Qu’est-il arrivé au christianisme du Christ? | Le Monde de Demain

Qu’est-il arrivé au christianisme du Christ?

Qu’est-il arrivé au christianisme du Christ?

Pourquoi y a-t-il autant de dénominations chrétiennes ? La réponse se trouve dans la prophétie du mont des Oliviers, dans la Bible, et aussi dans beaucoup d’autres prophéties. Lorsque les disciples du Christ Lui posèrent des questions concernant la fin du monde, Il leur donna plusieurs signes, mais quel fut le premier signe qu’Il mentionna ?

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi il y a autant de dénominations chrétiennes ? Pourquoi n’y a-t-il pas une seule Église sur laquelle tout le monde puisse s’entendre ? Un rapport de Pew Research d’avril 2017 révèle qu’il y a environ 2,3 milliards de chrétiens dans le monde. Cela représente 31% de la population de la planète Terre à notre époque. Voyons ce fait étonnant : L’encyclopédie The World Christian a identifié au moins 33.000 dénominations chrétiennes, parmi lesquelles 9000 sont classifiées comme « protestantes » et 22.000 comme « indépendantes » (Volume 1, Oxford University Press, 2001, page 10)

Pourquoi y a-t-il autant de dénominations chrétiennes ? La réponse se trouve dans la prophétie du mont des Oliviers, dans la Bible, et aussi dans beaucoup d’autres prophéties. Lorsque les disciples du Christ Lui posèrent des questions concernant la fin du monde, Il leur donna plusieurs signes, mais quel fut le premier signe qu’Il mentionna ?

« Dis-nous quand ces choses arriveront, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde. Et Jésus, répondant, leur dit : Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens. » (Matthieu 24 :3, Ostervald).

Oui, beaucoup viennent en Son nom, en qualifiant leur religion de christianisme et en disant que Jésus est le Christ, mais en même temps séduisant beaucoup de personnes. Certains imposteurs dans le monde prétendent être l’incarnation du Christ Lui-même, mais le sens principal de Sa mise en garde est d’avertir que beaucoup proclameront Jésus en tant que le Messie promis, le Christ, « l’Oint » de Dieu, tout en prêchant le contraire de Ses véritables enseignements.

Savez-vous que Jésus et l’Église du Nouveau Testament qu’Il établit n’observèrent pas le dimanche en tant que jour de culte ? Savez-vous que l’Église de Dieu originelle du premier siècle n’observait pas Noël ni le dimanche de Pâques ? Comment se fait-il qu’il y ait des différences si flagrantes entre le christianisme originel et les prétendues traditions chrétiennes de nos jours ?

Mes amis, qu’est-il arrivé au christianisme originel ? N’aimeriez-vous pas faire partie du christianisme révélé dans la Bible ? Qu’est-il arrivé au christianisme du Christ ?

Restez à l’écoute !

Le christianisme du premier siècle a-t-il disparu ?

Salutations chaleureuses à tous nos amis partout dans le monde !

Si vous viviez à Jérusalem à l’époque des apôtres du Christ, observeriez-vous Noël et le dimanche de Pâques ? Vous réuniriez-vous à l’Église le dimanche matin pour assister au culte ? Aussi choquant que cela puisse paraître, la réponse à ces deux questions est un NON catégorique ! Donc, comment expliquer que le christianisme répandu de nos jours ait autant de traditions et de doctrines que le Christ Lui-même n’a jamais enseignées ni pratiquées ? Nous répondrons à cette question dans cette émission et nous vous offrirons notre guide d’étude gratuit et inspirant, intitulé La restauration du christianisme originel. Cette brochure révèle l’histoire peu connue de l’Église chrétienne primitive et comment des conspirateurs y ont introduit des pratiques païennes et licencieuses que Jésus condamna ! Vous pouvez aussi commander un exemplaire gratuit, version papier, en cliquant sur ce lien.

Mes amis, savez-vous où se trouve la véritable Église de Dieu de nos jours ? Pouvez-vous la trouver parmi les milliers de dénominations qui se déclarent chrétiennes ? L’encyclopédie The World Christian a identifié au moins 33.000 dénominations chrétiennes, parmi lesquelles 9000 sont classifiées comme « protestantes » et 22.000 comme « indépendantes ».

