Les mensonges désastreux de l’Évolution

Les mensonges désastreux de l’Évolution

La théorie de l’évolution apporte avec elle une vision du monde rempli de faussetés, elle a un impact puissant sur notre société et nos vies. Vous devez savoir de quoi il s’agit. Rejoignez-nous dans cet épisode du Monde de Demain, où nous explorerons les mensonges désastreux de l’évolution.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

La théorie de l’évolution prétend que la vie, dans toute son étonnante et belle variété, n’a besoin ni de Dieu, ni de Créateur, ni de Concepteur. Il suffit de partir d’un simple micro-organisme (sans tenir compte de son origine !) et, sur une période de 3 à 4 milliards d’années, un hasard aveugle et des forces naturelles désintéressées sont censés le transformer en tous les êtres vivants que nous voyons autour de nous, y compris l’homme. Pas besoin de Dieu.

Nombreux sont ceux qui croient à l’histoire de l’évolution. Nombreux sont ceux qui n’y croient pas. Et nombreux sont ceux qui pensent que cela importe peu. Qui se soucie de savoir comment la vie, puis l’humanité sont apparues ? Quelle différence cela fait-il ?

Pourtant, cela fait toute la différence du monde. L'évolution apporte avec elle une vision du monde rempli de faussetés, elle a un impact puissant sur notre société et nos vies. Vous devez savoir de quoi il s'agit.

Rejoignez-nous dans cet épisode du Monde de Demain, où nous explorerons les mensonges désastreux de l’évolution.

Salutations de la part de tous les membres du Monde de Demain et de notre sponsor, l’Église du Dieu Vivant.

Aujourd’hui, nous allons discuter de la façon dont la vision du monde favorisée par la croyance en l’évolution apporte avec elle trois mensonges fondamentaux et déplorables – des mensonges que vous devez rejeter, même si la société les a adoptés.

En 1859, Charles Darwin a publié son livre phare, L’origine des espèces. Dans cet ouvrage, il propose que la variété et la diversité apparemment infinies de la vie sur la planète Terre ont évolué à partir d’ancêtres communs par le biais de forces purement naturelles et non intelligentes : la sélection naturelle, basée sur la pression de la survie et de la reproduction, agissant sur des variations génétiques aléatoires et non planifiées.

L’hypothèse est, qu’à partir d’un simple organisme de type bactérien, il y a plus de trois milliards d’années, des changements génétiques accumulés au hasard et sans but, sous l’effet de pressions naturelles dénuées du moindre esprit, génération après génération, ont littéralement créé toute la vie sur Terre, dans toute sa splendeur et sa variété impressionnante, y compris l’humanité.

Selon cette théorie, il n’est pas nécessaire d’avoir un Dieu, un Créateur ou un Concepteur quelconque, mais seulement du temps et des forces naturelles sans but, sans intelligence et dépourvues d’objectifs.

Bien entendu, cela contraste fortement avec le livre de la Genèse, il affirme très clairement dans son tout premier verset : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1 :1). Il poursuit en racontant comment les origines de la vie que nous voyons aujourd’hui ici-bas furent directement créées par Dieu en six jours.

Si vous êtes un téléspectateur de longue date, vous ne serez pas surpris d’apprendre qu’ici, au Monde de Demain, il n’y a pas de contestation possible : La Bible a raison, Charles Darwin et ses adeptes ont tort. Cela dit, l’émission d’aujourd’hui ne porte pas sur ce sujet.

Nous voulons plutôt nous pencher sur l’impact de la théorie de l’évolution. Car les croyances n’existent pas dans le vide. Elles entraînent des conséquences.

Considérez ce que Jésus dit dans Luc 6 :45 (le lien avec ce que je dis ne sera peut-être pas évident au premier abord, mais soyez indulgent avec moi) : « L’homme bon tire de bonnes choses du bon trésor de son cœur, et le méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor ; car c’est de l’abondance du cœur que la bouche parle. »

Nos croyances ne restent pas cachées dans notre intérieur. Elles se manifestent à travers nos choix, nos paroles, nos actions… et elles ont un impact sur le monde que nous façonnons autour de nous – en tant qu’individus et, collectivement, en tant que société. Nous ne pouvons pas accepter un ensemble de croyances sans en subir les conséquences.

Ainsi, pour le reste de notre émission, nous n’allons pas nous concentrer sur la question de savoir si la théorie de l’évolution est vraie ou fausse.

