Fixez-vous des limites? | Le Monde de Demain

Fixez-vous des limites?

Fixez-vous des limites?

Dieu est-Il réel pour vous ? Combien de vos croyances à Son sujet proviennent-elles réellement de la Bible qu’Il a inspirée ? Examinons de plus près qui est vraiment Dieu, ce qu’Il attend de chacun d’entre nous et à quel point nous sommes prêts à agir selon Ses instructions.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Pariez-vous pour ou contre l’existence de Dieu ? Pensez-y ! Vous ne vous considérez peut-être pas comme un joueur, mais la façon dont vous vivez votre vie est le plus grand pari que vous aurez jamais à faire. Soit Dieu existe, soit Il n’existe pas. Et s’Il existe, jusqu’où irez-vous pour vivre selon Sa volonté ? Allez-vous vous engager à fond avec Dieu ? Ou allez-vous fixer des limites en disant : « Jusqu’ici et pas plus loin » ?

Ce sont des questions auxquelles nous ferions bien de réfléchir, car nous parions, par la façon dont nous menons nos vies, sur les réponses à ces questions importantes.

Avez-vous une foi “à toute épreuve” ?

Bienvenue au Monde de Demain où nous aborderons les grandes questions de la vie, et je vous pose cette question aujourd’hui : « Jusqu’où irez-vous pour obéir à Dieu – jusqu’au bout, ou bien fixez-vous des limites ? » Pariez-vous pour ou contre l’existence de Dieu ? Vos actions en disent plus que ce que vous professez.

Aucun d’entre nous n’a vu Dieu en face à face, mais des milliards de personnes proclament croire en une certaine forme de Dieu. Mais à quel point est-Il réel pour vous ? Êtes-vous si sûr de Son existence que vous êtes prêt à tout mettre en jeu ? En d’autres termes, si vous êtes familier avec le poker, jouez-vous votre « va-tout » ? De peur que quelqu’un ne se méprenne, je ne fais pas la promotion de l’industrie des jeux de hasard, mais le fait est que vous effectuez par vos choix, par vos décisions, et par vos actions quotidiennes, un pari très réel sur l’existence, ou la non-existence de Dieu. Et lorsqu’il s’agit du Dieu de la Bible, vous devez faire « tapis ». C’est ce que dit Jésus : « Si quelqu’un vient à moi, et s’il ne hait pas [c.-à-d. aimer moins par comparaison] son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, et ses sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple » (Luc 14 :26, LSG).

Vous avez sans doute vu l’autocollant sur des pare-chocs utilisant divers symboles religieux pour épeler le mot « COEXISTER ». C’est une merveilleuse platitude, mais qu’est-ce que cela veut dire ? Prend-on Dieu au sérieux ou s’agit-il du « signalement moral » ? Cela ne veut-il pas dire : « Toutes les religions se valent, alors mettons-nous d’accord » ? Nous devrions nous entendre, c’est certain, mais est-il vrai que ce que nous croyons exactement, quand il s’agit de Dieu, n’a-t-Il pas d’importance ? Pas selon le Dieu de la Bible ! Le tout premier des Dix Commandements déclare catégoriquement : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Exode 20 :3) et Jésus proclama : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14 :6).

Lorsque les apôtres Pierre et Jean ont été traînés devant les chefs religieux de leur époque pour avoir enseigné au Nom de Jésus, Pierre leur a dit avec audace qu’ils étaient coupables d’avoir rejeté le Messie et qu’il n’y avait pas d’autre chemin vers le salut.

« Jésus est la pierre rejetée par vous qui bâtissez, et qui est devenue la principale de l’angle. Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4 :11-12).

Je pense que la plupart des téléspectateurs de cette émission sont au moins nominalement des croyants en Christ, mais quelle est la solidité de votre foi et jusqu’où êtes-vous prêt à aller ? Considérez ce qui suit.

La Bible nous dit qu’un homme nommé Jésus parcourait les collines arides d’Israël il y a environ deux mille ans. Il déclarait avoir été envoyé par Dieu et qu’Il retournerait à Lui. Il fut torturé et crucifié, et des centaines de témoins ont affirmé l’avoir vu après Sa résurrection. De plus, Jésus proclama qu’Il reviendrait pour régner sur toute la Terre et donner le pouvoir à un groupe de personnes qui, dans cette vie, sont appelés, élus et fidèles.

Soyons honnêtes. C’est beaucoup à accepter. Même Ses plus proches disciples, qui ont vu tous Ses miracles et qui ont été entraînés par Lui pendant trois ans et demi, ont eu du mal à croire la résurrection. Thomas, l’un de Ses disciples, a même dit : « Montre-moi les preuves. »

« Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point » (Jean 20 :25).