Aujourd’hui, nous examinerons les pratiques, les doctrines et les traditions de l’Église originelle du Nouveau Testament. Par exemple, est-ce que les apôtres observaient les Pâques ? La célébration du dimanche de Pâques varie dans le monde. Dans certains pays, la tradition des Pâques inclut des œufs multicolores et la célèbre chasse aux œufs de Pâques. Nous savons tous que les lapins ne pondent pas des œufs, mais les parents racontent ces fables à leurs enfants de toute façon. Certains célèbrent cette journée avec de nouveaux vêtements et font une démonstration de chapeaux de Pâques créatifs.

Évidemment, il n’y avait pas de lapins ni d’œufs à la résurrection. Mais d’abord, est-ce que la résurrection a eu lieu un dimanche, comment beaucoup le prétendent ? Non ! Comment le savons-nous ? Souvenez-vous que Marie de Magdala se rendit au sépulcre du Christ le dimanche matin. Assista-t-elle à une résurrection au lever du soleil ? Voyez ce que dit la Bible :

« Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sépulcre dès le matin, comme il faisait encore obscur ; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre. Elle courut vers Simon Pierre et vers l’autre disciple que Jésus aimait, et leur dit : Ils ont enlevé du sépulcre le Seigneur, et nous ne savons où ils l’ont mis » (Jean 20 :1).

La résurrection de notre Seigneur Jésus n’a pas eu lieu un dimanche matin de Pâques, selon la Bible ! Jésus-Christ accomplit le signe qu’Il donna aux scribes et aux pharisiens pour prouver qu’Il est le Messie. Vous rendez-vous compte, mes amis, que la tradition plaçant la crucifixion un vendredi et la résurrection un dimanche matin de Pâques nie le signe même que le Christ donna dans Matthieu 12 :39, le « signe du prophète Jonas » ? Mes amis, Jésus fut ressuscité le samedi soir, peu avant le coucher du soleil, soit exactement 72 heures, ou trois jours et trois nuits, après qu’Il fut mis au sépulcre le mercredi, peu avant le coucher du soleil marquant le commencement d’un sabbat annuel. Comme l’apôtre Jean l’a rapporté :

« Dans la crainte que les corps ne restent sur la croix pendant le sabbat – car c’était la préparation, et ce jour de sabbat était un grand jour – les Juifs demandèrent à Pilate qu’on rompe les jambes aux crucifiés, et qu’on les enlève » (Jean 19 :31).

Ce « grand jour » était un sabbat annuel ou Jour saint allant, cette année-là, du mercredi au coucher du soleil au jeudi au coucher du soleil. Le Christ accomplit effectivement le signe du prophète Jonas. Mais la résurrection n’a pas eu lieu un dimanche matin pour célébrer les Pâques ! Donc, quel Jour saint les chrétiens observèrent-ils ?

Souvenez-vous des paroles de l’apôtre Paul aux frères et sœurs à Corinthe qui ne respectaient pas la sainteté de cette célébration :

« C’est bien à tort que vous vous glorifiez. Ne savez-vous pas qu’un peu de levain fait lever toute la pâte ? Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé. Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité » (1 Corinthiens 5 :6-8).

Mes amis, l’Église originelle du Nouveau Testament établie par Jésus-Christ et dirigée par Ses apôtres, formés et ordonnés par le Maître, n’a jamais observé le dimanche de Pâques. Par contre, elle observa la commémoration annuelle de la mort de notre Seigneur, la Pâque biblique chrétienne du Nouveau Testament, suivant l’exemple de Jésus-Christ Lui-même.

Le signe de Jonas

Jésus resta dans le sein de la terre, le sépulcre, pendant exactement trois jours et trois nuits, 72 heures, juste comme Il le déclara. Vous pouvez lire ce qu’est le signe du prophète Jonas dans Matthieu 12 :39-40.

Le Christ et Ses apôtres observèrent-ils le dimanche comme jour de culte ?  Nous avons déjà vu que Jésus fut ressuscité un samedi soir un peu avant le coucher du soleil, et non pas un dimanche matin. Donc, comment se fait-il que la grande majorité du prétendu monde chrétien observe le dimanche ? L’apôtre Paul enseigna-t-il aux Gentils d’éviter l’observance du sabbat juif ? Les encouragea-t-il à observer le dimanche comme le jour chrétien de culte ? Examinons ce que les Gentils observèrent en réalité, suivant l’exemple de Paul, l’apôtre des Gentils.

