Qui décide de ce qui est bien ou mal? | Le Monde de Demain

Qui décide de ce qui est bien ou mal?

Qui décide de ce qui est bien ou mal?

Les changements sociaux, l’intolérance, la justice sociale, les accusations, le parti pris des médias, les projets sociaux… La réponse à une seule question résoudrait la plupart de toutes ces problématiques : qui détermine le bien et le mal ? Dans cette vidéo du Monde de Demain, nous allons examiner ensemble la réponse présente dans la Bible et nous allons voir quelles sont les conséquences pour ceux qui décident de faire ce qui est juste à leurs propres yeux.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Des nations jadis grandes se détériorent sous nos yeux. Il semble que la moitié des gens qui nous entourent soient irrités contre l’autre moitié, et que cette dernière soit plus qu’heureuse de répondre par la colère et la haine. Les voix qui crient le plus fort pour la tolérance se trouvent être parmi les plus Intolérantes de toutes. Mais par-dessus tout, les normes sociales et les valeurs fondamentales, en place depuis des siècles – voire des millénaires, sont en train d’être renversées. Ce qui était autrefois vertueux est aujourd’hui ridiculisé et considéré, au mieux, comme hors de propos et, au pire, comme carrément mauvais, tandis que ce qui était autrefois considéré comme pervers ou moralement mauvais est aujourd’hui acclamé et encouragé.

Le monde est sens dessus dessous. Et bien que cela surprenne la plupart des gens, cette confusion trouve son origine dans l’incapacité croissante de l’humanité à répondre à une question simple : Qui décide de ce qui est bien ou mal ? 

C’est un privilège de discuter avec vous du sujet de cette semaine, car c’est vraiment la seule question autour de laquelle tourne le monde entier aujourd’hui : Qui décide de ce qui est bien ou mal ?

La moralité est-elle une invention humaine ?

Aujourd’hui, nous examinerons trois réponses terribles mais courantes à notre question, et nous parlerons de la seule vraie réponse qui puisse exister. Vous avez sûrement remarqué : Nous vivons dans un monde de confusion morale.

Comprenez-moi bien : je ne suis PAS en train de dire que nous vivons dans un monde où il n’y a pas de « morale » d’aucune sorte. Bien au contraire, le monde semble rempli de « guerriers de la morale », prêts à vous fustiger pour votre manque de moralité et prêts à épingler une médaille sur leur propre veste pour leur comportement exemplaire.

Des comédiens reçoivent des prix et passent la plupart de leur temps à faire la leçon aux téléspectateurs sur l’indignation morale du moment. Des politiciens cherchent à nous convaincre que tout désaccord avec les lois et les règlements qu’ils cherchent à faire passer est l’équivalent moral d’un soutien à Adolf Hitler. Et la neutralité stoïque que les générations précédentes voyaient chez leurs présentateurs de journaux télévisés est une relique du passé. Les présentateurs d’aujourd’hui sont parmi les prédicateurs les plus passionnés que l’on puisse trouver à la télévision – plus intéressés à porter un jugement qu’à transmettre les nouvelles.

Dans toute cette moralisation, quelle morale sert de base à tous ceux qui font ces déclarations moralisatrices ? Eh bien, c’est là le problème. Chacun est occupé à déterminer son PROPRE code moral – c’est-à-dire, sa propre liste de vertus et de vices. D’une certaine manière, la civilisation occidentale en est venue à refléter l’ancienne époque des Juges décrite dans la Bible. Nous y trouvons cette description faite de manière très concise : « En ce temps-là, il n’y avait point de roi en Israël. Chacun faisait ce qui lui semblait bon » (Juges 21 :25).

Exactement – tout le monde aujourd’hui fait ce qui lui semble bon.

Mais un monde dans lequel la moralité de chaque homme ne dépend que de lui-même et de son propre code d’éthique, revient à vivre dans un monde avec lequel il n’y a PAS de fondement moral du tout. Si vous avez déjà lu le livre des Juges, vous savez quel genre de monde résulte d’un tel état : un monde cruel, chaotique, dans lequel chaque homme ne pense qu’à lui.

Bien sûr, un monde cruel et chaotique à l’image de ce que nous voyons se former autour de nous – correspond de plus en plus au monde des animaux plutôt qu’à une quelconque société civilisée.

Le monde a besoin d’une réponse à la question de savoir qui décide du bien et du mal.

