Qu'est-ce que Dieu attend de moi? | Le Monde de Demain

Qu'est-ce que Dieu attend de moi?

Qu'est-ce que Dieu attend de moi?

Vous croiriez-nous si vous nous disions que la Bible déclare clairement que Jésus n’est pas venu pour abolir les lois ni les commandements de Dieu ? Personne ne doit jamais croire aveuglement sans preuve. Alors, regardez cet épisode et découvrez les déclarations claires et nettes de la Bible à ce sujet, en les vérifiant par vous-même dans les Écritures.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Pensez-vous connaître Dieu ?

Beaucoup de gens, surtout les jeunes, voient Dieu comme un Être dur et sévère, un Être qui veut enlever tous les plaisirs de la vie. Plusieurs de ceux qui professent la foi chrétienne voient le Dieu de l’Ancien Testament comme un vieil homme dépassé qui exige des choses déraisonnables, mais ils voient Jésus arriver pour abolir ces lois et les remplacer par une loi différente, plus aimante. Vous rendez-vous compte, mes amis, que ces idées sont totalement erronées ? Le Dieu de l’Ancien Testament n’est pas un Être sévère et inaccessible, et Ses lois ne sont pas non plus déraisonnables.

 Dans l’émission du Monde de Demain d’aujourd’hui, je vais révéler une vérité étonnante que peu comprennent. Nous verrons ce que la Bible dit du Dieu de l’Ancien Testament, ce qu’elle dit de l’amour, et ce que Dieu exige vraiment de vous et de moi.

Les commandements de Dieu définissent ce qu’est l’amour

Je vous souhaite la bienvenue de la part de tous les membres du Monde de Demain. Et je souhaite tout particulièrement la bienvenue à ceux d’entre vous qui nous écoutent pour la première fois. Aujourd’hui, je vais vous donner quelque chose qui ouvrira votre esprit à une vérité étonnante sur Dieu. Une vérité qui est accessible à tous, mais que presque personne ne connaît.

Soyons réalistes. Dieu n’est pas populaire dans notre monde actuel. Beaucoup de gens ne croient pas qu’Il existe, mais ils préfèrent plutôt croire à une création sans Créateur. Ils croient que des formes de vie parfaitement harmonieuses ont été générées à partir du chaos, alors que cela est une impossibilité mathématique.

De plus, nous devons nous poser la question : « D’où vient la matière ? » Oui, je parle de la poussière qui se trouve sous nos pieds. La plupart des scientifiques reconnaissent que notre Univers eut un commencement, mais ils n’ont aucun moyen d’expliquer comment les lois existantes qui régissent la matière sont apparues.

Nous avons eu plusieurs émissions sur ce sujet, je ne m’y attarderai donc pas pour l’instant. Il suffit de dire que « la négation de l’existence de Dieu » provient davantage de préjugés que de faits scientifiques.

Beaucoup voient Dieu comme un Être impossible à satisfaire. Ils Le voient comme un Être dur et exigeant qui aime punir les gens et semble détester Sa création même. Mais est-ce bien le cas ? D’autres vont à l’extrême opposé en pensant que Dieu n’exige pratiquement rien de nous. Aucun de ces deux concepts n’est correct.

Parlons donc de Dieu. Qui est-Il, et qu’exige-t-Il de nous ? Vous rendez-vous compte que la deuxième partie de cette question n’est pas nouvelle ? Remarquez-la dans Michée 6 :8 :

« On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien ; et ce que l’Éternel demande de toi, c’est que tu pratiques la justice, que tu aimes la miséricorde, et que tu marches humblement avec ton Dieu. » 

Un sentiment similaire est exprimé par le roi David dans le 15e Psaume, où les exigences de Dieu sont développées. Les questions posées sont les suivantes : « Ô Éternel ! Qui séjournera dans ta tente ? Qui demeurera sur ta montagne sainte ? » (Psaume 15 :1).

Ces questions vont au-delà de l’époque de David et reflètent ce que Dieu exige de toute personne qui espère être dans Son Royaume. Remarquez maintenant la réponse :

« Celui qui marche dans l’intégrité, qui pratique la justice et qui dit la vérité selon son cœur. Il ne calomnie point avec sa langue, il ne fait point de mal à son semblable, et il ne jette point l’opprobre sur son prochain. Il regarde avec dédain celui qui est méprisable, mais il honore ceux qui craignent l’Éternel ; il ne se rétracte point, s’il fait un serment à son préjudice. Il n’exige point d’intérêt de son argent, et il n’accepte point de don contre l’innocent. Celui qui se conduit ainsi ne chancelle jamais » (Psaume 15 :2-5).

Si vous ne le saviez pas, vous penseriez que ce sont des paroles de Jésus, et non celles d’une personne vivant sous l’ancienne alliance. Peut-être que le Dieu de l’Ancien Testament n’est pas aussi sévère que certains le croient.