Cela montre clairement que Thomas était convaincu de Sa mort. Il n’était pas question que cela soit simulé. Bien sûr, une fois que Jésus lui apparut, Thomas crut. Mais il y a là un message pour nous tous lorsque nous lisons la suite de la conversation. « Jésus lui dit : Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru ! » (Jean 20 :28-29).

Qu’en est-il de vous ? Croyez-vous, sans l’avoir vu ? Jusqu’où êtes-vous prêt à aller dans votre croyance ? Le placerez-vous avant tout, comme nous l’avons lu précédemment ? Ou allez-vous fixer des limites en disant « pas plus loin » ? Malheureusement, la plupart de ceux qui se disent chrétiens fixent des limites, en raisonnant autour de déclarations claires des Écritures, pour éviter d’aller à l’encontre des traditions humaines.

Voire signifie-t-il croire ?

Nos actions révèlent la profondeur de notre conviction. Il est facile de professer sa foi en Dieu, mais les choix que nous faisons racontent souvent une histoire bien différente. L’exemple de l’ancien Israël concluant une alliance avec Dieu est instructif : « Moïse vint appeler les anciens du peuple, et il mit devant eux toutes ces paroles, comme l’Éternel le lui avait ordonné. Le peuple tout entier répondit : Nous ferons tout ce que l’Éternel a dit. Moïse rapporta les paroles du peuple à l’Éternel » (Exode 19 :7-8).

C’était leur mission – ils devaient obéir. Mais dans quelle mesure le faisaient-ils lorsqu’ils étaient confrontés à des choix difficiles ? Faisaient-ils confiance à Dieu ou à eux-mêmes ? Tous ceux qui étudient la Bible savent que l’ancien Israël a échoué lamentablement lorsqu’il s’agissait d’obéir à Dieu, mais quelle était la cause fondamentale de leur problème ?

« Contre qui Dieu fut-il irrité pendant quarante ans, sinon contre ceux qui péchèrent, et dont les cadavres tombèrent dans le désert ? Et à qui jura-t-il qu’ils n’entreraient pas dans son repos, sinon à ceux qui avaient désobéi ? Aussi voyons-nous qu’ils ne purent y entrer à cause de leur incrédulité. (Hébreux 3 :17-19).

Comme il est facile de professer une croyance, mais de la traduire en actes, c’est autre chose. Même les disciples de Jésus n’ont pas compris Ses déclarations selon lesquelles Il mourrait et serait ressuscité après trois jours et trois nuits dans un sépulcre. Cela est surprenant, étant donné qu’ils savaient que d’autres personnes avaient été ressuscitées.

Ce n’était pas comme si une résurrection d’entre les morts n’avait jamais eu lieu auparavant. Les disciples de Jésus connaissaient le récit de l’homme qui revint à la vie après avoir été jeté dans le sépulcre d’Élisée. Vous pouvez lire ce récit dans 2 Rois 13 :21. Et ils connaissaient les Écritures qui prophétisaient une résurrection des morts :

  • Job 14 :15.15
  • Psaume 17 :15
  • Daniel 12 :1-2

Mais lire au sujet de quelque chose qui s’est passé il y a longtemps, ou entendre parler de quelque chose qui se réalisera dans le futur, ce n’est pas le même que de le vivre dans le présent. Et même l’expérience d’un événement vécu de son vivant s’efface rapidement de la mémoire. Par exemple, les disciples de Jésus connaissaient un homme qui fut ressuscité des morts peu de temps avant la crucifixion.

Lazare, le frère de Marthe et de Marie, était mort et Jésus vint au tombeau où il avait été mis. « Jésus dit : Ôtez la pierre. Marthe, la sœur du mort, lui dit : Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu’il est là » (Jean 11 :39). Puis, « ayant dit cela, il cria d’une voix forte : Lazare, sors ! Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandes, et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur dit : Déliez-le, et laissez-le aller » (versets 43-44).

Cela a dû être surréaliste ! Mais est-ce vraiment arrivé ? La résurrection de Lazare suscita un grand émoi parmi les habitants de Judée. Même les détracteurs de Jésus ne pouvaient pas le nier. Remarquez ce que nous lisons un peu plus loin :

« Une grande multitude de Juifs apprirent que Jésus était à Béthanie ; et ils y vinrent, non pas seulement à cause de lui, mais aussi pour voir Lazare, qu’il avait ressuscité des morts. Les principaux sacrificateurs délibérèrent de faire mourir aussi Lazare, parce que beaucoup de Juifs se retiraient d’eux à cause de lui, et croyaient en Jésus » (Jean 12 :9-11).

