Comment la Bible a influencé la civilisation occidentale? | Le Monde de Demain

Comment la Bible a influencé la civilisation occidentale?

Comment la Bible a influencé la civilisation occidentale?

Quelles sont les causes du déclin de la civilisation occidentale ? L’ordre, la paix, la civilité et le respect envers la loi sont en voie de disparition en Occident. Examinons les principes de gouvernement occidentaux qui trouvent leurs racines dans la Bible – et comment ces principes deviennent de plus en plus rares à mesure que nos nations s’éloignent davantage de Dieu.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

La chute d’Occident ?

À bien des égards, la civilisation occidentale semble en proie à l’agonie ! Ses institutions gouvernementales les plus respectées sont de plus en plus tournées en dérision, ses valeurs sont aujourd’hui remises en question et ses citoyens, dans certaines nations, semblent absolument déterminés à mener leur pays à la guerre civile. Dans notre société mondialisée et imbriquée, ce qui se produit en Occident aura inévitablement un impact sur le monde entier.

Comment nous sommes-nous retrouvés au bord du précipice d’un tel chaos et d’une telle autodestruction ? Pour répondre à cette question, nous devons d’abord comprendre un élément clé de la civilisation occidentale. Car vous ne pouvez pas comprendre ce qui arrive à l’Occident tant que vous ne comprenez pas l’évolution de sa relation avec la parole de Dieu, la Bible. Rejoignez-nous dès à présent au Monde de Demain pour examiner comment la Bible a influencé la civilisation occidentale.

Des principes occidentaux qui trouvent leur origine dans la Bible

Aujourd’hui, nous allons examiner ce qui se passe dans la civilisation occidentale d’un point de vue différent de celui que vous trouverez dans la plupart des analyses.

Notre émission est diffusée dans le monde entier, et les citoyens de nombreuses nations, petites et grandes, se connectent au Monde de Demain pour trouver de vraies réponses aux questions les plus importantes de la vie. Et ces temps-ci, de nombreuses personnes dans le monde entier se demandent ce qu’il advient de la civilisation occidentale. Dans certaines des démocraties et républiques qui étaient considérées comme des modèles de l’État de droit, ordonné et pacifique, des scènes de désordre, d’anarchie et de conflit sont devenues monnaie courante dans les sujets d’actualité et les émissions sur Internet. Bien sûr, il n’en a pas toujours été ainsi. Alors que de nombreuses grandes civilisations ont existé au cours de l’Histoire, c’est la civilisation occidentale qui, à bien des égards, a façonné le monde actuel dans lequel nous vivons.

Je ne dis pas cela comme un éloge universel. L’histoire de la civilisation occidentale est en effet entachée de fautes, c’est certain. Ces mêmes nations et cultures qui ont offert au monde de nombreux cadeaux dont jouissent tant de personnes aujourd’hui, ont également été des sources de conflits, d’asservissement et de guerres. De nombreuses nations qui étaient autrefois des colonies de nations occidentales peuvent constater qu’elles n’ont pas toujours bénéficié de leur association avec la culture et la civilisation occidentales. Nombre des réalisations de l’Occident ont été financées en partie par des richesses et des ressources prises d’autres nations.

Ne considérez donc pas l’émission d’aujourd’hui comme un éloge universel à la civilisation occidentale. Une seule civilisation, dans toute l’histoire passée ou future, sera irréprochable et nous mentionnerons cette civilisation à la toute fin de notre émission. Cependant, trop de gens tombent aujourd’hui dans le piège de la critique de l’Occident comme si sa culture n’avait été qu’un fléau pour le monde depuis sa naissance et sa diffusion à travers le monde.

S’il est extrêmement à la mode aujourd’hui de se montrer vertueux auprès de ses pairs éclairés en se moquant de l’Occident, c’est aussi être mal informé et, franchement, c’est ironique. Car souvent, les valeurs mêmes que les détracteurs de l’Occident appliquent dans leur critique sont des valeurs qui ont été diffusées dans le monde par la civilisation occidentale ! Au contraire, l’Occident fut, historiquement, une source de progrès dans la culture, le gouvernement civil, la science, la technologie, la production économique, les droits de l’homme et la liberté qui ont façonné le monde actuel dans lequel nous vivons.

