La fête de Noël est-elle païenne? | Le Monde de Demain

La fête de Noël est-elle païenne?

La fête de Noël est-elle païenne?

La fête de Noël s’oppose-t-elle au véritable christianisme ? Dieu accorde-t-il de l’importance au fait que ses origines, ses coutumes et ses traditions proviennent du paganisme ? Jésus a-t-Il : « Il n’y aucun problème avec ça, du moment que vous avez de bonnes intentions » ? Voyez ce que la Bible déclare réellement au sujet de Noël et de ses traditions.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Nombreux sont ceux qui trouvent tant de joie dans les scènes et les chants du mois de décembre, en particulier à l’approche de Noël. Avec les décorations rouges et vertes, les panneaux et les affiches mettant en scène un bonhomme jovial vêtu tout de rouge, et les ritournelles que vous ne pouvez tout simplement pas vous sortir de la tête, vient la sempiternelle question : la fête de Noël est-elle païenne ?

La plupart ne se soucient même pas de la réponse, mais pour ceux qui prennent la foi biblique à cœur, c’est une question sérieuse – et c’est une question qui a besoin d’une réponse. Et nous répondrons à cette question ici au Monde de Demain, directement à partir des pages de la Bible, dès maintenant !

Les souvenirs de l’enfance ne sont pas suffisants

Aujourd’hui, nous allons aborder une question qui semble revenir chaque année en décembre : « La fête de Noël est-elle païenne ? »

Nous examinerons la question honnêtement et ouvertement, avec le désir d’orienter nos cœurs et nos esprits selon le conseil de Jésus-Christ tel qu’Il nous l’a enseigné dans Matthieu 6 :33 : « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu. »

Et cette question est importante. La façon dont nous choisissons d’honorer Dieu le Père et Son Fils est fondamentale. Comme nous le verrons dans les paroles inspirées des Écritures, nos pratiques ont un impact profond sur notre relation avec Dieu et sur le caractère que nous développons pour servir Dieu et Son plan.

Pour littéralement des centaines de milliers de personnes qui se considèrent comme des chrétiens sincères, la période de Noël est parmi l’une des plus sacrées.

C’est pour eux le moment de se remémorer la naissance de Jésus-Christ, le Sauveur promis au monde. Nombreux sont ceux qui assistent en décembre à des cultes religieux, consacrés au rappel des récits populaires de la nativité de Jésus, dont la naissance est ostensiblement célébrée le jour même de Noël.

Et beaucoup d’entre nous ont de nombreux souvenirs agréables associés à la période de Noël. En fait, célébrée comme elle l’est partout dans le monde, il me serait impossible de couvrir dans une émission comme celle-ci toutes les coutumes que les individus à travers le monde observent pour rendre cette saison spéciale. Permettez-moi donc de me concentrer un peu sur les coutumes que je connais le mieux en tant qu’Américain.

Nos villes et même nos maisons sont souvent décorées par des rappels spéciaux de la saison, comme des crèches, des branches ou des couronnes de houx, et des arbres de Noël décorés de guirlandes d’or et d’argent. Nombreux sont ceux qui auront acheté ou confectionné eux-mêmes des cadeaux pour leurs amis et pour les membres de leur famille, qui parcourent parfois de longues distances pour se retrouver le temps de quelques soirées, et partager le repas de Noël ensemble et échanger des cadeaux et des vœux. Et beaucoup chercheront à embrasser furtivement quelqu’un en le surprenant sous le gui.

Bien sûr, certains parents diront à leurs enfants que leurs cadeaux leur seront apportés du pôle Nord par le Père Noël ou « Saint Nicolas » la veille de Noël, tandis que les adultes se feront des clins d’œil complices.

Le matin, les enfants aiment déballer leurs cadeaux pour voir ce que le « Père Noël » leur a apporté, et certaines familles se rendent à des cultes religieux pour entendre un message soi-disant lié à la naissance de Jésus – en particulier celles qui s’inquiètent du fait que le mercantilisme évince ce qu’elles croient être la vraie signification de Noël : L’histoire selon laquelle Dieu a envoyé Son Fils dans le monde le jour de Noël, né de la Vierge Marie, pour être le Sauveur de l’humanité.