Malgré cela, les propres disciples de Jésus avaient du mal à croire en Sa propre résurrection. Cela pourrait être dû à une différence fondamentale. Ils étaient là lorsque Jésus fit sortir Lazare du tombeau. Ils ont vu de nombreux autres miracles accomplis par Jésus, mais lorsque le faiseur de miracles était tué, vers qui se tourner alors ? Jésus est venu leur révéler le Père. Ils ont vu Jésus – mais personne n’a jamais vu le Père, comme il est dit dans Jean 1 :18 : « Personne n’a jamais vu Dieu ; Dieu, le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître. »

Jésus accomplit de nombreux autres miracles. Il guérit toutes sortes de maladies, chassa les démons, changea l’eau en vin, calma une mer agitée et marcha sur l’eau. De nombreuses personnes étaient encore en vie et se souvenaient de ces miracles lorsque les Évangiles furent rédigés. Ils savaient que ces choses étaient arrivées ! Et même les pharisiens contestataires ont dû admettre que ces miracles de guérison étaient réels, comme le montre cette confession de Nicodème : « Mais il y eut un homme d’entre les pharisiens, nommé Nicodème, un chef des Juifs, qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit : Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu ; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui » (Jean 3 :1-2).

Donc, des questions demeurent. Croyez-vous que ces miracles se sont produits ? Croyez-vous qu’il existe un Dieu tout-puissant qui travaille avec l’humanité sur cette petite planète, qui tourne autour d’une étoile de taille moyenne – l’une des dizaines de milliards d’étoiles de notre galaxie, une seule galaxie parmi les quelque deux mille milliards de milliard de galaxies qui composent actuellement notre Univers ?

En vérité, nous devrions nous interroger comme le roi David lorsqu’il regardait le ciel nocturne en méditant : « Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, la lune et les étoiles que tu as créées : Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? » (Psaume 8 :4-5).

Voilà, chers amis, une question de grande envergure ! Si Dieu existe, quel EST Son plan pour vous et pour moi ? Nous devons savoir, et être convaincus, que nous sommes le fruit d’un Esprit Supérieur, d’un grand Dieu créateur. Et si nous le croyons vraiment, cette croyance doit guider nos décisions.

Quelle preuve vous convaincra ?

La plupart d’entre nous pensent que nous croirons si seulement nous pouvions témoigner d’un miracle, mais c’est un faux raisonnement, qui ne s’appuie pas sur les faits. Les enfants d’Israël témoignèrent des miracles après miracles. Ils traversèrent la mer Rouge et furent nourris de façon surnaturelle grâce à la manne, mais le miracle de la manne était bien plus grand que ce que la plupart des gens comprennent. Pendant quarante ans, elle tomba du ciel six jours par semaine, mais jamais le septième. De toute évidence, Dieu leur enseignait une leçon concernant l’un de Ses Dix Commandements ! Mais avons-nous appris cette leçon ?

Les miracles sont comme la nourriture et l’eau. Ils ne survivent que peu de temps dans notre esprit, jusqu’à ce que le prochain défi apparaisse. Ceux qui s’appuient sur les miracles, doivent avoir miracle après miracle pour satisfaire leur faim. Cela ne veut pas dire que les miracles ne sont pas importants, et nous en trouvons beaucoup dans la Bible. Peut-être en avez-vous fait l’expérience. En fait, c’est le cas, car la vie elle-même est un miracle, si nous voulons bien ouvrir les yeux. Paul nous dit que « les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables » (Romains 1 :20).

Et comme le roi David l’écrivit en considérant sa propre existence : « C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien » (Psaume 139 :13-14).

Pensez-y ! Votre âme le reconnaît-elle bien ? La foi de certains est éphémère. La foi ne doit pas être aveugle, mais notre nature est telle que l’évidence des miracles ne demeure pas longtemps.

Il est naturel de penser que l’Église primitive avait une grande foi, contrairement à aujourd’hui. C’est peut-être vrai, mais peut-être pas au niveau que nous imaginons. On trouve un récit plutôt drôle lorsque Pierre fut jeté en prison. Hérode était bien décidé à l’exécuter, comme il l’avait fait avec l’apôtre Jacques. De nombreuses personnes étaient réunies et priaient pour que Pierre soit libéré d’une mort certaine, et Dieu envoya un ange pour le sauver. Lorsque Pierre arriva à la porte après cette délivrance miraculeuse, ceux qui priaient ne semblaient pas pouvoir accepter qu’un tel miracle se trouvait à la porte d’entrée.