En plus, pensez à ce que serait la musique aujourd’hui sans le génie de Bach, de Mozart, de Haendel, de Chopin ou de Beethoven. Ou imaginez un monde qui n’aurait jamais connu l’art de Michel-Ange, de Monet ou de Rembrandt.

La révolution industrielle, qui a permis de faire progresser la production en Grande-Bretagne, en Europe et aux États-Unis, contribua en fait à élever le niveau de vie de millions de personnes dans le monde entier. Les découvertes scientifiques et les innovations technologiques qui virent le jour en Occident ont transformé notre compréhension du monde et pratiquement tous les aspects de notre vie quotidienne.

Les principes de liberté personnelle, de gouvernement modéré, de droits individuels et d’État de droit, nés en Occident se retrouvent dans la Magna Carta, les articles de la Constitution américaine et l’héritage durable de la Common Law anglaise. Ces valeurs ont été une source d’inspiration pour les gouvernements et les nations du monde entier qui aspirent à la liberté et à des droits qui leur soient propres. Mais d’où viennent vraiment ces valeurs ?

Certains évoqueront l’esprit des Lumières ou le soi-disant « âge de la raison » dans l’Europe des 17e et 18e siècles. Nombreux sont ceux qui, aujourd’hui, aiment rappeler que les « pères fondateurs » de nombreuses nations occidentales étudièrent les cultures grecque et romaine, et il est certain que ces influences sont réelles. Mais elles ne suffisent pas à expliquer la croissance et l’énorme influence de l’Occident dans l’histoire mondiale.

Ce qui est souvent ignoré concernant les origines de la civilisation occidentale a trait à l’influence de la Bible. Cette collection immémoriale d’écrits des anciens Hébreux et des chrétiens du premier siècle est le seul livre sans lequel il n’y aurait pas de civilisation occidentale. Cela peut être difficile à admettre pour certains, mais c’est vrai. Connaître ce fait permet de comprendre non seulement l’Histoire de l’Occident, mais aussi son déclin actuel dans la folie.

Un système d’État de droit et d’équité

Nous avons dit qu’une influence majeure de la civilisation occidentale, peut-être plus importante que les Grecs ou les Romains de l’Antiquité, ou les idées du soi-disant siècle des Lumières, bien qu’ils aient exercé une influence, était la Bible. Nous expliquerons pourquoi cette affirmation est vraie.

Avant de le faire, je dois préciser qu’aucune partie de la civilisation occidentale ne s’est vraiment conformée à l’ensemble de la Bible, et que les portions de son ancienne sagesse que l’Occident a adoptées, il les a souvent assimilées à contrecœur. Les principales religions d’Europe qui revendiquèrent le nom de « christianisme » ont été, tout au long de leur histoire, des mélanges d’éléments bibliques et païens, ayant plus de liens avec les anciennes religions à mystères babyloniens que beaucoup de leurs prêtres, pasteurs ou prédicateurs ne voudraient l’admettre. En fait, beaucoup des puissants d’Europe et d’Occident au cours des siècles ont souvent pris les paroles de la Bible et les ont déformées pour soutenir leurs propres abominations et abus.

Pourtant, la civilisation occidentale telle que nous la connaissons n’existerait pas sans la Bible. Et quelle que soit l’imperfection avec laquelle ses enseignements ont été utilisés et malmenés, les valeurs et les principes les plus significatifs et les plus bénéfiques de la culture occidentale trouvent leur origine dans la parole inspirée de Dieu. Ces valeurs sont trop nombreuses pour être toutes mentionnées, mais examinons-en seulement un petit échantillon.

L’historien Paul Johnson fit un jour remarquer dans les pages du Wall Street Journal que le concept de « l’État de droit » dans la culture occidentale – l’idée qu’aucun être humain, aussi puissant ou riche soit-il, n’est au-dessus de la loi – était « la plus grande réalisation publique du deuxième millénaire » (“Laying Down the Law”, Wall Street Journal, 10 mars 1999).