Je pourrais en dire bien plus, mais j’espère que cela résume l’esprit populaire de la saison de Noël. Oui, c’est une période stressante pour beaucoup… Les réunions de famille sont parfois une source d’anxiété, et l’achat de cadeaux pour les uns et les autres peut sembler une obligation pesante – surtout lorsque le relevé bancaire commence à révéler les dégâts de nos agapes.

Cependant, je tiens à reconnaître que de nombreux souvenirs joyeux sont généralement associés à Noël et à la période de Noël. Moi-même, enfant et jeune homme, j’y ai participé. Je me souviens des joies de recevoir des cadeaux et d’en acheter pour les autres. Je ne sais pas si vous pouvez très bien voir, mais cette vieille photo floue est une photo de moi, petit enfant, en train de profiter de son tout nouveau cadeau de Noël.

Je me souviens avoir vu, dans mon jeune âge, une figurine représentant le Père Noël agenouillé devant le berceau de ce qui était, visiblement, « l’Enfant Jésus ». Et j’étais ému – j’ai pensé à l’époque que c’était une belle façon d’essayer de mettre en évidence l’aspect le plus important de la saison de Noël. J’ai même joué le rôle de Joseph lors d’une représentation chorale de Noël.

En d’autres termes, je suis passé par là… J’ai observé cette fête.

Je mentionne ces choses au début de notre émission pour souligner un fait crucial. Alors que nous abordons la question d’aujourd’hui – « La fête de Noël est-elle païenne ? » – nous devons garder à l’esprit que rien de cette sentimentalité n’est pertinente.

Nous pouvons avoir des années de bons souvenirs associés à Noël. Nous pouvons aimer la musique, l’atmosphère, les traditions et l’accent mis sur Jésus et le message de Sa naissance.

Mais littéralement aucun de ces éléments n’est pertinent pour répondre à la question : « La fête de Noël est-elle païenne ? »

Après tout, de nombreuses religions ont leurs fêtes joyeuses, leurs moments de rassemblement familial, leurs cantiques dont on se souvient avec émotion et leurs traditions qui réchauffent le cœur de leurs fidèles.

Mais si nous voulons aborder le cœur de cette question, nous devons être prêts à nous éloigner de nos réactions émotionnelles et de nos souvenirs heureux et chercher à répondre à la question du point de vue des faits, de la sagesse et de la vérité révélée par Dieu.

En fait, c’est la partie la plus facile à gérer, comme nous le verrons. Mais ce que nous faisons de cette vérité… constitue la partie la plus délicate. Suivre le vrai Jésus-Christ n’est pas pour les lâches.

Chercher et trouver la vérité au sujet de Noël

Nous voulons comprendre la vérité, et nous voulons chercher cette vérité avec un esprit ouvert. Parce que la vérité est essentielle. Le chapitre 4 de Jean relate un célèbre récit de la discussion de Jésus avec la femme samaritaine. Elle lui parla des traditions des Samaritains concernant l’adoration du Dieu de la Bible, qui différaient à bien des égards de celles dont il est réellement question dans la Bible – même s’ils étaient très sincères. Dans un sens, ils étaient sincères dans leurs pratiques, c’est-à-dire que leur cœur y était, mais ils n’adoraient pas Dieu en vérité, c’est-à-dire que leurs actes sincères étaient basés sur des mensonges et des demi-vérités. Qu’a dit Jésus à cet égard ? A-t-Il dit : « Pas de problème. Tant que votre intention est bonne, votre culte est acceptable devant Dieu » ? Non, ce n’est pas ce qu’Il a dit. Nous lisons Sa réponse dans l’Évangile de Jean :

« Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité » (Jean 4 :23-24).

C’est notre objectif aujourd’hui – nous permettre de comprendre comment adorer Dieu non seulement sincèrement, mais dans l’esprit et l’intention selon la vérité… car la vérité est très importante.

Alors, regardons la question avec des yeux honnêtes : la fête de Noël est-elle païenne ?