Prenez votre Bible et reportez-vous au livre des Actes, chapitre 13. Au 1er siècle apr. J.-C., Paul prêcha pendant le sabbat dans la synagogue d’Antioche. Notez que son auditoire comprenait à la fois des Juifs et des Gentils. Après que les Juifs s’en allèrent, les Gentils firent une demande. Cela eut lieu beaucoup d’années après la mort, l’ensevelissement et la résurrection du Christ. Certainement, si les chrétiens devraient observer le dimanche, ces Gentils se seraient réunis avec Paul le lendemain, soit le dimanche. Mais l’ont-ils fait ? « Comme ils sortaient de la synagogue des Juifs, les Gentils les prièrent de leur annoncer les mêmes choses… » (Actes 13 :42). Quand ? Le lendemain, dimanche ? Non ! « Les Gentils [pas le Juifs] les prièrent de leur annoncer les mêmes choses le sabbat suivant » (verset 42, Ostervald). Lisez cela encore une fois dans la Bible. « Les Gentils les prièrent de leur annoncer les mêmes choses le sabbat suivant », pas le dimanche ! 

Lisez cela dans la Bible. « Le sabbat suivant, presque toute la ville se rassembla pour entendre la parole de Dieu » (Actes 13 :44). Paul se réunit avec les Gentils, pas le dimanche, mais le jour du sabbat. L’Église de Dieu du Nouveau Testament observa le sabbat du septième jour. Les congrégations chrétiennes du premier et du deuxième siècle observaient invariablement le sabbat du septième jour ! Ce n’est qu’à partir du deuxième et troisième siècle que nous commençons à voir certaines congrégations observant le dimanche en tant que jour de culte. Mais ce fut plus tard, au 4ème siècle apr. J.-C. que l’empereur Constantin imposa l’observance du dimanche à travers l’Empire romain. Constantin avait grandi dans le culte païen de l’adoration du Soleil.  Il publia le décret suivant en l’an 321 : « Que tous les magistrats et le peuple se reposent [...] pendant le vénérable jour du Soleil » (Encyclopedia of Religious Knowledge, Schaff-Herzog, volume 11, page 147)

Quelques années plus tard, les dirigeants de l’Église catholique déclarèrent au Concile de Laodicée que les chrétiens « ne doivent pas judaïser et se reposer le samedi, mais travailler ce jour-là, préférant, si du moins ils le peuvent, se reposer le dimanche, en tant que chrétiens ; mais s’ils se trouvent judaïser, qu’ils soient anathèmes auprès du Christ » (La collection canonique d’Antioche, Aram Mardirossian, page 309). En d’autres termes, les véritables chrétiens qui observaient le sabbat et suivirent l’exemple de Jésus et Ses premiers apôtres furent alors qualifiés d’hérétiques !

Mais au nom de quelle autorité l’Église catholique effectua ce changement ? Le célèbre cardinal et théologien catholique James Gibbons déclara courageusement dans un livre publié en 1876 : 

« Vous pouvez lire la Bible depuis la Genèse jusqu’à l’Apocalypse, et vous ne trouverez pas une seule ligne autorisant, [ni] établissant la sanctification du dimanche. [Écoutez attentivement ce qui suit…] Les Écritures ordonnent la religieuse observance du Sabbat, jour que nous ne sanctifions jamais » (La foi de nos pères, éditions Retaux-Bray, page 107, traduction Adolphe Saurel).

En d’autres termes, Gibbons affirme que si la Bible est votre autorité, vous n’avez aucune base légale pour observer le dimanche. Les Écritures, comme il déclare, « ordonnent la religieuse observance du Sabbat ». Nous sommes d’accord avec lui sur ce point. L’êtes-vous ? Mais l’Église de Gibbons a rejeté l’autorité divine de la Bible !

Mes amis, le christianisme originel du Christ insista sur l’obéissance aux Saintes Écritures, pas sur les traditions dont beaucoup ont des origines païennes et sont contraires aux Écritures. Le célèbre historien Will Durant remarqua sur la transition du christianisme biblique originel au christianisme traditionnel que nous voyons de nos jours : « Le christianisme n’a pas détruit le paganisme ; il l’a adopté » (Histoire de la civilisation, volume 9, éditions Rencontre, pages 239-240, traduction Jacques Marty).

