Des vérités cachées du verset d'or (Jean 3 :16)

Des vérités cachées du verset d'or (Jean 3 :16)

Jésus est mort pour payer l’amende de nos péchés, mais qu’est-ce que cela veut dire ? Vous avez probablement entendu parler de la « prière du pécheur » : quelques mots de confession et l’acceptation du Christ comme Sauveur et hop, vous voilà en route vers le paradis. Mais est-ce bien ce que dit la Bible ? Vous pensez peut-être que vous savez tout ce qu’il y a à savoir sur Jean 3 :16, mais préparez-vous à être surpris. Dans cet épisode du Monde de Demain, nous parlerons des vérités cachées du verset d’or.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Jésus est mort pour payer l’amende de nos péchés, mais qu’est-ce que cela veut dire ? Vous avez probablement entendu parler de la « prière du pécheur » : quelques mots de confession et l’acceptation du Christ comme Sauveur et hop, vous voilà en route vers le paradis. Mais est-ce bien ce que dit la Bible ? Beaucoup le pensent, mais est-ce bien le cas ? Si vous êtes un fidèle téléspectateur du Monde de Demain, vous savez que cette émission est différente. Tout d’abord, nous vous disons : « Ne nous croyez pas sur parole – croyez à ce que nous disons parce que vous pouvez le prouver vous-même dans la Bible ! »

Une autre différence est que nous ne sommes pas ici pour divertir les gens, mais pour informer – pour vous donner ce que Paul appelait « tout le conseil de Dieu » (Actes 20 :27). Vous n’entendez pas cela de vos prédicateurs typiques du dimanche matin. Franchement, il y a beaucoup d’éléments superficiels et sentimentaux dans les émissions religieuses, mais très peu du conseil de Dieu. Vous pensez peut-être que vous savez tout ce qu’il y a à savoir sur Jean 3 :16, mais préparez-vous à être surpris. Je reviendrai d’ici cinq secondes pour vous révéler des vérités cachées de Jean 3 :16.

Je vous souhaite chaleureusement la bienvenue de la part de tous les membres du Monde de Demain. Dans notre brochure – Jean 3 :16 – Les vérités cachées du verset d’or – je donne huit doctrines contenues dans ce passage notoire qui sont en fait presque universellement inconnues ou incomprises. Jean 3 :16 est parfois appelé le « verset d’or » et à juste titre, mais presque tous les chrétiens, bien que familiers avec ce qu’il dit, sont terriblement éloignés de sa pleine signification. Voici ce qu’il dit : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3 :16).

À première vue, ce passage semble plutôt évident, alors qu’est-ce qui pourrait bien être mal compris ? Quelles sont les vérités cachées ? Pour dire les choses simplement, la plupart des gens pensent que le verset dit ceci : Dieu nous aime et Jésus-Christ est mort pour payer la peine de nos péchés. C’est vrai, mais dans ces quelques mots, il y a des détails qui ne sont jamais pris en compte et qui sont obscurcis par des traditions, et de fausses idées, alors regardons de plus près et décomposons.

Vérité cachée n°1 : l’identité de Jésus avant Sa naissance

Peu de gens s’arrêtent pour se poser cette question, pourtant la Bible donne la réponse, et c’est une réponse surprenante. Les chrétiens opposent souvent le Dieu de l’Ancien Testament au Dieu du Nouveau Testament, pensant que le Dieu de l’Ancien Testament était dur, exigeant, et que Jésus est venu pour supprimer les exigences irréalistes de Son Père. Mais rien n’est plus faux. Cela m’amène à parler de l’importance de savoir qui était Jésus avant Son incarnation ? L’apôtre Jean était proche de Jésus et le dernier vivant des douze premiers apôtres. Au début du livre qui porte son nom, Jean nous dit ceci, à propos de qui était Jésus : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu » (Jean 1 :1-2).

L’identité de Celui qui était avec Dieu au commencement, et qui était aussi Dieu, est révélée au verset 14 : « et la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père ».

Oui, le Verbe ou le Logos – le Porte-parole de Dieu – a été fait chair. Jésus était donc le Porte-parole de la Famille de Dieu et Il était avec Dieu le Père depuis l’éternité. Mais remarquez quelque chose d’autre à Son sujet – revenez au verset 3 : « Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle ».