Nous allons plutôt examiner trois mensonges spécifiques qui ont été adoptés par la société en raison de la croyance répandue en la théorie de l’évolution de Darwin. Comme nous le verrons, ces mensonges ont eu un impact dévastateur sur la société.

Mensonge désastreux n°1 : “l’homme n’est qu’un animal parmi d’autres”

Le premier mensonge est la croyance selon laquelle « l’homme n’est qu’un animal parmi d’autres ». En d’autres termes, lorsqu’une personne accepte la théorie de l’évolution, elle considère les êtres humains comme un animal de plus dans le large spectre de la vie. Rien de spécial. Rien de noble. Juste un animal évoluant parmi d’autres sur la planète Terre.

On retrouve ce type de raisonnement dans les efforts d’organisation tels que le Nonhuman Rights Project qui cherche à obtenir pour les animaux tels que les chimpanzés et les éléphants les mêmes droits juridiques que détiennent les êtres humains. Nous le voyons dans la célèbre déclaration d’Ingrid Newkirk, l’une des cofondatrices de PETA, l’organisation de défense des droits des animaux :

« Les partisans de la libération des animaux ne distinguent pas l’animal humain, de sorte qu’il n’existe aucune base rationnelle pour affirmer qu’un être humain a des droits particuliers. Un rat est un cochon, un chien est un garçon » (Vogue, septembre 1989).

Vraiment ? « Un rat est un cochon, un chien est un garçon » ? C’est une vision de l’humanité totalement fausse et méprisable ! La parole de Dieu déclare que l’homme fut créé à l’image de Dieu Lui-même ! L’homme reflète son Créateur comme aucune autre création sur Terre ne peut le faire – avec un statut moral, la capacité de penser, de raisonner et de créer, et en possession d’une nature spirituelle qu’aucun animal ne possède !

Permettez-moi de vous demander de réfléchir : Avez-vous remarqué que notre société est de plus en plus une société dans laquelle les gens suivent les dictats de leurs propres instincts et désirs, leurs propres volontés, envies et appétits, dérobant chaque fois qu’ils peuvent s’en tirer, mentant quand cela leur convient, obtenant ce qu’ils veulent sans se préoccuper des autres ?

C’est parce que la croyance dans l’évolution entraîne des conséquences, et plus nous croyons au mensonge selon lequel l’homme n’est qu’un animal parmi d’autres, plus nous nous enfoncerons dans une société animale – gouvernée par rien d’autre que des envies et des pulsions, sans se soucier des besoins, des souffrances ou des préoccupations d’autrui.

Mensonge désastreux n°2 : “il n’y a pas de norme absolue de moralité”

Le deuxième mensonge que nous allons examiner est le suivant : « Il n’y a pas de norme absolue de moralité ». La Bible est claire : Dieu est bon (Matthieu 19 :17) ! Dieu est amour (1 Jean 4 :8) ! Et Jésus-Christ dit clairement que ceux qui veulent Le suivre doivent chercher à devenir comme Dieu. C’est ce que nous voyons dans Matthieu 5 :48 : « Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. »

Dieu a créé l’homme pour qu’il soit le reflet de Lui-même, et Il tient donc l’homme moralement responsable – responsable du bien et du mal qu’il fait, le bien reflétant le caractère, la bonté et l’amour de Dieu, et le mal étant ce qui va à l’encontre de ce caractère, de cette bonté et de cet amour.

Il nous aide à voir cette norme absolue dans Ses Dix Commandements – en condamnant le meurtre, par exemple, en ordonnant au mari et à l’épouse d’être fidèles l’un envers l’autre, en nous disant de respecter la propriété de chacun et en nous ordonnant d’être honnêtes et de ne pas mentir.

Le caractère parfait du Dieu éternel représente une norme absolue de ce qui est moralement bon, juste et digne de louange. Pourtant, comme beaucoup l’ont noté, lorsqu’une vision matérialiste du monde est poussée jusqu’à ses conclusions ultimes, elle nous dit qu’il n’y a pas de norme de moralité divine, objective et absolue.

L’évolution est, à la base, un concept sans cœur et sans pitié. La vie progresse lorsque les forts dominent les faibles. Transmettre ses gènes est le seul objectif, quelles que soient la douleur, la souffrance ou la mort qui peuvent en résulter. Aucun code moral ne régit ce processus : il n’y a que la survie ou l’extinction.

