courage de changer.

 


Les bienfaits d'un mariage heureux



Alors que de nombreuses sociétés occidentales rejettent le mariage traditionnel, la science continue de prouver sa valeur.

Le déclin du “christianisme” en Angleterre et au Pays de Galles



Selon une étude récente de l’Institut national britannique de statistiques, « pour la première fois, moins de la moitié de la population en Angleterre et au Pays de Galles se déclare chrétienne […] 46,2% de la population, soit 27,5 millions de personnes, se décrit comme chrétienne » (infochretienne.com, 29 novembre 2022). Il s’agit d’une baisse de 13% depuis 2011. La deuxième catégorie de réponse la plus courante (37%) était « sans religion ».

L'Apocalypse et le Jour du Seigneur

Sommes-nous proches d’Harmaguédon et de la fin du monde ? Quels sont les événements prophétiques majeurs qui vont bientôt commotionner le monde ?  Le livre de l’Apocalypse révèle un jour de jugement sur les nations appelé « le Jour du Seigneur ». Quel est ce mystérieux Jour du Seigneur ? Vous devez connaître les prophéties de l’Apocalypse et ce qu’est le Jour du Seigneur. Restez à l’écoute !

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

La Bible est le seul livre au monde qui révèle l’avenir et le but de la vie

Sommes-nous proches d’Harmaguédon et de la fin du monde ? Que révèle la Bible ? Vous en possédez probablement une. Je vous exhorte à lire l’un de ses livres les plus révélateurs au sujet de l’avenir, le livre de l’Apocalypse. De tous les livres jamais écrits, c’est la Bible que vous devriez lire. Combien de livres ont-ils jamais été publiés ?  PCWorld déclare ce qui suit :

« Pour ceux qui se sont déjà demandé combien de livres différents existent dans le monde, Google a une réponse pour vous : 129.864.880, selon Leonid Taycher, un ingénieur logiciel de Google qui travaille sur le projet Google Books » (“Google: 129 Million Different Books Have Been Published”, PCWorld.org, 6 août 2010).

Nombreux sont ceux qui passent leur vie à consulter des ressources documentaires pour acquérir des connaissances, s’instruire, se former et même se divertir. Mais la Sainte Bible est le seul livre au monde qui révèle les grands mystères et le but de la vie !  Le livre de l’Apocalypse révèle un jour de jugement à venir appelé « le Jour du Seigneur ». Quel est ce mystérieux Jour du Seigneur ? 

Quels sont les événements prophétiques majeurs qui vont bientôt commotionner le monde ?  Vous devez connaître les prophéties de l’Apocalypse et ce qu’est le Jour du Seigneur. Restez à l’écoute !

Plus de 30 prophéties dans la Bible parlent d’un « Jour du Seigneur »

Le livre de l’Apocalypse dans la Bible décrit un événement impressionnant qui bouleversera le monde entier. Cet événement est annoncé dans plus de 30 prophéties de la Bible. Il s’appelle le Jour du Seigneur. Le Jour du Seigneur affectera toutes les nations et tous les peuples de la Terre. Il vous affectera, vous et vos proches, si vous êtes en vie pour le voir.

Qu’est que le Jour du Seigneur ? Est-ce un jour de la semaine ? Combien de temps durera-t-il ? Comment affectera-t-il chaque nation et chaque personne ici-bas ? Quelle importance aura-t-il dans le déroulement de la prophétie biblique ?

Le livre de l’Apocalypse introduit le Jour du Seigneur par des perturbations cosmiques dramatiques. « Les étoiles du ciel tombèrent sur la terre » (Apocalypse 6 :13). « Le soleil devint noir comme un sac de crin, et la lune entière devint comme du sang » (Apocalypse 6 :12). « Il y eut un grand tremblement de terre » et comme il est dit dans Apocalypse 6 :14 : « toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places. »

Le Jour prophétique du Seigneur préparera toutes les nations de la Terre à l’événement le plus grand et le plus encourageant de l’Histoire mondiale, le retour du Sauveur, Jésus-Christ. Mes amis, vous devez comprendre cette période dramatique et mystérieuse qui affectera chaque être humain sur Terre ! Qu’est-ce que le Jour du Seigneur ? Plus de 30 prophéties dans la Bible font référence au Jour du Seigneur, bien plus que ce que nous pouvons couvrir dans cette courte émission.

