| Le Monde de Demain

“Ave César, ceux qui vont mourir te saluent !”



Dans les bandes dessinées d’Astérix le Gaulois, il y avait souvent des scènes où des gladiateurs, entrant dans le Colisée bondé, se présentaient devant César en disant : « Ave César, ceux qui vont mourir te saluent ! » Puis, s’en suivaient des combats qui, dans Astérix, tournaient à la dérision et en plaisanteries. Mais la réalité des véritables gladiateurs était toute autre.

La tragédie de l’avortement



Cette semaine, le Congrès américain a débattu autour d’un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque celui-ci se fait en fonction du sexe de l’enfant.

Dans de nombreux pays autour du monde, les bébés filles sont plus souvent avortés que les garçons – une pratique en hausse au États-Unis (CNN.com, 31 mai 2012). Depuis que l’avortement a été légalisé aux États-Unis en 1973, plus de 50 millions de bébés ont été avortés – entre un quart et un tiers des bébés conçus aux États-Unis sont tués dans l’utérus. À travers le monde, davantage de bébés sont avortés.

Une nouvelle option financière pour le monde ?



Alors que la situation financière se dégrade en Europe, certains politiciens estiment que l’économie américaine renaît de ses cendres. Cependant, de nombreux analystes pensent que les États-Unis ne sont pas encore sortis d’affaire.

“Une nation (sous l’Allemagne)”



L’historien en affaires économiques Niall Ferguson a récemment fait remarquer dans une interview que la seule véritable solution pour la crise financière européenne était une union fiscale totale.

Des bruits de guerre



Des tensions en Asie centrale, dans une région riche en ressources naturelles, menacent de rompre un cessez-le-feu vieux de 25 ans entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan.

Les deux nations avaient signé un traité après la guerre du Haut-Karabagh (1988-1994). Cependant, dans un acte de provocation directe, les troupes azerbaïdjanaises sont entrées en territoire arménien et elles ont tué 3 soldats en civil. Une source miliaire arménienne déclare : « Ces meurtres sont clairement une provocation, nous n’avons pas encore réagi. Je souligne : “pas encore”. »

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