Consacrons donc le temps qui nous est imparti aujourd’hui à examiner certains courants – certaines sources possibles de moralité que beaucoup considèrent comme les guides dont nous avons besoin.

Peut-être devrions-nous commencer par souligner que beaucoup désignent l’évolution comme la source de la « morale » de l’humanité – mais pas de la manière dont la plupart d’entre nous pensent à la « morale ». L’évolution, telle qu’elle est expliquée par les biologistes qui souscrivent à cette théorie, ne s’intéresse qu’à la « survie du plus apte », de sorte que ceux qui affirment que la moralité humaine est simplement un produit de l’évolution disent en réalité que la moralité, le bien et le mal, n’est qu’une illusion. Ils disent que les humains ont une morale uniquement parce que l’évolution nous a génétiquement programmés pour, disons-le, être civilisés et polis les uns envers les autres.

C’est, bien sûr, absolument faux pour toute une série de raisons. Tout d’abord, la théorie de l’évolution est un conte de fées, avec peu de preuves réelles à l’appui. Nous disposons d’une abondante documentation à ce sujet sur notre site internet MondeDemain.org.

Mais même en mettant cela de côté, prenez un moment pour considérer à quel point il est ridicule de penser que la théorie brutale et sanglante de Darwin sur la « loi du plus fort » pourrait produire des nobles qualités que nous considérons comme un comportement moral – comme l’humilité, l’honnêteté et la protection des faibles.

Un athée d’une honnêteté rafraîchissante l’a fait remarquer par écrit à l’apologiste James Warner Wallace, admettant qu’il n’y a pas de lien réel entre la moralité et l’évolution. L’athée déclara, entre autres :

« Nous sommes athées […] Bien que nous reconnaissions que des concepts tels que la moralité, la politesse, la civilité semblent exister, nous savons qu’ils n’existent pas […] Ma seule directive est d’obéir à mes gènes. Manger, dormir, se reproduire, mourir. C’est notre bible […] En dehors du besoin de reproduction de mon petit gène avide, il n’y a rien dans mon monde qui m’empêche de te tuer et de me reproduire avec ta compagne. »

Cet athée poursuivit en disant :

  • « Seule la peur d’être incarcéré et d’être ainsi privé de la possibilité de faire la même chose avec la compagne de mon prochain m’arrête […] Alors soyez gentil si vous le voulez. Impliquez-vous, ayez des conversations polies, soyez un citoyen modèle. Sachez simplement que, bien que techniquement athée, vous êtes un inférieur. Vous êtes juste un peu moins évolué, c’est tout. Quand vous serez prêt à me rejoindre, faites-le-moi savoir, je serai en train de me reproduire avec votre compagne […] Il est peut-être temps que nous, les athées, soyons un peu plus honnêtes et que nous laissions les choses suivre leur cours. En tout cas, c’est ce que mes gènes me disent de dire » (“The Inevitable Consequence of an Atheistic Worldview”, ColdCaseChristianity.com, 13 juillet 2018).

Maintenant, je sais que de nombreux athées ne seraient pas d’accord avec cet individu – mais sur quelle base peuvent-ils être en désaccord ? Même si elle était vraie, l’évolution ne servirait pas de guide pour ce qui est moralement bon et juste. La survie du plus apte, du plus fort et du plus rusé, n’est pas une source de moralité. Nous devons donc chercher ailleurs.

La science et l’évolution n’ont pas d’autorité morale

Nous avons déjà vu que, même si l’évolution était vraie (et elle ne l’est pas !), il n’y a aucune raison de penser qu’un système de vertu morale naîtrait de la lutte brutale pour la survie et la reproduction.

Mais qu’en est-il de la science ? La science pourrait-elle nous aider à découvrir les lois morales du « bien » et du « mal » ?

La science a permis à l’humanité de découvrir de nombreuses lois de la nature elle-même, et une grande partie de ce que nous apprécions dans le monde moderne a été construite sur la base de ces découvertes ! Nous avons les lois de la physique et de la chimie. La science nous a permis de sonder les endroits les plus profonds de l’Univers, ainsi que le monde infime de l’atome. La science peut-elle nous révéler au-delà des lois naturelles de ce monde – ce qui est et ce qui n’est pas ? La science peut-elle nous révéler les lois morales de la vie – ce qui devrait se faire et ce qui ne devrait pas se faire ? La science peut-elle nous dire ce qui est moralement bon et mauvais – bien et mal ?