Qu’est-ce que le Jour du Seigneur ?

Le Jour du Seigneur est un événement prophétique majeur qui se profile à l’horizon. Mais de quoi s’agit-il ? Comment s’inscrit-il dans le cadre de la prophétie biblique ? Si vous avez une Bible, consultez l’Apocalypse, ou le livre de la révélation. L’apôtre Jean écrit : « Je fus saisi par l’Esprit au jour du Seigneur, et j’entendis derrière moi une voix forte, comme le son d’une trompette » (Apocalypse 1 :10).

Jean ne parle pas d’un jour de la semaine, comme le croient certains. Jean parle de l’époque prophétique décrite dans le reste du livre comme le Jour du Seigneur. Jean ne parle pas du dimanche comme étant le Jour du Seigneur.

Si Jean avait fait cela, il l’aurait appelé « le premier jour » de la semaine, comme il le fit dans l’Évangile de Jean (Jean 20 :1, 19). En outre, Jésus se qualifia Lui-même de maître du sabbat, non pas du dimanche, comme il nous est dit dans Marc 2 :28 !  Écoutez bien ! Le terme « Jour du Seigneur » ici dans l’Apocalypse fait clairement référence au thème de tout le livre, le Jour prophétique du Seigneur, qui culmine avec le retour de Jésus-Christ comme Roi des rois et Seigneur des seigneurs !

Un rouleau scellé par sept sceaux

Dans Apocalypse 5, il est question d’un rouleau scellé par sept sceaux. Jésus, le Révélateur, ouvre les sceaux du livre. Nous lisons la description de ces sceaux dans Apocalypse 6. Les quatre premiers sceaux sont souvent surnommés les quatre cavaliers de l’Apocalypse. Le premier cheval, le cheval blanc et son cavalier représentent les fausses religions et les faux christs.

Jésus Lui-même indique la séquence de ces événements de la fin des temps dans la prophétie du mont des Oliviers, dans Matthieu 24. Nous avons expliqué cette convergence dans des émissions précédentes.

Le deuxième sceau révèle un cavalier montant un cheval roux ayant le pouvoir de retrancher la paix de la Terre. Le troisième sceau présente un cavalier sur une monture noir symbolisant la pénurie alimentaire et la famine qui en résulte. Le quatrième sceau montre un cavalier sur un cheval verdâtre dont le cavalier est nommé la mort et le séjour des morts.

Ces quatre cavaliers reçurent le pouvoir sur un quart de la Terre pour tuer des grandes populations. Jésus parla également de la peste qui survient normalement après la famine.

Puis, le Christ ouvre le cinquième sceau dans l’Apocalypse 6 :9 : « Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l’autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu’ils avaient rendu. »

Cela décrit le martyre des saints, des vrais chrétiens. Au premier siècle de notre ère, l’empereur Néron persécuta violemment les chrétiens et les mit à mort. Ce cinquième sceau annonce qu’une autre grande persécution des saints aura lieu à la fin des temps. Puis Jésus ouvre le sixième sceau, révélant les signes célestes qui traumatiseront les habitants de la Terre :

« Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau ; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme les figues vertes d’un figuier secoué par un vent violent. Le ciel se retira comme un livre qu’on roule ; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places » (Apocalypse 6 :12-14).

Le Dieu tout-puissant attirera l’attention des êtres humains rebelles au moyen de séismes violents et de signes célestes bouleversants. Le Dieu Créateur nous dit dans Hébreux 12 :26 : « Une fois encore j’ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel. »

Les signes célestes sont le prélude du Jour du Seigneur

Ces perturbations cosmiques et ces séismes introduiront la période de jugement sur toutes les nations. Jésus-Christ jugera les nations pendant le Jour du Seigneur. Quels signes célestes auront lieu ?

Le Jour du Seigneur est l’époque pendant laquelle le Dieu tout-puissant interviendra dans les affaires mondiales, comme jamais auparavant. Il prononcera un jugement contre les nations rebelles et, comme nous le verrons, Il les laissera même tenter de se détruire mutuellement dans un conflit mondial.