Dans son livre révolutionnaire Le Gène égoïste, le célèbre évolutionniste Richard Dawkins fait une observation importante et honnête. Il écrit :

« Je pense personnellement qu’une société humaine fondée simplement sur la loi génétique de l’égoïsme universel sans pitié serait une société dans laquelle la vie serait insupportable. Malheureusement, ce n’est pas parce que nous déplorons une chose qu’elle cesse d’être vraie » (Le Gène égoïste, Richard Dawkins, éditions Odile Jacob, 1990, p. 19, traduction Laura Ovion).

Dawkins a le mérite d’affirmer que le fait de reconnaître la nature implacable et impitoyable de l’évolution nous permet de résister à nos penchants pour rechercher ce qu’il appelle « un bien commun ». Pourtant, en dehors d’un Dieu éternel, comment définir le « bien commun » et pourquoi devrions-nous nous en préoccuper ?

Dans un monde où l’humanité a censément évolué par l’action aveugle de molécules et de substances chimiques, il n’y a pas de source de « loi morale » supérieure dont il faille se préoccuper. Le lion n’est pas coupable de meurtre lorsqu’il tue et dévore le zèbre. Le cobra n’est pas coupable de vol ou d’infanticide lorsqu’il gobe des œufs dans un nid. Dans son livre L’alternative humaniste, le philosophe et humaniste laïque Paul Kurtz note que :

« Si l’homme est un produit de l’évolution, une espèce parmi d’autres, dans un Univers sans but, alors l’option de l’homme est de vivre pour lui-même » (Paul Kurtz, The Humanist Alternative,1973, p. 179).

Par exemple, il n’y a rien dans le concept d’« évolution » qui permet de condamner l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale, ou de dénoncer un violeur en série ou un pédophile. Si les nazis se sont comportés comme des lions humains et que leurs victimes étaient l’équivalent de zèbres humains, l’évolution n’a rien à dire à ce sujet. Dans le cadre de l’évolution, il n’y a rien d’immoral dans le viol, l’esclavage, voire le meurtre. Tout devient une question de liberté d’action en toute impunité, sans qu’aucune puissance supérieure ne puisse nous demander des comptes.

Mais est-ce vrai ? Pensons-nous que l’Holocauste, les nombreux massacres de Joseph Staline ou la boucherie du génocide rwandais n’étaient rien d’autre qu’objectivement mauvais ? Le viol, le meurtre ou la torture d’innocents sont-ils autre chose que des actes objectivement mauvais ?

À présent, regardez autour de vous et posez-vous la question : Vivons-nous dans un monde qui semble de plus en plus juste, droit et bon, ou semble-t-il moralement et éthiquement être à la dérive, dans la confusion et le désarroi ? Vivons-nous de plus en plus dans un monde qui embrasse la même règle du bien et du mal, ou vivons-nous de plus en plus dans un monde où les forts et les puissants établissent des règles qu’ils ne suivent pas eux-mêmes – comme la « société très désagréable » de Richard Dawkins, dans laquelle chacun est libre de faire tout ce qu’il peut faire impunément ?

Lorsque la théorie de l’évolution chuchote à la société qu’« il n’y a pas de norme absolue de moralité », les signes tout autour de nous semblent suggérer que la société est à l’écoute.

Pourtant, le troisième mensonge de l’évolution pourrait, à sa manière, être le plus désastreux d’entre tous.

Mensonge désastreux n°3 : “la vie n’a pas de but, ni de sens”

Le troisième mensonge est profond dans sa portée et dans ses conséquences. Il consiste à dire que « la vie n’a pas de but, ni de sens ». Vous êtes-vous déjà posé la question, pourquoi êtes-vous né ? Pourquoi chacun d’entre nous est-il né ? Quelle est notre raison d’être en vie ? Pourquoi l’humanité existe-t-elle ? Pourquoi est-ce que j’existe ? Quelle est votre raison d’être et quel est le sens de votre vie ?

Même si nous ne l’exprimons jamais par des mots, il y a quelque chose en nous, en tant qu’êtres humains, qui nous oblige presque à chercher un sens et un but. Même le célèbre roi David d’Israël le fit. Nous le voyons poser cette question dans le Psaume 8 :5 : « Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? »

Nous avons besoin de savoir que notre vie a un sens. Nous avons besoin d’un but. Nous avons besoin de savoir que notre vie a une valeur et une signification, et nous souffrons lorsque nous pensons que nous n’en avons pas.

Lorsque nous traversons des épreuves ou des périodes difficiles, nous avons besoin de savoir qu’il y a un but derrière tout cela – que nous ne traversons pas ces difficultés pour rien et que notre vie et nos expériences signifient vraiment quelque chose dans l’ensemble !