Mais qu’en est-il des Dix Commandements ? Sont-ils aussi oppressants que certains le pensent ? Sont-ils pesants et impossibles à respecter ? Certains le pensent et on me l’a dit personnellement. J’ai également entendu dire que le salut ne nécessite aucun effort de notre part – que tout a été fait pour nous, mais est-ce bien ce que révèlent les Écritures ?

Remarquez ce que celui qui est considéré comme l’apôtre de l’amour a à dire sur les commandements de Dieu : « Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles » (1 Jean 5 :3).

Mais Jésus n’est-Il pas venu clouer ces commandements au pilori ? Ne les a-t-Il pas abolis ? Lisons ce qu’Il dit dans Matthieu 19. Là, un jeune dirigeant s’approche de Lui et Lui pose la question suivante : « Maître, que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? » (Matthieu 19 :16)

C’est une question légitime. Après tout, qui veut que la vie se termine ? Je comprends que lorsqu’on a 16 ans, on pense que la vie va continuer pour toujours. La vieillesse semble si loin et vous vous imaginez que quand vous vieillirez, vous ne serez pas décrépit comme toutes les personnes âgées que vous voyez. Non, vous jouerez encore au basket – pas de position assise pour vous ! Mais ce n’est pas la réalité. Nous vieillissons tous et nous comprenons qu’il y a une fin. C’est à ce moment-là que la plupart des gens commencent à réfléchir plus sérieusement à la question : Que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? À présent, que répondit Jésus : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17).

Maintenant, si l’observance des commandements est une condition préalable à la vie éternelle, et c’est ce que Jésus dit clairement, ne voudriez-vous pas les connaître ? Peut-être pouvez-vous en réciter la forme abrégée, mais comprenez-vous vraiment l’intention spirituelle qui les sous-tend ? 

Qui était le Dieu de l’Ancien Testament ?

Notre brochure Les Dix Commandements est l’une des plus importantes que nous ayons publié. Vous pouvez recevoir un exemplaire gratuit en cliquant sur le lien dans la description. À présent, je vais vous révéler l’un des secrets les moins connus, mais aussi les moins cachés de la Bible. Quel est ce secret ? Pourquoi si peu de gens le connaissent s’il est si peu caché ? S’il n’est pas généralement connu, quelle importance peut-il avoir ?

 La réponse à ces questions se trouve dans une autre question : Qui était exactement Jésus de Nazareth ? Vous rendez-vous compte, mes amis, que de nombreuses affirmations de la Bible, faciles à comprendre, répondent à cette question ?

Commençons par le véritable début chronologique de la Bible. Ce n’est pas Genèse 1. Il se trouve dans Jean 1 :1. Nous y lisons l’histoire des deux membres de la famille de Dieu : L’un est appelé, dans le grec original, le Logos, ce qui signifie la Parole ou le Porte-parole, et l’autre est simplement appelé Dieu. Pourtant, la Parole est aussi appelée Dieu. Lisons-le ensemble :

« Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle » (Jean 1 :1-3).

Relisons cette dernière phrase. Remarquez que ce passage dit clairement que la Parole était aussi Dieu, et que : « Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle » (Jean 1 :3). Mais qui est cette « Parole » qui était avec Dieu, mais qui était aussi Dieu, et qui créa toutes choses ? Le verset 14 nous donne la réponse : « Et la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ».

Oui, le Logos, la Parole ou le Porte-parole décrit ici, n’est autre que Jésus-Christ. Colossiens 1 :16-17 corroborent le rôle du Christ dans la création de toutes choses :

« Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui ».

De qui parlent ces versets ? « Il est la tête du corps de l’Église ; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier » (Colossiens 1 :18).

Une croyance très répandue mais erronée est qu’il existe un Père sévère et cruel qui est le Dieu de l’Ancien Testament, qu’Il nous a donné des lois impossibles à respecter et pénible, mais que Son Fils, Jésus, est venu pour abolir les lois de Son Père et tout faire pour nous, et qu’Il ne nous demande rien d’autre que de confesser la foi en Son nom. Aussi répandue que soit cette croyance, elle ne se trouve nulle part dans la Bible. En fait, ce que nous apprenons de ces Écritures, c’est que Celui qui est devenu Jésus-Christ était le Dieu de l’Ancien Testament.

Remarquez encore : « Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui » (Colossiens 1 :16).

Or, si Jésus-Christ créa toutes les choses dans les cieux et sur la Terre, visibles et invisibles, cela signifie qu’Il créa les premiers humains, donc si nous voulons plaire à Dieu, nous devrions mieux Le connaître !