C’est ce que pense le célèbre athée et neuroscientifique Sam Harris.

Dans son livre Le paysage moral : Comment la science peut-elle déterminer les valeurs humaines, Harris affirme que les valeurs morales peuvent être découvertes par la science, sans qu’il soit nécessaire de recourir à Dieu ou à la religion :

« Le sens, les valeurs, la moralité et la bonne vie doivent se rapporter à des faits concernant le bien-être des créatures conscientes – et, dans notre cas, doivent légalement dépendre des événements du monde et des états du cerveau humain […] Je soutiens que la science peut, en principe, nous aider à comprendre ce que nous devrions vouloir faire – et, par conséquent, ce que les autres personnes devraient vouloir faire, afin de vivre la meilleure vie possible » (The Moral Landscape, Sam Harris, pages 6, 28, 2010).

Harris affirme que la science nous aide à comprendre ce qui peut aider les créatures conscientes à s’épanouir, être en bonne santé et productives – dans une certaine mesure, c’est vrai. Tout comme la science peut nous aider à fabriquer des aliments les plus sains pour nos animaux de compagnie, elle peut nous aider à examiner les effets de nos divers choix sur nos vies et celles des autres.

Mais elle ne peut pas nous dire pourquoi nous devrions nous préoccuper, ni pourquoi nous devrions nous sentir obligés de faire quoi que ce soit. La science peut explorer et examiner l’impact de mes choix sur mon prochain, mais elle ne peut pas me dire pourquoi je devrais me soucier de prime abord de mon prochain.

En fait, la science ne peut même pas me dire pourquoi je devrais plus m’occuper de mon prochain que je ne m’occupe de mon chien ou de mon chat. Pourquoi le bénéfice de l’humanité serait un « bien moral » ? Pourquoi devrais-je moralement rechercher le bénéfice de l’humanité par rapport au bénéfice de toute autre espèce – chimpanzés, zèbres ou, même des cafards ? De nombreux scientifiques, comme l’homologue athée de Harris, Richard Dawkins, ont soutenu que les humains n’ont aucune priorité ou valeur morale par rapport aux animaux, comme les grands singes.

Mais nous savons qu’il y a des différences, n’est-ce pas ? Y compris une différence morale… Certains chimpanzés tuent et mangent leurs petits, et nous sommes tous d’accord pour dire que ce serait un scandale pour un être humain de le faire. Mais pourquoi ? Qu’est-ce qui en ferait un mal ? La science ne peut pas nous le dire. Parce que la science est limitée à nous expliquer seulement les faits naturels – ce qui est et ce qui n’est pas un fait naturel – et elle ne peut pas accéder aux faits moraux à ce qui devrait et ce qui ne devrait pas se faire.

Les faits de l’Histoire relatent les terribles expériences scientifiques que le régime nazi réalisa sur des Juifs captifs au sein des camps de concentration. Pourtant, la science est impuissante à vous dire pourquoi de telles expériences constituent des abominations. Après tout, selon de nombreux scientifiques, nous ne sommes qu’une espèce animale de plus. Et si ses expériences devaient finalement profiter à l’humanité dans son ensemble, alors, hé, qui peut dire qu’ils avaient tort ?

Et c’est là le problème : la science ne peut pas nous le dire. Pourtant, heureusement, la plupart d’entre nous comprennent que ces expériences horribles étaient, en effet, condamnables, peu importe ce qu’elles auraient pu nous apprendre !

Non, la « science » n’est pas la réponse à notre question : « Qui décide de ce qui est bien ou mal ? »

Mais nous avons quand même besoin d’une réponse ! Après tout, si la science ne peut pas nous dire pourquoi les expériences des camps de concentration nazis étaient un mal, quelque chose d’autre doit sûrement le faire, car nous savons qu’elles l’étaient – tout comme nous savons que des actes tels que le viol et le meurtre sont mauvais. Alors, qui décide qu’ils sont immoraux ?

Une réponse de plus en plus courante à cette question est : la société. En d’autres termes, on nous dit que nous nous accordons, en tant que société civilisée, sur des choses telles que le viol, le meurtre, les tortures sur des êtres humains emprisonnés sont « mauvaises », et que c’est la société, en tant qu’ensemble collectif, qui détermine ce qui est bien et mal.

Le bien et le mal est-il le résultat d’un simple consensus social ?