La Bible révèle ce qui se passera pendant le Jour du Seigneur. Encore une fois, si vous avez une Bible, reportez-vous au livre de Joël qui se trouve vers la fin de l’Ancien Testament. C’est le deuxième de ceux qu’on appelle les petits prophètes. Voici un avertissement pour notre génération :

« Sonnez de la trompette en Sion ! Faites-la retentir sur ma montagne sainte ! Que tous les habitants du pays tremblent ! Car le jour de l’Éternel vient, car il est proche, — jour de ténèbres et d’obscurité, jour de nuées et de brouillards, — il vient comme l’aurore se répand sur les montagnes. Voici un peuple nombreux et puissant, tel qu’il n’y en a jamais eu, et qu’il n’y en aura jamais dans la suite des âges » (Joël 2 :1-2).

La trompette est utilisée pour sonner l’alarme – pour aider les gens à se préparer à de grandes batailles, ou comme décrit ici, à une armée envahissante ! Le prophète Joël nous avertit d’une époque unique dans l’Histoire. « Voici un peuple nombreux et puissant, tel qu’il n’y en a jamais eu, et qu’il n’y en aura jamais dans la suite des âges » (Joël 2 :2).

Les versets suivants décrivent une destruction terrible, nous pourrions la qualifier de « politique de la terre brûlée » qui laissera derrière elle un spectacle de désolation. « Devant lui est un feu dévorant, et derrière lui une flamme brûlante ; le pays était auparavant comme un jardin d’Éden, et depuis, c’est un désert affreux : rien ne lui échappe » (Joël 2 :3).

L’humanité assistera également à des perturbations incroyables dans les cieux et à une dévastation de la surface terrestre :

« Devant eux la terre tremble, les cieux sont ébranlés, le soleil et la lune s’obscurcissent, et les étoiles retirent leur éclat. L’Éternel fait entendre sa voix devant son armée ; car son camp est immense, et l’exécuteur de sa parole est puissant ; car le jour de l’Éternel est grand, il est terrible : Qui pourra le soutenir ? » (Joël 2 :10-11)

Dieu continue de décrire Son jugement dans Joël 3 :12-16 :

« Que les nations se réveillent, et qu’elles montent vers la vallée de Josaphat ! Car là je siégerai pour juger toutes les nations d’alentour. Saisissez la faucille, car la moisson est mûre ! Venez, foulez, car le pressoir est plein, les cuves regorgent ! Car grande est leur méchanceté. C’est une multitude, une multitude, dans la vallée du jugement ; car le jour de l’Éternel est proche, dans la vallée du jugement. Le soleil et la lune s’obscurcissent, et les étoiles retirent leur éclat. De Sion l’Éternel rugit, de Jérusalem il fait entendre sa voix ; les cieux et la terre sont ébranlés. Mais l’Éternel est un refuge pour son peuple, un abri pour les enfants d’Israël. »

Le Jour du Seigneur est le temps de l’intervention divine dans les affaires mondiales

Le Dieu tout-puissant interviendra dans les affaires humaines de façon spectaculaire. Il y aura de grandes guerres pendant la période où Dieu répandra Son jugement sur les nations. En termes simples, le Jour du Seigneur est le temps de l’intervention divine dans les affaires mondiales.

Il s’agira non seulement d’une destruction militaire, mais aussi d’une incroyable catastrophe écologique. Lorsque Dieu châtiera les nations rebelles pendant le Jour du Seigneur, Il appellera ces nations à s’humilier et à se repentir ! Bien sûr, nous n’avons pas besoin d’attendre jusque-là ! Alors que les conditions se détériorent sur la scène mondiale, chacun d’entre nous doit prier avec ferveur et implorer Dieu – et nous devons nous assurer que nous sommes du côté de Dieu !

Maintenant, où se situe le Jour du Seigneur dans la chronologie prophétique de la fin des temps ? Apocalypse 8 et 9 révèlent des bouleversements dramatiques au cours du Jour du Seigneur. Quels sont ces événements futurs ? Il y a trois grandes périodes ou étapes que nous devons examiner. Il s’agit de la grande tribulation, des signes célestes et du Jour du Seigneur. Il est important d’en comprendre l’ordre. Jésus parla du point culminant à venir de notre ère :

« Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais. Et, si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés » (Matthieu 24 :21-22).