Que dire de la « Réforme » protestante ? Si vous souhaitez réellement découvrir pourquoi la Réforme échoua à réformer le christianisme traditionnel, je vous encourage à lire la série d’articles de Roderick Meredith sur notre site Internet MondeDemain.org : « La vérité au sujet de la Réforme protestante. » Vous serez étonné de la profondeur de cet ouvrage et des développements historiques choquants rejetant le véritable christianisme de la Bible. Vous y trouverez beaucoup de réponses à la question posée lors de cette émission : Qu’est-il arrivé au christianisme du Christ ?

Un Royaume sur la Terre !

Nous avons examiné quelques différences majeures entre le christianisme du premier siècle et le christianisme actuel corrompu qui inclut des traditions et des doctrines qui étaient défendues par le Christ. En voici quelques-unes pour résumer.

Les chrétiens originels, Juifs et Gentils, observaient la Pâque du Nouveau Testament. Aujourd’hui, le christianisme traditionnel observe le dimanche de Pâques issu du paganisme. Le christianisme originel reconnut le signe de Jésus en tant que Messie, sa déclaration qu’Il serait dans le sein de la terre (ou le sépulcre) pendant trois jours et trois nuits. Le christianisme traditionnel de nos jours nie le signe de Jésus en adoptant la fausse idée du vendredi saint au dimanche de la résurrection. Les premiers chrétiens observèrent le sabbat originel du septième jour avant que l’Église romaine imposa le dimanche en tant que jour de culte au 4ème siècle apr. J.-C.

Mes amis, vous devez étudier la Bible et l’Histoire. Souhaitez-vous suivre le Jésus-Christ de la Bible, Ses enseignements et Son mode de vie ? Il nous dit dans Matthieu 4 :4 : « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. » Jésus déclara cela avant que le Nouveau Testament soit rédigé. Il se référait à ce que nous appelons désormais l’Ancien Testament.  Eh oui, si vous voulez vivre de toute parole de Dieu, vous devez lire la Bible tout entière et y obéir, à la fois au Nouveau et à l’Ancien Testament !

Quels autres changements ont été effectués de manière trompeuse dans les pratiques du christianisme originel ? Jésus et Ses apôtres observèrent les Fêtes annuelles et les Jours saints bibliques. Mais ils n’ont pas observé le jour de la naissance de Jésus. La vaste majorité des encyclopédies réputées décrivent les célébrations païennes qui entouraient jadis la date du 25 décembre. L’une des plus grandes fêtes célébrées à travers l’Empire romain étaient les saturnales, en l’honneur de Saturne, dieu de l’agriculture. Voici ce que l’Encyclopædia Universalis nous apprend à ce sujet :

« À l’origine, la fête proprement dite ne dure qu’un jour, le 17 décembre, anniversaire du temple de Saturne. [Plus tard,] les Saturnalia dureront du 17 au 23 décembre […] Il est d’usage d’échanger invitations et petits cadeaux […] Dans la maison, les maîtres offrent aux esclaves des dapes (repas rituels : viande rôtie et vin) avant de manger eux-mêmes, à moins de partager fraternellement avec leurs serviteurs un festin ; les esclaves, naturellement, ne travaillent pas […] Les saturnales sont à l’origine des fêtes et usages de Noël et de fin d’année » (“Saturne, religion romaine”, Universalis.fr, consulté le 2 février 2021).

La plupart des érudits admettent que Jésus n’est pas né en hiver, mais au début de l’automne, en septembre ou en octobre. Mais pour quelle raison est-Il né ? Les coutumes païennes et commerciales entourant la période des fêtes hivernales ont masqué le véritable objectif du Messie.

Le but de la naissance de Jésus fut annoncé clairement à Marie, la mère de Jésus :

« L’ange lui dit : Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. Il régnera sur la maison de Jacob éternellement, et son règne n’aura point de fin. » (Luc 1 :30-33)

L’ange Gabriel déclara à Marie que Jésus serait un Roi ! Il naquit pour être à la tête d’un Royaume éternel. Environ 30 ans plus tard, Jésus commença Son ministère public. Il proclama un Évangile spécifique ! Reportez-vous dans la Bible au livre de Marc :

« Après que Jean eut été mis en prison, Jésus s’en alla en Galilée, prêchant l’évangile du royaume de Dieu, et disant :  Le temps est accompli, et le royaume de Dieu approche. Repentez-vous et croyez à l’Évangile » (Marc 1 :14-15, Ostervald).