Si nous répondons à cette question en nous basant sur les origines de cette fête, alors la réponse est clairement affirmative. Parce que les origines de Noël en tant que fête – son calendrier, ses traditions, ses pratiques anciennes – sont clairement païennes.

Maintenant, qu’est-ce que cela signifie d’être « païen » ? Après tout, le mot est utilisé un peu négligemment de nos jours – en fait, il y a un mouvement croissant de « néopaganisme » aujourd’hui, que nous avons couvert en détail dans la revue du Monde de Demain.

Assurons-nous donc d’être clairs. Selon la définition du dictionnaire, « païen » signifie « de, relatif à, ou ayant les caractéristiques des païens » – qui, nous dit-on, sont des « adeptes d’une religion polythéiste (comme dans la Rome antique) ».

Le paganisme représente essentiellement les religions et les pratiques cultuelles qui ont leurs origines en dehors des religions traditionnellement associées au patriarche Abraham : le christianisme, le judaïsme et l’islam.

Et si telle est la définition du terme « païen », il ne fait aucun doute que la fête de Noël et la plupart de ses traditions trouvent leur origine dans des coutumes et des traditions cultuelles païennes, dont beaucoup sont antérieures au christianisme de plusieurs siècles ou millénaires.

Le gui est associé aux rituels de fertilité romains et à Frigg, la déesse nordique de l’amour et de la luxure. La date de Noël ne correspond pas à la naissance de Jésus – qui a probablement eu lieu à l’automne – mais à l’observation des Saturnales romaines païennes et au culte du Soleil. Comme le note l’encyclopédie Britannica :

« Au 3ème siècle, l’Empire romain, qui n’avait alors pas adopté le christianisme, célébrait la renaissance du soleil invaincu (Sol Invictus) le 25 décembre. Cette fête ne marquait pas seulement le retour de jours plus longs après le solstice d’hiver, mais suivait également la fête populaire romaine appelée les Saturnales (au cours de laquelle les gens festoyaient et s’échangeaient des cadeaux). C’était aussi l’anniversaire de la divinité indo-européenne Mithra, un dieu de la lumière et de la loyauté dont le culte était à l’époque de plus en plus populaire parmi les soldats romains » (“Pourquoi Noël est-il en décembre ?”, Britannica.com).

L’arbre de Noël, lui aussi, est une tradition qui a un ancien précédent païen. En fait, nous pouvons voir ce précédent condamné dans les Écritures. Lisez le passage suivant, dans Jérémie 10, en pensant aux traditions de l’arbre de Noël :

« Ainsi parle l’Éternel : N’imitez pas la voie des nations, et ne craignez pas les signes du ciel, parce que les nations les craignent. Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont comme une colonne massive, et ils ne parlent point ; on les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien » (Jérémie 10 :2-5).

La liste de ces anciennes origines païennes des diverses pratiques de Noël est longue et claire. En fait, de nombreux ministres chrétiens bien connus de dénominations conservatrices, admettent volontiers que l’origine païenne de bon nombre de traditions de Noël parmi les plus courantes et les plus honorées est un fait historique. Toute ressource historique de renom confirmera ce fait.

Prenons par exemple ce bref résumé tiré d’une source « chrétienne » très respectée, le manuel sur l’Histoire du christianisme d’Eerdman :

« L’Église chrétienne a adopté de nombreuses idées et représentations païennes. Par exemple, l’adoration du soleil est devenue la célébration de la naissance du Christ le 25 décembre, l’anniversaire de la naissance du soleil. Les Saturnales, la fête romaine hivernale du 17-21 décembre, ont apporté les réjouissances, les échanges de cadeaux et les bougies caractérisant plus tard les fêtes de Noël […]  Certaines coutumes païennes furent christianisées par la suite, comme l’utilisation de bougies, d’encens et de guirlandes, mais elles furent d’abord évitées par l’Église à cause de leur symbolisme païen » (Eerdmans’ Handbook to the History of Christianity, 1977, pages 131-132).