Cette période unique dans l’Histoire, qualifiée de grande tribulation, est parfois appelé un temps d’angoisse pour Jacob, comme indiqué dans Jérémie 30 :7 : « Malheur ! car ce jour est grand ; il n’y en a point eu de semblable. C’est un temps d’angoisse pour Jacob ; mais il en sera délivré. »

Notez la séquence des événements telle que Jésus la décrit : « Aussitôt après ces jours de détresse, le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées » (Matthieu 24 :29).

La première étape prophétique est la grande tribulation, suivie des signes célestes. Le Jour du Seigneur, troisième étape, conduit au second Avènement du Christ. Joël 2 confirme que le Jour du Seigneur suit les signes célestes :

« Je ferai paraître des prodiges dans les cieux et sur la terre, du sang, du feu, et des colonnes de fumées ; le soleil se changera en ténèbres, et la lune en sang, avant l’arrivée du jour de l’Éternel, de ce jour grand et terrible » (Joël 2 :30).

Nous voyons donc la séquence des étapes. La première étape concerne la grande tribulation ; la deuxième concerne les signes célestes (ou le sixième sceau de l’Apocalypse) ; et la troisième concerne le Jour du Seigneur (ou le septième sceau de l’Apocalypse).

Le Jour du Seigneur est l’année qui précède le retour du Christ

Combien de temps durera le Jour du Seigneur ? Beaucoup de lecteurs de la Bible sont familiers avec le principe prophétique d’une année pour un jour. Vous rappelez-vous quand les douze espions de l’ancien Israël, sous la direction de Josué, explorèrent la Terre promise ?

« De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous porterez la peine de vos iniquités quarante années, une année pour chaque jour ; et vous saurez ce que c’est que d’être privé de ma présence » (Nombres 14 :34).

« Car c’est un jour de vengeance pour l’Éternel, une année de représailles pour la cause de Sion » (Ésaïe 34 :8). Là encore, le châtiment de Dieu, le jour de la vengeance de l’Éternel, équivaut à une année. Cette période d’une année est représentée par le septième sceau qui se compose de sept plaies de trompettes. Ces plaies de trompettes sont décrites dans les 8e et 9e chapitres de l’Apocalypse. « Quand il ouvrit le septième sceau, il y eut dans le ciel un silence d’environ une demi-heure. Et je vis les sept anges qui se tiennent devant Dieu, et sept trompettes leur furent données » (Apocalypse 8 :1-2).

Alors, combien de temps dure le Jour du Seigneur ? Le Jour du Seigneur est, en un sens, l’année qui précède le retour du Christ ! C’est une partie importante du plan de Dieu, que tous les chrétiens devraient connaître !

Le Jour du Seigneur, ou le septième sceau, est composé de sept plaies de trompettes

Les trompettes nous mettent en garde : elles annoncent sept plaies ou jugements ! En lisant Apocalypse 8, vous remarquerez que, lorsque les quatre premiers anges sonneront de la trompette, il y a une grande dévastation écologique sur toute la Terre. Il y aura des séismes, de grandes zones de végétation brûleront, un tiers de la vie aquatique mourra, les sources d’eau seront empoisonnées et les cieux s’obscurciront.

Les plaies des trois dernières trompettes sont qualifiées des malheurs. Ce mot « malheur » est une exclamation de douleur !

« Je regardai, et j’entendis un aigle qui volait au milieu du ciel, disant d’une voix forte : Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, à cause des autres sons de trompette que les trois anges vont faire retentir ! » (Apocalypse 8 :13).

Le premier malheur, la plaie de la cinquième trompette, est décrit dans Apocalypse 9. Le cinquième ange sonnera d’une trompette qui déclenchera une campagne militaire qui durera 5 mois. Le deuxième malheur, la plaie de la sixième trompette, est représenté par des symboles de chevaux et de cavaliers. Nous assistons ici à une puissante contre-offensive armée :

« Le premier malheur est passé. Voici il vient encore deux malheurs après cela. Le sixième ange sonna de la trompette. Et j’entendis une voix venant des quatre cornes de l’autel d’or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve, l’Euphrate » (Apocalypse 9 :12-14).