Nous voyons ici une autre différence majeure entre le christianisme de Jésus-Christ et la plupart des contrefaçons actuelles. L’Église originelle prêcha l’Évangile du Royaume de Dieu qui dirigera la Terre pendant mille ans sous l’autorité du Roi des rois et du Seigneur des seigneurs avant le Jugement du grand trône blanc (vous trouvez cela dans Apocalypse 19 :16 ; 20 :4). Vous connaissez probablement au moins une grande dénomination affirmant qu’elle est actuellement l’incarnation du Royaume de Dieu sur la Terre. Mes amis, si vous regardez régulièrement les émissions du Monde de Demain, vous savez que le règne terrestre du Roi sur toutes les nations ne sera pas établi avant que la septième trompette retentisse :

« Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles » (Apocalypse 11 :15).

Mes amis, la plupart des gens ont oublié la bonne nouvelle prêchée par le Christ !  Il reviendra en tant que Roi pour diriger toutes les nations de la Terre ! L’ange Gabriel proclama que « son règne n’aura point de fin » (Luc 1 :33).

Le véritable christianisme originel

Dans cette émission, nous avons examiné comment des changements païens introduits au christianisme originel de Jésus-Christ produisirent la foi répandue actuelle que nous voyons dans le monde chrétien aujourd’hui. Au cours du premier siècle après la mort, l’ensevelissement et la résurrection, l’Église établie par le Christ s’accrut rapidement sous les apôtres. Mais des séducteurs et des infiltrés influencèrent plus tard les chrétiens à faire des compromis et à adopter de fausses doctrines. L’apôtre Paul avait averti l’Église à Thessalonique : « Car le mystère d’iniquité opère déjà ; attendant seulement que celui qui le retient maintenant, soit enlevé » (2 Thessaloniciens 2 :7, Ostervald). Cette même « iniquité » est enseignée de nos jours par des Églises qui veulent vous faire croire que le Christ a aboli les Dix Commandements et que nous pouvons désormais pratiquer l’iniquité puisque nous sommes sous la grâce ! Mes amis, la grâce ne vous permet pas de tuer, mentir, commettre l’adultère ou dérober ! Jésus déclara à un jeune homme riche qui voulait obtenir la vie éternelle : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17). Ensuite, Jésus mentionna plusieurs des Dix Commandements. Ceux-ci reflètent les deux grands commandements : aimer Dieu et aimer son prochain.

Voici un court extrait tiré de la brochure gratuite proposée dans cette émission :

« Dans Son sermon sur la montagne, Jésus n’a pas annulé la loi spirituelle de Dieu (Matthieu 5 :17). Au contraire, Il “amplifia” les Dix Commandements. Il expliqua qu’il est non seulement interdit de tuer quelqu’un, mais qu’il ne faut même pas le mépriser ou le haïr (versets 20-23), car ce serait aussi le tuer. Nous ne devons même pas haïr nos ennemis. Comme Jésus l’a dit : “Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent” (verset 44) » (La restauration du christianisme originel, pages 20 à 21).

Lisez cette brochure en ligne ou commandez-en un exemplaire gratuit dès aujourd’hui !

Le christianisme originel est un mode de vie basé sur l’amour. Jésus déclara : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14 :6)

Mes amis, quel sera votre choix ? Le christianisme de la Bible ou une fausse religion qui fait avancer des fêtes païennes et l’iniquité ? Vous devez chercher la vérité. Vérifiez toutes les sources que nous avons cité dans cette émission. Prouvez par vous-même, dans la Bible, ce qu’est la vérité !   


Offre de la semaine

La restauration du christianisme originel

Si Jésus revenait aujourd’hui sur Terre, reconnaîtrait-Il la religion qui a emprunté Son nom ? Certainement pas ! Les hommes ont tordu les enseignements de Jésus-Christ, de sorte que la religion qui porte Son nom ne ressemble presque plus à celle que Lui-même et les apôtres ont pratiquée.

Y a-t-il une Église qui s’efforce de vivre d’après les enseignements du véritable christianisme apostolique ? Êtes-vous capable de PROUVER ce qu’est la vérité divine ? Cette brochure vous révélera des réponses de première importance !

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