C’est la Bible qui fournit à l’Occident sa base la plus importante pour « l’État de droit ». Par exemple, Deutéronome 17 :18-20 soulignent que les rois ne sont pas au-dessus de leur peuple et que celui-ci doit, lui aussi, obéir à la loi. Des passages tels que Lévitique 19 :15 stipulent que les riches et les pauvres doivent être traités de manière égale au regard de la loi, et Lévitique 24 :22 indique que les étrangers et les citoyens nés dans le pays doivent tous vivre selon les mêmes lois.

Et lorsque la loi est enfreinte, l’Occident a une profonde tradition de veiller à ce que la punition soit équitable et équilibrée. Cette valeur se reflète dans le chapitre 14 de la Magna Carta ou dans l’interdiction des « châtiments cruels et inhabituels » de la Déclaration des droits des États-Unis. Là encore, nous voyons l’origine de cette valeur dans la Bible et sa réglementation de la punition : « tu donneras vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, meurtrissure pour meurtrissure » (Exode 21 :23-25).

Les commentateurs d’aujourd’hui tentent de qualifier cette déclaration de cruelle, mais les historiens du droit l’ont reconnue pour ce qu’elle est réellement : Une condamnation de l’idée que les rois et les autorités peuvent imposer n’importe quelle punition, aussi cruelle soit-elle, mais qu’ils doivent au contraire garantir que la punition soit équitable et juste, en adéquation avec le crime.

Pourtant, l’influence de la Bible sur la culture occidentale va bien au-delà des fondements juridiques. Dans un monde où la vie humaine était souvent considérée comme bon marché, la Bible a enseigné aux premiers philosophes et réformateurs européens que les êtres humains avaient une dignité particulière, placée en eux par l’autorité suprême, Dieu, leur Créateur. Nous le voyons dans Genèse 1 :26-27 :

« Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme ».

Considérons également les sciences. Nombreux sont ceux qui considèrent les progrès scientifiques occidentaux et la méthode scientifique de l’expérimentation empirique comme la clé de l’ascension de l’Occident dans le monde. Pourtant, lorsque vous étudiez la vie de ceux qui ont fait ces progrès, même au début du Siècle des Lumières, c’est la croyance dans le Dieu législateur de la Bible, qui conçut le monde de Son plein gré, qui incita ces scientifiques à étudier la création et à espérer y trouver un ordre. Comme Isaac Newton, un étudiant passionné de la Bible, a écrit un jour :

« Ce très beau système solaire, de planètes et de comètes, ne pouvait procéder que du conseil et de la domination d’un être intelligent et puissant [...] Cet Être gouverne toutes choses, non pas comme l’âme du monde, mais comme le Seigneur de toutes choses » (“General Scholium”, isaac-newton.org).

Newton n’était pas le seul à le faire, et la science en Occident doit son existence à la croyance des premiers scientifiques occidentaux en un Créateur de la nature, un Dieu d’ordre et de lois, tel que décrit dans la Bible. La stabilité en Occident des mariages monogames d’un homme et d’une femme élevant ensemble des enfants a été influencée par les commandements du Nouveau Testament concernant le mariage et la famille. Ce sont les enseignements de la Bible concernant la miséricorde envers les veuves, les orphelins et les personnes dans le besoin qui ont stimulé le développement d’organisations caritatives en Occident, qui se sont transformées en orphelinats, en hôpitaux et en institutions destinées à prendre soin des personnes âgées, des affamés et des sans-abris. En réalité, l’influence de la Bible est présente dans pratiquement tous les domaines majeurs de la civilisation occidentale.

Ce qui apporte de la stabilité à une société

Mais la mode aujourd’hui est de nier le rôle de la Bible dans la culture et la pensée occidentales. Par exemple, le regretté Christopher Hitchens, célèbre pour son athéisme militant, déclara avec audace, dans le titre de l’un de ses livres les plus vendus, Dieu n’est pas grand : Comment la religion empoisonne tout.