Dans son célèbre ouvrage intitulé Un dictionnaire classique, l’érudit John Lemprière a résumé certaines des pratiques anciennes et préchrétiennes de la fête païenne des Saturnales :

« La célébration était remarquable pour la liberté qui y régnait généralement. Les esclaves avaient le droit de ridiculiser leurs maîtres […] Il était habituel pour les amis de s’échanger des cadeaux, toute animosité cessait, aucun criminel n’était exécuté, les écoles étaient fermées, la guerre n’était jamais déclarée, mais tout était allégresse, tapage et débauche » (A Classical Dictionnary).

Si nous sommes honnêtes, nous admettrons sûrement que tout cela nous semble TRÈS familier.

Noël, ses traditions et ses coutumes sont profondément ancrées dans des origines païennes. Historiquement, oui, Noël est une fête païenne. Mais l’est-elle vraiment ?

Beaucoup affirment que les activités, les célébrations, les traditions et les symboles païens ont, en un sens, été « validés » par le christianisme. Ils se disent : « Les branches de houx et ses baies rouges avaient autrefois des significations païennes, c’est vrai, mais peut-être peuvent-elles être désormais utilisées pour symboliser la couronne d’épines du Christ et la couleur du sang qu’Il a versé pour nos péchés. »

La vraie réponse est peut-être que Noël était une fête païenne, mais qu’elle ne l’est plus. Les gens peuvent certainement être baptisés et voir leur vie transformée.

Adorer Dieu comme Il le demande

Les pécheurs peuvent se repentir et changer – les anciennes pratiques ou traditions païennes ne peuvent-elles pas être en quelque sorte “validées” et observées ? Après tout, ceux qui célèbrent Noël ne croient pas qu’ils adorent le dieu Soleil, Saturne, Mithra, Baal, Frigg ou tout autre dieu païen. Ils essaient souvent d’adorer sincèrement Dieu et Jésus tels qu’ils les comprennent. Les origines païennes de Noël ont-elles vraiment de l’importance ?

La réponse est simple : si nous désirons adorer Dieu et Jésus-Christ d’une manière qui leur soit agréable, et pas seulement agréable pour nous, alors oui, cela compte beaucoup.

Encore une fois, il ne s’agit pas d’une question d’opinion ou de sentiments. C’est une question de vérité. Et si nous voulons connaître la vérité sur la façon dont Dieu le Père et Jésus-Christ considèrent ces choses, alors nous devons consulter la Bible qu’Ils nous ont donnée pour nous aider à apprendre à penser comme eux.

Et lorsque nous consultons les Écritures, la réponse est absolument claire.

Par exemple, en ce qui concerne les peuples païens et les traditions et coutumes païennes, Dieu a ordonné très clairement à l’ancien Israël : « Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même… Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Éternel… » (Deutéronome 12 :30-31).

C’est crucial. Remarquez, la Bible ne dit pas seulement : « N’adorez pas les idoles » ou « N’adorez pas les dieux étrangers ». Elle dit : « Tu n’adoreras pas l’Éternel, ton Dieu, de cette manière… » ! Dieu dit clairement qu’Il ne veut pas que Ses disciples L’adorent de façon païenne ! Cela ne fait aucune différence si nous disons que nous n’adorons pas Mithra, Saturne, le Soleil ou qui que ce soit – Dieu nous dit clairement : « Ne m’adorez pas en utilisant des traditions païennes ! » 

Nous avons vu un commandement très similaire lorsque nous avons lu Jérémie 10 :21, où Dieu a clairement dit : « N’imitez pas la voie des nations [ou Gentils]… ». Et par « Gentils », Dieu entend ici les nations ou les peuples qui ne font pas partie de la nation d’Israël.

Les commandements de la Bible ne laissent tout simplement aucune place pour conclure que Dieu accepte un culte utilisant des coutumes païennes – même si cela s’adresse à Lui.

Certains pourraient soutenir qu’il s’agit là de l’Ancien Testament, et que Jésus est venu pour changer tout cela.

Pourtant, une fois de plus, si nous nous référons à Ses enseignements réels – écrits pour toujours dans la Bible – nous constatons que ce n’est pas ainsi qu’Il considère les choses.