Combien de personnes sont au courant qu’avant Sa naissance, Jésus était Celui par qui toutes choses ont été faites ? Et qu’entend-on par « toutes choses » ? La réponse se trouve dans Colossiens 1 :15-18 :

« Le Fils est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. Car en lui [ou par Lui] ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trône, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui. Il est la tête du corps de l’Église ; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier. »

Il est clair que Celui dont il est question ici et qui a créé toutes choses est Jésus-Christ. C’est par Lui que toutes choses ont été faites, et toutes choses comprennent les cieux et la Terre, le visible et l’invisible – et tout le reste ! C’est ce que confirme Hébreux 1 :1-2 :

« Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils ; il l’a établi héritier de toutes choses ; par lui il a aussi créé l’univers. »

Pourquoi cela n’est-il pas généralement perçu ? Pourquoi est-ce important ? C’est important parce que l’identité de Jésus avant Sa naissance explique la profondeur des doctrines de la nouvelle alliance. Contrairement à ce que l’on pense souvent, ce n’est pas le Père qui a donné les Dix Commandements depuis le mont Sinaï, mais Celui qui est devenu Jésus-Christ !

Notez ces références et vérifiez-les par vous-même. « Personne n’a jamais vu Dieu ; Dieu le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître » (Jean 1 :18). Cette simple vérité, à savoir que personne n’a jamais vu Dieu le Père, est confirmée dans Jean 6 :45-46 :

« Il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous enseignés de Dieu. Quiconque a écouté le Père et a été instruit par lui, vient à moi. Ce n’est pas que personne ait vu le Père, si ce n’est celui qui vient de Dieu ; celui-là a vu le Père » (Ostervald). 

Pourtant, nous lisons que Dieu a été vu au mont Sinaï, et ce par 74 hommes !

« Moïse monta avec Aaron, Nadab et Abihu, et soixante-dix anciens d’Israël. Ils virent le Dieu d’Israël ; sous ses pieds, c’était comme un ouvrage de saphir transparent, comme le ciel lui-même dans sa pureté. Il n’étendit point sa main sur l’élite des enfants d’Israël. Ils virent Dieu, et ils mangèrent et burent » (Exode 24 :9-11).

Les Écritures se contredisent-elles ? Si c’est le cas, on ne peut pas faire confiance à la Bible. La simple vérité se trouve dans les quatre premiers versets de 1 Corinthiens 10 :

« Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée, qu’ils ont tous passé au travers de la mer, qu’ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer, qu’ils ont tous mangé le même aliment spirituel, et qu’ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ » (versets 1-4).

Oui, comme nous le lisons dans Jean 1, il y a deux êtres appelés Dieu et l’un d’eux, la Parole, est venu dans la chair pour racheter l’homme. Il était le Créateur de toutes choses, y compris de l’homme, et a donc pu échanger Sa vie contre la nôtre. Ainsi donc : Vérité cachée n°1 : L’identité de Jésus avant Sa naissance.

Jean 3 :16 nous dit : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle ». Cela nous amène à notre deuxième vérité cachée :

Vérité cachée n°2 : la vraie croyance exige l’obéissance

Beaucoup se tournent vers la déclaration de Paul dans Romains 10 :11 et 13 comme étant les seules exigences pour le salut : « Quiconque croit en lui ne sera point confus ». Puis au verset 13 : « Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » Ces deux citations proviennent respectivement des prophètes Ésaïe et Joël dans l’Ancien Testament, et elles sont tout à fait vraies, mais que signifie croire ?

Les Israélites qui sortirent d’Égypte échouèrent dans leur quête de la Terre promise, et même la génération suivante, laquelle est entrée en Terre promise, physiquement parlant, n’a pas trouvé le repos de Dieu. Pourquoi ? L’épître aux Hébreux explique pourquoi : « Qui furent, en effet, ceux qui se révoltèrent après avoir entendu sa voix, sinon tous ceux qui étaient sortis d’Égypte sous la conduite de Moïse ? » (Hébreux 3 :16). Remarquez que le sujet est la désobéissance :

« Et contre qui Dieu fut-il irrité pendant quarante ans, sinon contre ceux qui péchèrent, et dont les cadavres tombèrent dans le désert ? Et à qui jura-t-il qu’ils n’entreraient pas dans son repos, sinon à ceux qui avaient désobéi ? Aussi voyons-nous qu’ils ne purent y entrer à cause de leur incrédulité » (Hébreux 3 :17-19).