L’auteur David Bentley Hart démolit cette allégation vaniteuse dans son livre Atheist Delusions, où il examine la civilisation occidentale et répond à la déclaration de Hitchens selon laquelle, d’une manière ou d’une autre, les croyances religieuses, comme celles de la Bible, ont en quelque sorte empoisonné « tout », en écrivant :

« Est-ce qu’il [c’est-à-dire Hitchens] entend vraiment tout ? Cela s’appliquerait-il, alors – en nous limitant aux choses chrétiennes – aux hôpitaux antiques et médiévaux, aux asiles pour lépreux, aux orphelinats, aux hospices et aux auberges ? À la règle d’or : “Aime tes ennemis” ; “Ne juge pas si tu ne veux pas être jugé” ; aux avertissements prophétiques contre l’oppression des pauvres, et aux commandements de nourrir, vêtir et réconforter ceux qui sont dans le besoin ? [...] Il n’est certainement pas possible que, si elles étaient purgées de la toxine de la foi, ces choses seraient encore meilleures qu’elles ne le sont ; sans la foi, il semble assez évident que la plupart d’entre elles n’auraient aucune existence » (Hart, David Bentley, Atheist Delusions, Yale University Press, 2009. p. 219-220).

Pourtant, l’esprit et l’attitude de Hitchens sont de plus en plus courants en Occident. Franchement, il existe depuis longtemps une tension entre la reconnaissance du fait que les bonnes valeurs occidentales trouvent leur origine dans les Écritures et le désir de fonder la société sur quelque chose d’autre que les Écritures, sur une sorte de base laïque qui peut être ouverte à toutes les croyances, sans valoriser un ensemble de croyances par rapport à un autre. En conséquence, certains considèrent que le meilleur moyen d’élargir la liberté est de couper complètement les liens entre les vraies valeurs de la culture et la Bible.

Par exemple, lors d’un débat au Congrès américain en février 2021, le représentant de la Floride Greg Steube lut un extrait de Deutéronome 22 pour défendre l’idée que les sports féminins doivent être réservés aux femmes biologiques et contre l’idée que les individus peuvent simplement choisir leur propre identité sexuelle. Le président du Conseil judiciaire, Jerry Nadler, a répondu sans ambages : « M. Steube, ce qu’une tradition religieuse attribue comme étant la volonté divine ne concerne pas ce Congrès » (“Rep. Jerry Nadler : ‘What Any Religious Tradition Ascribes as God’s Will is No Concern of This Congress,’ CNSNews.com, March 1, 2021”).

Bien sûr, cette déclaration suscita l’indignation de beaucoup de personnes aux États-Unis, et c’est compréhensible. Cependant, voulons-nous que nos gouvernements civils nous imposent leurs propres interprétations de la Bible ? D’autre part, si la volonté divine ne joue plus aucun rôle dans les valeurs et la morale que nous maintenons, alors sur quelle base ces valeurs et cette morale ont-elles une réelle autorité dans la société ? Quels seront les résultats d’une société qui tente de fonder ses valeurs sur quelque chose d’autre que l’autorité et la souveraineté de Dieu ?

Franchement, nous commençons à faire l’expérience de ces résultats aujourd’hui. Au lieu que les mariages soient compris comme le lien établi par Dieu entre un homme et une femme, ils sont maintenant traités comme de simples arrangements contractuels entre deux personnes quelconques, à faire ou à défaire à volonté, et les familles en souffrent.

En fait, même la conception divine du « sexe masculin » et du « sexe féminin » est essentiellement en train d’être proscrite dans de nombreuses juridictions occidentales, les femmes étant obligées de partager les vestiaires et les douches avec des hommes biologiques qui s’identifient comme des femmes, et les jeunes filles participant à des compétitions sportives étant écrasées par des hommes biologiques dotés d’avantages physiques qu’aucune femme ne pourra jamais égaler.