« Revenu à lui-même, Pierre dit : Je vois maintenant d’une manière certaine que le Seigneur a envoyé son ange, et qu’il m’a délivré de la main d’Hérode et tout ce que le peuple juif attendait. Après avoir réfléchi, il se dirigea vers la maison de Marie […] où beaucoup de personnes étaient réunies et priaient. Il frappa à la porte du vestibule, et une servante, nommée Rhode, s’approcha pour écouter. Elle reconnut la voix de Pierre : et, dans sa joie, au lieu d’ouvrir, elle courut annoncer que Pierre était devant la porte. Ils lui dirent : Tu es folle. Mais elle affirma que la chose était ainsi. Et ils dirent : C’est son ange. Cependant Pierre continuait à frapper. Ils ouvrirent, et furent étonnés de le voir » (Actes 12 :11-16).

Sommes-nous, vous et moi, meilleurs que ces personnes dévouées ? Serions-nous aussi incrédules dans une situation similaire ?

Je vais vous montrer pourquoi il est impossible de plaire à Dieu sans une foi vivante. Et il ne s’agit pas de mon opinion, mais d’une déclaration des Écritures. Hébreux 11 est connu comme le chapitre de la foi. Nous y lisons cette déclaration profonde que nous ferions bien de considérer : « Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent » (Hébreux 11 :6).

Pourquoi en est-il ainsi ? Un examen de ce chapitre révèle que toutes les personnes qui y sont citées entretenaient le genre de foi qui génère des actions. Nous lisons l’histoire de Noé, qui construisit un énorme bateau pour préserver la vie au cours d’un déluge mondial – ses voisins se moquèrent probablement de lui, jusqu’à ce que le déluge les emportât tous.

Abraham fit preuve d’obéissance à Dieu lorsqu’il quitta son confortable foyer pour aller dans un pays où il serait un étranger, et il crut que Dieu lui donnerait un fils dans sa vieillesse. Puis il y eut Moïse :

« C’est par la foi que Moïse, devenu grand, refusa d’être appelé fils de la fille de Pharaon ; il préféra être maltraité avec le peuple de Dieu que d’avoir pour un temps la jouissance du péché ; il regarda l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération. C’est par la foi qu’il quitta l’Égypte, sans être effrayé de la colère du roi ; car il se montra ferme, comme voyant celui qui est invisible » (Hébreux 11 :24-27).

Remarquez que chacun de ces personnages fit plus que professer la foi. Ils agirent par la foi. Lequel d’entre nous aurait fait la même chose ? Certains pensent : « Eh bien, si Dieu me parlait directement, je le ferais. » Mais n’est-ce pas ce qu’Il fait à travers Sa parole, la Bible ? Alors, le croyons-nous ?

Si Dieu parla directement à certains par des songes et des visions, beaucoup d’autres, à travers les siècles, n’ont eu que la parole à s’accrocher. Et tous n’ont pas été épargnés :

« Ils furent lapidés, sciés, torturés ; ils moururent tués par l’épée ; ils allèrent çà et là, vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités – eux dont le monde n’était pas digne, – errants dans les déserts et les montagnes, dans les cavernes et les antres de la terre. Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n’ont pas obtenu ce qui leur était promis. Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu’ils ne parviennent pas sans nous à la perfection » (Hébreux 11 :37-40). 

Dieu était réel pour eux ! Et si Dieu est réel pour nous, et nous croyons vraiment que notre obéissance est récompensée, nous observerons nous aussi Ses commandements. Chers amis, observez-vous le sabbat hebdomadaire, tel que décrit dans Genèse 2, tel que consigné dans les Dix autres Commandements, et tel que Dieu l’a révélé à Israël pendant quarante ans en retenant la manne chaque septième jour ? Ou bien suivez-vous les traditions des hommes et choisissez-vous le jour que Constantin décréta pour l’Église ? Observez-vous les mêmes Jours saints que Jésus, Ses apôtres et les chrétiens du premier siècle célébrèrent ? Ou suivez-vous les traditions humaines de fêtes païennes sur lesquelles le nom du Christ a été apposé ? Faites-vous ce que Jésus dit de faire dans Matthieu 19 :17 ? « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements. »

Ou faites-vous des compromis pour ne pas créer de vagues au travail ou dans votre famille ? Rappelez-vous les paroles de Jésus dans Matthieu 10 :

« Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ; et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison. Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n’est pas digne de moi » (Matthieu 10 :34-38).

Mes amis, c’est là où la théorie devient réalité. Mettez-vous le Christ en premier dans tout ? Mettez-vous tout en jeu ? Ou fixez-vous des limites et dites-vous, par vos actions, que vous irez jusqu’à un certain point, mais pas plus loin ?


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