Le Vatican invité à siéger sur le mont Sion !



Le Vatican souhaite depuis longtemps contrôler Jérusalem et son attente est sur le point de toucher à sa fin. « Israël a attribué au pape un siège officiel dans la salle où le Dernier Souper a été pris selon la tradition, sur le mont Sion à Jérusalem ! » (Israel Hayom, 30 janvier 2013). Les responsables israéliens y voient une opportunité pour attirer davantage de touristes à Jérusalem (ibid.).

Les compromis



Souvent, les gens font des compromis afin de vivre en paix avec les autres. Parfois, lorsque les désaccords surviennent, toutes les personnes impliquées acceptent de céder un peu de terrain afin d’atteindre l’objectif – ou au contraire elles bloquent la situation. Malheureusement, lorsque pour y arriver nous faisons des compromis avec les valeurs morales, il en ressort souvent de la frustration et de l’échec à long terme. Cela arrive-t-il dans nos vies ? Ces principes valent-ils la peine d’être suivis comme s’ils étaient gravés dans la pierre ?

Après la renonciation du pape



Le pape Benoît XVI a surpris le monde en annonçant sa renonciation pour la fin du mois. La première renonciation papale depuis 1415 a conduit beaucoup de gens à se demander : « Que se passera-t-il ensuite ? » Est-ce une opportunité pour cette Église en difficulté ? « Sa renonciation ouvre maintenant la possibilité [de l’arrivée] d’un dirigeant catholique qui soit prêt à réformer et qui trouve des réponses à la crise de l’Église en Europe et en Amérique du Nord.

Une mer rouge-sang à Sydney



Fin novembre 2012, une « vague rouge » a conduit à la fermeture de nombreuses plages sur la côte sud-est de l’Australie. Les photos montrent une coloration rouge vif de l’eau provoquée par une algue (The Australian, 28 novembre 2012). Toutes les conditions étaient réunies près des côtes de Sydney pour favoriser cette concentration d’algues rouges.

Un nouveau pape, une ancienne prophétie



Après avoir dirigé la plus grande organisation religieuse au monde pendant près de 8 ans, le pape Benoît XVI a surpris le monde entier en annonçant sa renonciation lundi dernier. Sa démission prenant effet le 28 février 2013, un nouveau pape sera élu peu après par le conclave des cardinaux catholiques réunis au Vatican, à Rome. Les observateurs se demandent ce que ce changement inattendu signifie pour l’Église catholique et pour l’Union européenne.

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