Selon cette idée, des actes tels que le viol, le meurtre, la traite des êtres humains ou l’esclavage sont mauvais parce que la société les rejette et les déclare « immoraux ». Ils enfreignent le concept que la société se construit de ce qui est juste et bon, et donc – selon cette théorie, en tout cas – c’est la société qui les déclare mauvais et immoraux. Aux yeux de ceux qui croient en cette idée, la société devient alors l’ultime autorité morale.

Ils déclarent que la société décide collectivement que le viol est mal et que nous ne voulons pas que les gens s’entretuent, alors nous adoptons des lois pour rendre ces choses illégales et emprisonner ou exécuter ceux qui les commettent.

Tout cela semble très démocratique, n’est-ce pas ? Et, franchement, cela a un certain attrait pour notre nature humaine charnelle. Cela implique que nous ne sommes pas responsables devant un quelconque Être divin, comme Dieu – que nous ne sommes responsables que devant nous-mêmes. Et depuis la création de l’humanité, c’est ce que les humains ont recherché : la liberté de définir par eux-mêmes ce qui est bien et ce qui est mal.

Dans Genèse 2, on nous dit que Dieu a créé le premier être humain et l’a placé dans le jardin d’Éden avec des instructions très précises :

« L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2 :16-17).

Dieu dit à l’humanité ce qui était bien – ne pas manger de cet arbre – et ce qui était mal – manger de cet arbre. Mais Adam et Ève ont décidé d’ignorer les instructions de Dieu et de manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal – c’est-à-dire, de choisir de décider par eux-mêmes ce qui est bien et ce qui est mal. Depuis plusieurs milliers d’années, nous avons tous répété le choix d’Adam et Ève à notre manière, individuellement.

Le concept de la société comme décideur du bien et du mal illustre ce mode de pensée. Nous, le peuple, décidons de ce qui est bien et mal, et nous utilisons nos gouvernements pour faire respecter notre moralité collective.

Pourtant, une telle approche est pleine de contradictions et produit des conséquences vraiment horribles. Prenons par exemple les horreurs de l’esclavage dans le sud-américain d’avant la guerre civile. Nous reconnaissons aujourd’hui universellement que l’esclavage était une tache morale dans l’histoire américaine. Mais si c’est la société qui détermine ce qui est « bien » et « mal », alors l’esclavage était censé être moral dans les années 1700 et 1800 parce que la société l’approuvait, mais il est maintenant immoral parce que la société ne l’approuve pas ? C’est un non-sens total.

Considérez également la Shoah de la Seconde Guerre mondiale – l’un des plus grands génocides de l’Histoire, au cours de laquelle des millions d’êtres humains ont été exterminés systématiquement comme des animaux. L’Holocauste était-il en quelque sorte un bien moral dans l’Allemagne nazie ? Mais est-il à présent un mal abominable parce que les nazis ont perdu ? Serait-il resté un bien moral si l’Allemagne avait gagné la guerre ? La moralité change-t-elle en fonction de celui qui gagne et qui dirigera la société ?

Bien sûr que non ! L’esclavage dans le Sud des États-Unis était immoral, et l’Holocauste était un grand méfait, et peu importe que les sociétés de ces nations aient été d’accord ou non à l’époque !

Aujourd’hui encore, il existe dans le monde des sociétés qui tolèrent de contraindre les femmes et les enfants à la prostitution et à la servitude sexuelle – et pourtant elles sanctionnent moralement le viol et le meurtre.

Et pourtant, nous savons que ces sociétés ont tort ! Le viol est injuste ! Le meurtre est injuste ! Et ne pas protéger les femmes et les enfants des abus sexuels, est injuste !

Nous savons que ces choses sont vraies, sans tenir compte indépendamment de ce que les sociétés pourraient approuver dans leurs propres pays.

Le fait est que les sociétés changent au fil du temps, et même à un moment donné, les sociétés diffèrent d’une localité à l’autre. Ce qui est considéré comme « mauvais » et « immoral » par une société à un endroit ou à un moment donné peut être considéré comme « bon » et « vertueux » dans un autre.

Mais cela signifie-t-il que ce qui est moralement bon ou mauvais varie au cours du temps ou selon l’endroit où vous vous trouvez ? Le viol, le meurtre, le vol ou la torture de personnes faibles et sans défense peuvent-ils jamais être considérés comme « bon » dans n’importe quelle société et à n’importe quelle époque ? Ne devrions-nous jamais accepter l’Holocauste, les champs d’extermination des Khmers rouges ou l’esclavage d’avant la guerre de Sécession aux États-Unis comme autre chose que des crimes contre l’humanité, peu importe les décisions de leurs gouvernements ou de leurs sociétés – peu importe la façon dont notre propre société pourrait changer à l’avenir ?