Une armée de 200 millions d’hommes se dirigera vers l’ouest, en direction de l’Euphrate, franchira le fleuve et détruira un tiers de la population mondiale ! Cette phase de la Troisième Guerre mondiale tuera des milliards d’êtres humains ! Comme Jésus le dit, si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé – toute forme de vie serait détruite sur la Terre.

La septième trompette annonce l’établissement du Royaume de Dieu

Enfin, la septième trompette retentira. Pour les véritables disciples du Christ, le son de la septième trompette est une bonne nouvelle car elle annonce l’établissement du Royaume de Dieu sur Terre et le retour de Jésus-Christ. Nous devons tous nous préparer pour cette époque !

« Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles » (Apocalypse 11 :15).

C’est la bonne nouvelle que nous attendons tous avec impatience ! À présent, quel autre événement aura lieu lorsque la septième trompette sonnera ? Que se passera-t-il après le Jour du Seigneur ?

La septième trompette contient aussi les sept derniers fléaux

Le Jour du Seigneur, dans la prophétie de la fin des temps, est composé de sept événements au son de sept trompettes qui auront lieu sur une période d’un an culminant avec le retour de Jésus-Christ. La septième trompette annonce la bonne nouvelle de la prise de contrôle des gouvernements mondiaux par le Christ. Mais la septième trompette est également appelée le troisième malheur ! Pourquoi ? Parce qu’elle annonce également les sept derniers fléaux ! Vous pouvez lire la description de ces fléaux dans Apocalypse 16.

Une plaie douloureuse frappera ceux qui ont adoré la bête et son image. Les mers et les cours d’eau seront tellement empoisonnés que « tout ce qui avait vie dans la mer » mourra, tel que mentionné dans Apocalypse 16 :3 (Ostervald). Le Soleil deviendra brûlant et tourmentera ceux qui ne se repentiront pas de leurs péchés !

Dans le nord du territoire actuel de l’État d’Israël, dans la plaine de Jizreel, se réuniront des armées immenses et d’énormes forces militaires ! Elles s’assembleront pour combattre Jésus-Christ, le Commandement des armées des cieux. L’apôtre Jean écrit :

« Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même : et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu. Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revêtues d’un fin lin, blanc, pur. De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations ; il les paîtra avec une verge de fer ; et il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu Tout-Puissant. Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs » (Apocalypse 19 :11-16).

Lorsque le Christ reviendra sur Terre, Il conquerra tous Ses ennemis, y compris les nations et leurs puissantes armées qui Le combattront à Son retour. Le Jour du Seigneur apportera le jugement de Dieu sur les nations.

Dans son sens large, le Jour du Seigneur s’étend après le retour du Christ pour toute l’éternité

Comme nous l’avons vu, dans le sens strict, le Jour du Seigneur est l’année qui précède le retour du Christ. Mais dans le sens large, le Jour du Seigneur s’étendra tout au long du millénaire et jusqu’à l’éternité. L’apôtre Pierre nous exhorte à être dans un état de préparation spirituelle. Dieu, dans Son grand amour à notre égard, révèle l’avenir à Ses serviteurs. L’apôtre Jean écrit dans le dernier chapitre de la Bible :

« Et il me dit : Ces paroles sont certaines et véritables ; et le Seigneur, le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt. – Et voici, je viens bientôt. – Heureux celui qui garde les paroles de la prophétie de ce livre ! » (Apocalypse 22 :6-7).

Nous devons être prêts pour le Jour du Seigneur, cette époque difficile qui apportera d’abord un jugement sur les nations. Mais au-delà, ce sera aussi le début du monde de demain, une époque formidable de beauté, de prospérité et de restauration sous la direction du Christ. Que Dieu hâte ce jour !

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Vivre avec un objectif



Depuis des années, les chercheurs savent que le fait d’entretenir un objectif et une motivation aide les êtres humains à vivre plus longtemps et plus heureux (pourquoidocteur.fr, 16 novembre 2022). Une nouvelle étude portant sur plus de 13.000 personnes âgées de 50 ans et plus clarifie encore davantage la puissance de cet effet.

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