Le but et le sens enrichissent notre vie, nous donnent de l’espoir, et nous dotent de ce dont nous avons besoin pour surmonter les inévitables épreuves et périodes de souffrance qui surviennent dans notre vie. Viktor Frankl, le célèbre psychiatre et survivant de l’Holocauste, a écrit dans son ouvrage classique, Découvrir un sens à sa vie :

« Ce dont un être humain a besoin, ce n’est pas de vivre sans tension, mais bien de tendre vers un but valable, de réaliser une mission librement choisie. Il a besoin, non de se libérer de sa tension, mais plutôt de se sentir appelé d’accomplir quelque chose » (Découvrir un sens à la vie, “La noodynamique”, Victor Frankl, éditions de l’Homme, traduction Clifford Bacon et Louise Drolet).

Frankl avait appris, par une dure expérience, que le sens et le but sont quelque chose d’essentiel dans notre constitution et notre composition.

Pourtant, l’évolution affirme qu’il n’y a pas de but réel ou transcendant à l’existence. La vie serait un accident dénué de sens – et même la vie humaine ne serait que le résultat final d’une longue chaîne d’accidents. La vie et l’homme ne seraient pas le résultat d’une planification ou d’une intention, selon l’évolution, mais plutôt de la façon dont les molécules se sont assemblées par hasard. Dans un autre Univers, ces molécules pourraient s’assembler différemment, voire ne pas s’assembler du tout. Le hasard règne dans l’évolution – un hasard sans but, sans esprit, filtré par la mort et la souffrance dans une lutte insensée pour la survie dans un Univers qui s’en moque.

Bien sûr, de nombreux athées et évolutionnistes vous diront que cela signifie simplement que vous êtes libre de déterminer le sens de votre vie !

Peut-être s’agit-il de planter des fleurs, d’étudier la littérature, de nourrir les sans-abris ou de prouver que les ovnis sont réels – c’est à vous de choisir !

Mais cela ne fonctionne pas, n’est-ce pas ? Nous ne voulons pas imaginer un but ou un sens à notre vie. Nous voulons savoir qu’il existe un sens réel, objectif et transcendant ! La vie est trop dure, trop cruelle pour que nous nous contentions de fantasmes.

Lorsque nous lui demandons quel est le but de la vie humaine, de notre propre vie, l’évolution nous répond clairement : Il n’y en a pas. L’évolutionniste George Gaylord Simpson a écrit dans son livre Le sens de l’évolution :

« L’homme est le résultat d’un processus naturel dénué d’objectif, sans intérêt pour lui-même. Il n’était pas planifié » (The Meaning of Evolution, George Gaylord Simpson, édition révisée, Yale University Press, 1967, p. 345).

De même, dans son livre Le fleuve de la vie, Richard Dawkins note :

« Dans un Univers où les acteurs sont des forces physiques aveugles et la réplication génétique, certains vont souffrir, d’autres auront de la chance, et il n’y aura ni rime ni raison à cela, ni aucune justice. L’Univers que nous observons a exactement les propriétés auxquelles on peut s’attendre s’il n’y a, à l’origine, ni plan, ni finalité, ni mal, ni bien, rien que de l’indifférence aveugle et sans pitié » (Le fleuve de la vie, Richard Dawkins, éditions Hachette, p. 150, traduction Lê Thiên-Nga).

En fait, Dawkins l’a dit encore plus crûment dans une interview pour le magazine Omni : « Vous ne servez à rien. Vous êtes ici pour répliquer vos gènes égoïstes. Il n’y a pas de but supérieur à la vie » (Thomas Bass, “Interview with Richard Dawkins”, Omni, janvier 1990, p. 60).

Mes amis, cette vision du monde entraîne des conséquences. Dans quelle mesure le chaos sociétal auquel nous avons assisté au cours de la dernière décennie a-t-il été le résultat des idées telles que nous n’avons pas de but commun et transcendant – qui nous a été donné par notre Créateur éternel ?

Combien de personnes, à l’heure où je vous parle, font des choix pour leur vie, qui affectent leur esprit et leur corps ? Combien s’appuient sur le concept que leur existence est dénuée de sens ? Qu’il n’y a pas de but ultime à leur vie ?

L’absence de sens et l’absence de but fait qu’il n’y a pas d’espoir ! Faut-il s’étonner que nos enfants, à qui l’on a enseigné de la première à la dernière année d’école à croire en la théorie de l’évolution, semblent de plus en plus perdus, sans espoir, incapables de trouver un sens à leur vie dans ce monde ?