Il existe un lien direct entre la croyance et l’obéissance, ce qui est expliqué plus loin dans Hébreux 11 :6. « Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. »

Mais croire ne suffit pas, comme l’a expliqué Jacques, le demi-frère de Jésus : « Tu crois qu’il y a un seul Dieu, tu fais bien ; les démons le croient aussi, et ils tremblent. Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans les œuvres est inutile ? » (Jacques 2 :19-20).

Oui, la croyance est bien plus qu’une confession émotionnelle et la répétition de la prière du pécheur. La croyance doit être accompagnée d’une action obéissante, et n’est-il pas logique que nous comprenions pourquoi Dieu a donné Son Fils pour qu’Il meure pour nous ?

Dans les Églises dites chrétiennes, l’amour est souvent opposé à la loi de Dieu. Nous savons que nous sommes sauvés par la grâce, mais cela signifie-t-il que la foi est tout ce dont nous avons besoin et qu’il n’est pas nécessaire d’observer les commandements ? Ce n’est pas du tout le cas. C’est pourquoi la vérité cachée n°1 est de connaître l’identité de Jésus avant Sa naissance. Comme nous l’avons montré dans une partie précédente de cette émission, c’est Celui qui est devenu Jésus qui a tonné les Dix Commandements depuis le mont Sinaï, mais beaucoup croient à tort que c’est Dieu le Père qui parla depuis le mont et communiqua avec Moïse.

De plus, ils pensent que Dieu le Père n’a édicté que neuf commandements sur dix qui étaient justes et que Son Fils a dû venir pour redresser la situation. Ils ne le disent pas de cette façon, mais à quelle autre conclusion pouvons-nous arriver lorsqu’ils acceptent tous les commandements sauf un ? Ils sont d’accord avec les commandements interdisant d’avoir un autre dieu que le vrai Dieu, d’honorer ses parents, de ne pas commettre de meurtre ou d’adultère, de ne pas voler ou mentir, mais ils rejettent le commandement de se souvenir du jour du sabbat pour le sanctifier – pensant que le samedi, le septième jour est remplacé par le dimanche, le premier jour de la semaine, voire qu’il n’est absolument plus nécessaire. Cependant, lorsqu’un pharisien, un juriste, a posé cette question à Jésus dans Matthieu 22 :36 : « Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? » (Matthieu 22 :36). Celui qui, avant Sa naissance ici-bas, a donné les Dix Commandements, lui a répondu :

« Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes » (Matthieu 22 :37-40).

Un examen attentif des Dix Commandements montre que les quatre premiers nous enseignent comment aimer Dieu, et les six derniers comment aimer notre prochain. Jacques explique que tous les Dix sont toujours en vigueur :

« Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. En effet, celui qui a dit : Tu ne commettras point d’adultère, a dit aussi : Tu ne tueras point. Or, si tu ne commets point d’adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu deviens transgresseur de la loi. Parlez et agissez comme devant être jugés par une loi de liberté » (Jacques 2 :10-12).

Vous pouvez vous demander : « Pourquoi une telle insistance sur la loi par rapport à Jean 3 :16 ? ». La réponse est évidente. Pourquoi le Père a-t-Il donné Son Fils et pourquoi le Christ est mort pour nous ? N’était-ce pas pour payer la peine de nos péchés ? Si c’est le cas, n’est-il pas logique que nous apprenions la définition biblique du péché ? Les gens ont de nombreuses idées personnelles sur ce qu’est le péché. Certains pensent qu’il s’agit de lorgner le conjoint d’autrui, de visionner de la pornographie, d’aller au cinéma le dimanche. D’autres pensent que boire de l’alcool, du café, du thé ou des boissons gazeuses contenant de la caféine constitue un péché. Certains pensent que danser ou jouer aux cartes est un péché.

D’autres encore résument la situation en disant : « Tout ce qui blesse les autres est un péché ». Bien sûr, selon cette définition, si quelqu’un fait quelque chose qu’il croit (parfois à tort) ne blesser personne d’autre, ce n’est pas un péché. Alors pourquoi les gens ne s’appuient-ils pas sur la définition biblique du péché : « Quiconque pratique le péché transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi » (1 Jean 3 :4) ?