En fait, Jésus aborde ce même scénario avec Ses disciples et les dirigeants juifs de Son époque. Dans l’Évangile de Marc, Jésus contesta les traditions non bibliques des pharisiens du premier siècle. Ils prétendaient servir Dieu avec leurs propres traditions humaines, mais Jésus leur révéla que leurs traditions religieuses annulent en fait les commandements de Dieu et doivent être réprouvées.

« Jésus leur répondit : Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé sur vous, ainsi qu’il est écrit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est éloigné de moi. C’est en vain qu’ils m’honorent, en donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes. Il leur dit encore : Vous rejetez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Marc 7 :6-9).

Pour observer Noël, il vous faut renoncer au commandement de Dieu, qui stipule clairement qu’Il ne veut pas être adoré selon des coutumes païennes, pour vous accrocher à votre tradition. Vous auriez à rejeter ce commandement de Dieu si vous observez cette tradition. Et Jésus-Christ, le Fils de Dieu et le fondateur même du christianisme, condamne cela de manière catégorique.

Je ne peux pas parler à votre place, mais l’idée que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, me traite d’hypocrite me fait froid dans le dos. Il y a près de 2000 ans, Jésus a condamné ceux qui osaient L’appeler « Seigneur » tout en ignorant Ses commandements, en demandant : « Pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (Luc 6 :46).

Les preuves sont claires :

  • Noël est une fête païenne.
  • Dieu ne veut pas être adoré à l’aide de traditions païennes.
  • Jésus-Christ qualifie d’hypocrites ceux qui ignorent les commandements de Dieu pour observer d’autres traditions.

La réponse à notre question initiale étant donnée, la question suivante est claire : que faisons-nous à présent ?

Un choix difficile : choisir le Christ plutôt que Noël

Il nous reste peu de temps dans l’émission d’aujourd’hui, mais permettez-moi de prendre un moment pour dire que pour ceux dont le cœur est prêt à suivre Dieu là où Lui et Sa parole nous conduisent, marcher dans Ses voies et obéir à Ses commandements ne nous mènera jamais au pire résultat. Au contraire, cela nous mènera vers le meilleur.

Par exemple, je connais des milliers de personnes de par le monde, qui ont abandonné Noël et qui ont adopté, à la place, les Jours saints révélés dans la Bible – conçus par Dieu et consignés dans Sa parole comme étant des Jours sanctifiés par Lui pour le culte, la louange et l’instruction.

Ces personnes – les membres de l’Église du Dieu Vivant laquelle réalise ces émissions du Monde de Demain – vous diraient aussi clairement que je le peux maintenant d’ici dans ce studio : en tant que chrétiens et disciples de Jésus-Christ, ils n’échangeraient pas l’observation des Jours saints bibliques contre celle de Noël pour tout l’or du monde.

Abandonner Noël ne signifie pas renoncer à la joie, au plaisir, à l’exaltation et à la convivialité. C’est plutôt le contraire. Lorsque l’on se détourne de traditions et de coutumes vainement attrayantes qui contredisent fondamentalement la Bible pour suivre Jésus-Christ – le vrai Jésus-Christ – nous avons l’opportunité de découvrir exactement ce que Jésus voulait dire lorsqu’Il parla à la Samaritaine près du puits, il y a près de 2000 ans, et qu’Il parlait d’adorer Dieu en esprit et en vérité.


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Chaque année nous voyons le même décor : des sapins décorés, des couronnes de houx ou de gui, ainsi que des lumières multicolores. Parfois, nous voyons aussi une petite crèche avec un petit enfant qui reçoit des présents en abondance. Cependant, de nos jours, il existe une surenchère entre de nombreux adultes qui s’endettent pour essayer d’offrir le dernier cadeau à la mode à leurs enfants, aux membres de leur famille et à leurs amis.

Jésus voulait-Il que Ses disciples fassent cela ? Quel est le lien entre ces traditions et la naissance de Jésus-Christ ? Les gens disent souvent qu’il faut « replacer le Christ au centre de Noël » – mais a-t-Il jamais été au centre de cette célébration ? D’où viennent toutes ces traditions ? La réponse pourrait bien vous surprendre !

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