Une invasion d’animaux sauvages

Le livre de l’Apocalypse prophétise qu’avant le retour de Jésus-Christ, les animaux causeront la mort et la dévastation. Les quatre sceaux prophétiques ouverts par Jésus-Christ, représentés par les légendaires « quatre cavaliers de l’Apocalypse », entraîneront la mort d’un quart de l’humanité. Cette mort sera causée par la guerre, la faim et la maladie, ainsi que par « les bêtes sauvages de la terre » (Apocalypse 6 :1-8). Mais comment des animaux peuvent-ils causer une mort et une destruction aussi étendues ?

La ville de Rome aujourd’hui donne un aperçu de la façon dont cela pourrait se produire. « Certains habitants du quartier Aurelio, au nord de Rome, ont même décrété un “couvre-feu nocturne” pour se protéger » (L’indépendant, 6 mai 2022). Une personne, cherchant à attirer l’attention sur le problème, a fait remarquer que « ces animaux se rapprochent de plus en plus des populations, et pas seulement la nuit – ils arpentent les rues à toute heure de la journée » (The Guardian, 3 mai 2022) La ville érige des clôtures pour contenir les sangliers, mais les animaux les contournent. L’habitat naturel de ces animaux se situe dans les étendues boisées qui entourent Rome. Mais les problèmes récurrents de la capitale italienne en matière d’élimination des déchets agissent comme un aimant, attirant les sangliers vers la ville pour se nourrir des ordures (The Telegraph, 3 mai 2022).

De nombreuses villes du monde entier sont entourées de zones naturelles où vivent des animaux sauvages. Alors que la nourriture se fait rare – et d’autant plus si les systèmes d’élimination des déchets sont défaillants et que les problèmes d’infrastructure urbaine augmentent – nous pourrions assister à des situations similaires dans de nombreux autres centres urbains à l’avenir. La Bible indique que quelque chose se produira à l’avenir qui fera que les animaux contribueront à la mort et à la destruction généralisées (Lévitique 26 :21-22). Ce n’est là qu’un des signes qui annonceront le retour du Christ ! Pour en savoir plus, lisez notre article « Le retour des épidémies ».