Sans la norme inflexible et transcendante de la Bible, nous sommes perdus dans une mer de chaos où l’opinion de chacun est aussi bonne que n’importe quelle autre – et nos lieux gouvernementaux et les places publiques de nos villes sont de plus en plus remplis par des voix furieuses de personnes qui sont déterminées à ce que leur opinion prime.

Quel est le résultat d’une tentative de diriger la civilisation occidentale selon les vestiges des valeurs de la Bible, mais sans reconnaître l’autorité divine de la Bible ? Un monde qui correspond de très près à celui décrit par l’apôtre Paul au jeune évangéliste Timothée :

« Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l’argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force » (2 Timothée 3 :1-5).

Si vous ne voyez pas notre monde actuel dans la description de Paul, vous êtes aveugle et vous devez oindre vos yeux.

Est-ce que le monde occidental se repentira-t-il de son rejet de la Bible ?

Alors, que peut faire la civilisation occidentale ? Dans une société et une économie globales, ce qui impacte l’Occident impacte le monde entier. Comment l’Occident peut-il inverser la tendance et s’extraire du seuil de l’autodestruction ? Comme mon bon ami Dexter Wakefield, qui écrit souvent pour Le Monde de Demain, aime à le dire : « Les causes des problèmes du monde sont spirituelles. Les solutions sont bibliques. »

Bâtir notre civilisation sur autre chose qu’un respect complet de la Bible en tant que révélation de Dieu avec une autorité divine sur tous les aspects de la vie et de la société aura toujours les mêmes résultats au final : Le chaos moral, les conflits sociaux et l’effondrement de la civilisation.

L’un des pères fondateurs de l’Amérique, John Adams, l’avait compris. S’adressant en 1798 à des miliciens du Massachusetts, le président de l’époque fit remarquer que si les États-Unis commençaient à ne paraître vertueux qu’en surface alors que le caractère du peuple américain commençait à se dégrader, les États-Unis deviendraient, selon ses termes, « l’habitation la plus misérable du monde ». Pourquoi ? répond-il :

« Parce que nous n’avons pas de gouvernement armé d’un pouvoir capable de lutter contre les passions humaines sans être restreintes par la morale et la religion. L’avarice, l’ambition, la vengeance briseraient les cordes les plus solides de notre Constitution comme une baleine passe à travers un filet. Notre Constitution n’a été faite que pour un peuple moral et religieux. Elle est totalement inadaptée au gouvernement de tout autre peuple » (“De John Adams à la milice du Massachusetts, 11 octobre 1798”, Founders Online, Founders.archive.gov).

En fait, la prophétie biblique parle d’une profonde scission qui s’abattra sur la civilisation occidentale à cause de son manque de repentance de son approche tiède des valeurs bibliques – ce qui entraînera la chute et le châtiment divin de nombreuses nations occidentales, en particulier les nations d’origine britannique, et la montée d’une dictature parmi les autres nations qui finira par attraper le monde entier dans ses griffes.

Le résultat de ces développements amènera le monde au bord de l’autodestruction, comme le dit Jésus Lui-même :

« Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais. Et, si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés »  (Matthieu 24 :21-22).

Oui, heureusement, ces jours seront abrégés. Le monde sera sauvé de lui-même et commencera sa transformation dans la paix de mille ans de Jésus-Christ et le règne de Ses saints. Cette paix ne sera pas apportée par un retour aux « normes constitutionnelles » des valeurs de l’Occident, avec son esprit hybride de valeurs bibliques, de philosophies païennes et de sentiments séculiers. Au contraire, le Christ enseignera au monde entier à embrasser la Bible dans son ensemble – sans réserve. En effet, Ses enseignements et la loi de Dieu, et non de l’homme, couvriront la Terre comme les eaux couvrent les fonds de la mer.

Bien sûr, vous n’avez pas à attendre que la civilisation occidentale se ressaisisse et commence à adopter le livre des livres sur lequel ce monde futur sera bâti. Vous pouvez commencer à construire votre vie sur ce livre dès à présent.


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