Bien sûr que non. Nous ne déterminons pas les normes du « bien » et du « mal » en fonction des modes de la société. Au contraire, nous jugeons les sociétés en fonction de ces normes. Les sociétés et les cultures changent, mais ce qui est bien ou mal ne change jamais.

Par exemple, c’est ainsi que l’esclavage fut aboli dans la civilisation occidentale : Des hommes tels que William Wilberforce, au début du 19ème siècle, ont comparé les pratiques de la société aux principes moraux éternels de la Bible et ont considéré la traite des esclaves comme le terrible crime qu’il était réellement.

Non, la société n’est pas l’autorité finale de ce qui est bien ou mal. Nous allons révéler cette autorité ultime et indéniable dans un instant.

Mais d’abord, prenons un moment pour vous donner l’occasion de demander la brochure gratuite d’aujourd’hui. La plupart des gens n’ont aucune idée de la façon dont Jésus-Christ se concentra sur les Dix Commandements lors de Son ministère en nous enseignant à les observer. C’est le Christ Lui-même qui dit : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17).

Les lois divines définissent la vérité morale suprême

La seule réponse à la question « Qui décide de ce qui est bien ou mal ? », c’est le Dieu éternel de la création qui le décide ! Son caractère même est moralement pur et bon et Ses commandements reflètent ce caractère parfait !

L’apôtre Paul, parlant des commandements et de la loi divine, dit que « la loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon » (Romains 7 :12).

Les commandements de Dieu découlent de Son caractère parfait et de Sa bonté. Il nous montre ce qui est juste et bon. Comme le roi David l’a écrit dans Psaume 25 : « L’Éternel est bon et droit : C’est pourquoi il montre aux pécheurs la voie » (Psaume 25 :8).

C’est pourquoi nous avons un certain sens naturel, limité, du bien et du mal que l’on retrouve dans les cultures du monde entier… Non pas à cause de l’évolution, mais à cause de notre Créateur. Paul dit dans Romains 2 :14-15, que dans une certaine mesure, les êtres humains ont un sens naturel du bien et du mal, grâce à leur Créateur. Mais ce sentiment naturel n’est pas absolu.

Pour comprendre l’ensemble du bien et du mal, il faut avoir une relation avec notre Créateur – Lui permettre de nous instruire et laisser Jésus-Christ nous guider.

La Bible prophétise un temps où le monde entier cherchera la connaissance de Dieu, pour comprendre ce qui est bon et ce qui est mauvais. Dans Michée 4 :2, nous lisons une de ces prophéties :

« Des nations s’y rendront en foule, et diront : Venez, et montons à la montagne de l’Éternel, à la maison du Dieu de Jacob, afin qu’il nous enseigne ses voies, et que nous marchions dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, et de Jérusalem la parole de l’Éternel » (Michée 4 :2).

Ce temps viendra avec le retour de Jésus-Christ. Mais vous et moi n’avons pas besoin d’attendre jusque-là. Nous pouvons commencer à apprendre le discernement divin entre le bien et le mal et le mettre en pratique dans nos vies dès maintenant si nous laissons Dieu nous apprendre ce discernement.


Offre de la semaine

Les Dix Commandements

La société « moderne » est en conflit au sujet des Dix Commandements. Ceux-ci ont-ils été annulés par ordonnance divine, ou par l’esprit humain qui s’est tourné vers la connaissance scientifique ? Devrait-on les afficher dans les endroits publics, ou les réserver à l’Eglise ? Sont-ils une charge pour des « illuminés », ou une bénédiction pour ceux qui obéissent à Dieu ? Le roi David a dit : « Combien j’aime ta loi ! », et il a ajouté que la loi est parfaite. L’apôtre Paul qualifie les commandements de saints, justes et bons. Jésus les a respectés, magnifiés et nous ordonne d’obéir aux Dix Commandements. Mais pour la plupart des gens, les Dix Commandements demeurent une énigme, qui n’a jamais été résolue. Cette brochure explique, en détail, cette loi vivante, inexorable, qui sera bientôt le fondement du Monde de Demain, paisible, prospère et joyeux.

Commander