L’apôtre Jean est connu comme « l’apôtre de l’amour » car il a beaucoup parlé d’amour. Vous le constaterez en lisant sa première épître, où il utilise le mot « amour » ou le verbe « aimer » plus de 36 fois dans cinq courts chapitres. Non seulement il nous dit par deux fois que « Dieu est amour » (1 Jean 4 :8, 16), mais il nous dit aussi que nous devons nous aimer les uns les autres. Notez-le et consultez-le dans votre propre Bible.

Dans 1 Jean 2 :3-6, il établit un lien entre la connaissance de Dieu et l’observance des commandements. En outre, il nous dit que nous devons marcher comme Jésus a marché et que l’amour de Dieu est parfait en nous lorsque nous Lui obéissons :

« Si nous gardons ses commandements, nous savons par cela que nous l’avons connu. Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui. Mais l’amour de Dieu est véritablement parfait en celui qui garde sa parole : par cela nous savons que nous sommes en lui. Celui qui dit qu’il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même » (1 Jean 2 :3-6).

N’oublions pas ce que Jean a écrit dans cette même épître :

« Nous connaissons que nous aimons les enfants de Dieu, lorsque nous aimons Dieu, et que nous pratiquons ses commandements. Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements et ses commandements ne sont pas pénibles » (1 Jean 5 :2-3).

Non, Ses commandements ne sont pas pénibles comme le prétendent certains séducteurs ! Donc, vérité cachée n°2 : la vraie croyance exige l’obéissance.

Vérité cachée n°3 : “Car Dieu a tant aimé le monde…”

Jean 3 :16 commence par cette déclaration : « Car Dieu a tant aimé le monde… ». Qu’est-ce qui peut bien se cacher dans ces sept mots ? En fait, il y a bien plus que ce que vous pouvez imaginer, mais vous devrez commander notre brochure gratuite pour une explication complète. Toutefois, concentrons-nous sur le seul mot « monde ». L’une des doctrines les plus erronées du faux christianisme est que Dieu essaie de sauver le monde entier aujourd’hui, ce qui n’est ni juste ni biblique. Considérez le fait que pendant la majeure partie des deux mille dernières années, la plupart de l’humanité ne savait rien de Jésus-Christ.

Pensez à l’aborigène australien qui est mort une semaine après la crucifixion du Christ : quelle chance avait-il ? Dieu le jugera-t-il sur ce qu’il savait ? Pas selon Actes 4 :10, 12 :

« Sachez-le tous, et que tout le peuple d’Israël le sache ! C’est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c’est par lui que cet homme se présente en pleine santé devant vous. […] Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. »

Un homme obtus m’a dit un jour, à propos d’une personne qui n’avait jamais entendu parler du nom de Jésus-Christ, que si cette personne avait voulu connaître le Christ, Dieu le lui aurait fait connaître la parole. Mais c’est absurde, comme l’explique l’apôtre Paul dans Romains 4 :14 : « Comment donc invoqueront-ils celui en qui ils n’ont pas cru ? Et comment croiront-ils en celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui prêche ? » 

En effet ! Au cours de l’Histoire, tous n’ont pas entendu parler du Christ. Songez à l’injustice faite à ceux qui sont nés dans des régions du monde où l’islamisme, l’hindouisme, le bouddhisme, l’athéisme et une foule d’autres « ismes » sont la règle. Sans parler des diverses formes de christianisme professant une multitude de doctrines différentes. Comment peuvent-ils tous avoir raison ? Dieu sauve-t-Il les enfants de présumés chrétiens s’ils emmènent leurs bébés se faire asperger pour le baptême alors que ces bébés n’ont pas la moindre idée de ce qui leur arrive ? Tous les autres sont-ils perdus ? Ou bien Dieu sauve-t-Il automatiquement tous les enfants qui meurent tôt dans la vie avant d’avoir compris ce qu’est le péché et ce que Dieu a fait pour l’humanité il y a près de 2000 ans ? La question se résume à ce qui est expliqué dans le chapitre 3 de notre brochure sur Jean 3 :16 – intitulé, « Dieu est-Il juste ? » La réponse est qu’Il l’est, mais vous devrez commander un exemplaire de cette brochure pour trouver les preuves surprenantes et encourageantes tirées directement des pages de la Bible.


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« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. »

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