La Bible nous dit que Dieu fit sortir les enfants d’Israël d’Égypte par de puissants miracles. Il les conduisit par la main de Moïse jusqu’au mont Sinaï, où Il prononça les Dix Commandements et conclut une alliance avec la nation. À cette occasion, il nous est dit que 74 hommes virent le Dieu d’Israël et prirent un repas d’alliance avec Lui. Remarquez dans Exode 24 :9-11 :

« Moïse monta avec Aaron, Nadab et Abihu, et soixante-dix anciens d’Israël. Ils virent le Dieu d’Israël ; sous ses pieds, c’était comme un ouvrage de saphir transparent, comme le ciel lui-même dans sa pureté. Il n’étendit point sa main sur l’élite des enfants d’Israël. Ils virent Dieu, et ils mangèrent et burent. »

Mais de quel membre de la Famille divine s’agissait-il ? Était-ce le Père ou le Logos, Celui qui s’est fait connaître sous le nom de Jésus-Christ ? Les apôtres Jean et Paul répondent à cette question essentielle.

Jésus-Christ dans l’Ancien Testament

Les Écritures montrent que toutes choses ont été créées par la Parole ou le Porte-parole de la Famille divine et que la Parole est devenue Celui que nous connaissons sous le nom de Jésus. Nous avons également noté que lorsque l’alliance fut conclue entre Dieu et Israël, des hommes virent le Dieu d’Israël. Mais il y a un problème avec cela. Remarquez ce qui est dit dans Jean 5 :37 : « Et le Père Lui-même qui m’a envoyé a rendu ce témoignage de moi [c’est Jésus qui parle]. Vous n’avez jamais entendu sa voix à aucun moment, ni vu sa forme [en parlant du Père] » (KJF). Cela est confirmé dans Jean 1 :18 : « Personne n’a jamais vu Dieu ; Dieu le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître. »

Donc, si personne n’a jamais vu Dieu le Père, qui ces 74 dirigeants d’Israël virent-ils au mont Sinaï ? La Bible se contredit-elle ? Ou existe-t-il une autre explication ? La réponse est simple. Dans ce passage, il est dit : « Personne n’a jamais vu Dieu ». Mais il poursuit en disant : « Dieu le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître. »

Il est clair que Celui que personne n’a vu est le Père. Mais souvenez-vous de Jean 1 :1, qui nous dit que la Parole était à la fois avec Dieu et était Dieu. Il y est dit : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. »

Notez que la Parole était avec Dieu, et que la Parole était Dieu – deux Êtres décrits ici – et tous les deux sont Dieu. Je porte le nom de famille Weston et mon épouse porte aussi le nom de famille Weston. Si vous ne m’avez pas vu, mais que vous avez rencontré mon épouse, vous pouvez dire en toute vérité que vous avez vu Weston, mais pas le mari Weston – seulement l’épouse Weston.

Lorsque nous lisons que 74 dirigeants d’Israël virent Dieu, mais que nous lisons aussi que personne n’a jamais vu Dieu, il s’agit simplement de savoir de quel membre de la Famille divine il est question. Personne n’a vu Dieu, le Père, à aucun moment, mais ils virent Celui qui est devenu Jésus le Christ. Besoin de plus de preuves ? Notez la déclaration de Paul dans 1 Corinthiens 10 :1-4 :

« Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée, qu’ils ont tous passé au travers de la mer, qu’ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer, qu’ils ont tous mangé le même aliment spirituel, et qu’ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, [et remarquez ceci] et ce rocher était Christ. »

Même un enfant devrait être capable de le comprendre. Celui qui a œuvré avec l’ancien Israël n’était autre que Celui qui est devenu Jésus-Christ !

 Comprenez-vous, mes amis, ce que cela signifie ? Comprenez-vous les implications de ce fait ? En bref, Celui qui s’est dépouillé de Sa glorieuse puissance et qui est venu sur Terre en tant que Jésus-Christ, était le Dieu de l’Ancien Testament ! Il était Celui qui créa toutes choses.

Comme nous le lisons dans Colossiens 1 :16 : « Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. » Ceci est confirmé dans un autre passage :

« Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils ; il l’a établi héritier de toutes choses ; par lui il a aussi créé l’univers » (Hébreux 1 :1-2)

Avez-vous encore besoin d’une autre preuve ? La voici dans Éphésiens 3 :8-9. N’oubliez pas de consulter la Bible pour vérifier ce passage ainsi que les autres passages donnés dans cette émission. Ne me croyez pas simplement parce que je le dis. Lisez-le et prouvez-le par vous-même dans la Bible !

« À moi […] a été donnée cette grâce […] de mettre en évidence devant tous, quelle est la dispensation du mystère caché de tout temps en Dieu, qui a créé toutes choses par Jésus-Christ » (Éphésiens 3 :8-9, Ostervald).