N’y a-t-il rien d’autre dans la vie que de manger, de survivre et d’exister dans un monde où nos vies n’ont aucun sens ? Absolument pas ! Le mensonge selon lequel nous ne sommes rien d’autre que des sacs de viande et de substances chimiques attendant simplement notre heure jusqu’à ce que nous expirions et retournions à la poussière est un mensonge satanique ! La vie a un but et un sens ! Nous ne sommes Pas obligés d’accepter les mensonges de l’évolution.

Des vérités pleines d’espoir

Avant de conclure, je dois faire une remarque : ce n’est pas parce que nous n’aimons pas des conclusions qu’elles sont fausses. Par exemple, nous pouvons ne pas aimer ce que l’évolution implique – que l’homme est un animal, ou qu’il n’y a pas de moralité objective ou de but à la vie. Mais le fait que nous n’aimions pas ces conclusions ne suffit pas à affirmer que l’évolution est fausse. Ce qui est vrai ou faux n’est pas déterminé par ce que nous tenons pour être vrai ou faux.

Mais le fait est que l’évolution n’est pas vraie. La vie n’a pas évolué à partir d’une créature ressemblant à une bactérie il y a plus de trois milliards d’années, quel que soit le nombre de scientifiques qui vous disent le contraire dans des émissions de vulgarisation scientifique et quel que soit le nombre d’enseignants ou de professeurs qui le disent dans leurs salles de cours. Si vous voulez comprendre ce que ces soi-disant experts admettent rarement, il vous faut l’offre gratuite d’aujourd’hui traitant de l’évolution et de la création.

Parce que l’évolution n’est pas vraie, que Dieu est très réel, et que vous et moi sommes bien Ses créations – fabriquées par Ses propres mains selon Son bon plaisir – alors chaque mensonge raconté par l’évolution est remplacé par son exact opposé et transformé en une proclamation d’espoir !

  • L’homme n’est pas un animal comme les autres, mais il est créé à l’image même de son Créateur – le summum de l’œuvre créatrice de Dieu !
  • Une moralité objective est à l’œuvre dans le monde, avec un vrai bien et un vrai mal. Le bien et le mal ne sont pas déterminés uniquement par les caprices des forts et des puissants.
  • La vie a un sens et un but ! Il y a de l’espoir dans nos souffrances et nos luttes, parce que notre Créateur nous a créés avec un plan et un but que nous devons accomplir dans notre vie !

La plénitude de ce plan et de ce but est trop grande pour que nous puissions en parler en détail ici dans les derniers instants qui nous restent, mais je vous encourage à consulter notre site Internet sur MondeDemain.org. Vous y trouverez une mine d’informations gratuites à votre disposition. En fait, je peux difficilement imaginer une meilleure façon de commencer à apprendre. Rendez-vous sur notre site Internet et recherchez « but de la vie » dans le champ de recherche !

Pour l’heure, permettez-moi de laisser l’apôtre Paul commenter cette finalité transcendante. Dans Romains 8, il parle de notre but et de l’espoir que ce but nous donne, même dans les moments d’épreuve et de souffrance :

« J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité – non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise – avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu » (versets 18-21).

Une existence éternelle dans la Famille de Dieu, apportant la liberté à toute la création – juste une facette du magnifique but de la vie – votre vie – qui peut être apprise, comprise et embrassée par ceux qui sont prêts à appréhender, à comprendre et à accepter la vérité.

Ce but ne peut être découvert par la logique ou la science humaines, mais il est révélé par Dieu dans les Écritures. L’évolution apporte des mensonges qui ne font que l’obscurcir. Ce but donne un sens à la vie, dans ses bons comme dans ses mauvais jours.

Ce que Dieu nous offre à tous par l’intermédiaire de Son Fils Jésus-Christ dépasse presque l’entendement, même l’espoir qu’il procure dépasse presque l’imagination. Mais il n’est accessible qu’à ceux qui peuvent regarder au-delà des mensonges tissés par le mythe de l’évolution et fixer leur esprit sur la vérité. Pour eux, comme l’a dit le Christ, il y a près de 2 000 ans : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira » (Jean 8 :32).


Offre de la semaine

Évolution ou création: la dimension manquante

La vie a-t-elle évolué par le biais de forces aveugles de la nature ? L’Univers entier a-t-il été créé il y a 6000 ans ? Quelle est la dimension manquante de ces deux théories ?

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