Les implications sont immenses. Vous rendez-vous compte que ceux qui déclarent que la loi a été abolie disent en réalité que Celui qui a donné la loi s’est ravisé et l’a abolie ? C’est absurde, et c’est peut-être pour cela que Jésus a dit : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17).

La loi est une bénédiction pour ceux qui l’observent

Les gens, jeunes et moins jeunes, voient souvent Dieu comme étant sévère, dur et désireux de punir. C’est bien triste, car Il est tout le contraire. Comme nous l’avons déjà vu au cours des premières parties de cette émission, le Dieu de l’Ancien Testament n’est autre que Celui qui est devenu Jésus-Christ. Comme nous le lisons dans Colossiens 1 :16 : « Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. »

Et Paul nous dit que Celui qui interagit avec l’ancien Israël est Celui qui devint Jésus-Christ : « Car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ » (1 Corinthiens 10 :4). Peut-être vous a-t-on dit, comme à moi, que la loi de Dieu est pénible, impossible à respecter, qu’elle n’est plus requise et que le Christ a tout fait à notre place. Mais est-ce bien ce que dit la Bible ? Remarquez combien ces idées sont fausses à tous égards. Comme je l’ai lu précédemment, l’apôtre Jean a écrit : « Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles » (1 Jean 5 :3).

Alors qui allez-vous croire ? Votre voisin ? Votre pasteur ? Ou l’apôtre Jean ? Et qu’en est-il de ce que Jésus Lui-même nous dit dans le sermon sur la montagne dans Matthieu 5 :17 : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. »

Ensuite, Il montre que nous devons garder, non seulement la lettre de la loi, mais aussi l’esprit ou l’intention de la loi. Notez cet exemple :

« Vous avez appris qu’il a été dit : Tu ne commettras point d’adultère. Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur » (Matthieu 5 :27-28).

C’est une déclaration aussi directe que possible sur ce que le Christ exige de nous, mais quel est le but de la loi de Dieu ? Est-ce pour nous empêcher d’avoir de bonnes choses, ou pour nous empêcher de commettre tout acte qui nous causerait du chagrin et de la souffrance ? Remarquez la réaction de Dieu à l’égard des enfants d’Israël : « Oh ! S’ils avaient toujours ce même cœur pour me craindre et pour observer tous mes commandements, afin qu’ils soient heureux à jamais, eux et leurs enfants ! »  (Deutéronome 5 :29).

Dieu sait que le respect de Sa loi nous évite des problèmes. Elle nous protège contre la douleur et la souffrance inutiles. Considérez le tout premier commandement donné dans Exode 20 :2-3 : « Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude. Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. » 

Peut-être pensez-vous que vous n’êtes jamais allés en Égypte, jamais en esclavage. Mais c’est la même réaction que les Juifs ont eue lorsque Jésus a déclaré dans Jean 8 :32 : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. »

Ils en restèrent bouche bée et Lui répondirent : « Nous sommes la postérité d’Abraham, et nous ne fûmes jamais esclaves de personne ; comment dis-tu : Vous deviendrez libres ? » (Jean 8 :33). Jésus répondit : « En vérité, en vérité, je vous le dis [...] quiconque se livre au péché est esclave du péché » (Jean 8 :34).

L’apôtre Paul l’exprima ainsi dans Romains 6 :16 : « Ne savez-vous pas qu’en vous livrant à quelqu’un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l’obéissance qui conduit à la justice ? » 

Non, mes amis, contrairement aux idées reçues, la loi de Dieu n’est pas un fardeau, mais une loi qui nous libère des fardeaux qui résultent de la violation de cette loi. C’est pourquoi l’apôtre Jacques l’appelle la loi de la liberté dans Jacques 1 :25 :

« Mais celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui aura persévéré, n’étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l’œuvre, celui-là sera heureux dans son activité. »

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Les Dix Commandements

La société « moderne » est en conflit au sujet des Dix Commandements. Ceux-ci ont-ils été annulés par ordonnance divine, ou par l’esprit humain qui s’est tourné vers la connaissance scientifique ? Devrait-on les afficher dans les endroits publics, ou les réserver à l’Eglise ? Sont-ils une charge pour des « illuminés », ou une bénédiction pour ceux qui obéissent à Dieu ? Le roi David a dit : « Combien j’aime ta loi ! », et il a ajouté que la loi est parfaite. L’apôtre Paul qualifie les commandements de saints, justes et bons. Jésus les a respectés, magnifiés et nous ordonne d’obéir aux Dix Commandements. Mais pour la plupart des gens, les Dix Commandements demeurent une énigme, qui n’a jamais été résolue. Cette brochure explique, en détail, cette loi vivante, inexorable, qui sera bientôt le fondement du Monde de Demain, paisible, prospère et joyeux.

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