Et voici, parut un cheval blanc | Le Monde de Demain

Et voici, parut un cheval blanc

Et voici, parut un cheval blanc

Les quatre cavaliers de l’Apocalypse suscitent tant l’émerveillement que la peur et le mystère dans l’esprit de beaucoup d’entre nous. Leur cavalcade commence avec l’arrivée du premier cavalier sur un cheval blanc. Sera-t-il possible de reconnaître ce cavalier lorsqu’il arrivera sur son cheval blanc ? Dans cette émission du Monde de Demain, nous apprendrons comment l’identifier.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Les quatre cavaliers de l’Apocalypse suscitent tant l’émerveillement que la peur et le mystère dans l’esprit de beaucoup d’entre nous. Leur chevauchée à l’approche de la fin des temps apportera de la terreur, des catastrophes et de la dévastation, telles que le monde n’en a jamais connu. Leur cavalcade commence avec l’arrivée du premier cavalier sur un cheval blanc.

Sera-t-il possible de reconnaître ce cavalier lorsqu’il arrivera sur son cheval blanc ? La réponse est affirmative. Dans cette émission du Monde de Demain, nous apprendrons comment l’identifier.

Je reviens d’ici cinq secondes – ne partez pas.

Bonjour et bienvenue au Monde de Demain, où nous vous aidons à donner un sens à votre monde à travers les pages de la Bible.

Aujourd’hui, nous examinerons l’un des plus surprenants signes avant-coureurs de la fin des temps – le fameux premier cavalier de l’Apocalypse – et comment reconnaître son influence même dans le monde aujourd’hui.

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Jésus-Christ nous donne l’explication de l’Apocalypse

Pour commencer notre analyse, nous devons examiner le contexte du livre appelé l’Apocalypse. Ce mystérieux livre est, comme le dit le tout premier verset, la « Révélation de Jésus-Christ », dans laquelle le Sauveur retrace l’Histoire de l’humanité et de l’Église depuis l’époque de l’apôtre Jean jusqu’à la nôtre, en décrivant en détail la fin des temps et Son retour des cieux. Alors qu’Il entre dans la partie de cette vision consacrée à la fin des temps, le Christ montre à Jean quatre chevaux mystérieux et leurs cavaliers – les fameux quatre cavaliers de l’Apocalypse.

« Je regardai, quand l’Agneau ouvrit un des sept sceaux, et j’entendis l’un des quatre êtres vivants qui disait comme d’une voix de tonnerre : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre » (Apocalypse 6 :1-2).

Après ce premier cavalier, trois autres se succèdent, chacun sur un cheval de couleur différente : un roux, un noir, et enfin un verdâtre plutôt malsain.

Chacun représente une vague de calamités qui frappera les peuples de la Terre – dans l’ordre, l’une après l’autre – à la fin des temps… des calamités dont le verset 8 nous dit qu’elles dévasteront « le quart de la terre ». L’identité des deuxième, troisième et quatrième cavaliers est assez claire : le cavalier sur un cheval roux représente la guerre mondiale, le cavalier sur un cheval noir représente la famine et la disette, et le cavalier sur un cheval verdâtre représente les maladies et les pestes dévastatrices.

Pourtant, c’est le cheval blanc qui vient en premier. Tous les autres suivent ce cheval, qui doit venir en premier. Ainsi, pour comprendre à quel moment ces difficultés commenceront, il faut comprendre ce que représente ce cheval blanc et son cavalier.

Clé no1 : le cheval blanc représente un christianisme de contrefaçon

Dans l’émission d’aujourd’hui, nous nous attacherons à vous expliquer, à partir des pages de la parole de Dieu, comment reconnaître l’arrivée de ce cheval blanc et de son cavalier. Ce faisant, il apparaîtra clairement que les bases d’une telle arrivée sont déjà en train d’être posées.

Aujourd’hui, nous vous présenterons donc sept clés qui vous aideront à reconnaître le premier des quatre cavaliers de l’Apocalypse et son cheval blanc.

Nous commencerons par nous tourner vers Celui qui est à l’origine de cette prophétie en tant que notre source d’entendement. Nous avons noté que la vision de Jean dans l’Apocalypse est la « révélation de Jésus-Christ », et c’est Jésus-Christ Lui-même qui nous fournit ailleurs la clé pour comprendre la signification du premier cheval ! Pour cela, il faut se reporter au premier livre du Nouveau Testament, l’Évangile de Matthieu.

C’est là, au chapitre 24, que nous lisons le célèbre discours sur le mont des Oliviers lequel décrit ce qui se passerait depuis l’époque des apôtres jusqu’à nos jours, tout comme le fait le livre de l’Apocalypse.

Lisons les versets 4 à 8. Ici, les disciples de Jésus viennent de L’interroger sur la destruction à venir du temple, Sa venue et la fin de cette ère :

« Et Jésus, répondant, leur dit : Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens. Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres ; prenez garde de ne pas vous troubler, car il faut que toutes ces choses arrivent ; mais ce ne sera pas encore la fin. Car une nation s’élèvera contre une autre nation, et un royaume contre un autre royaume ; et il y aura des famines, des pestes et des tremblements de terre en divers lieux. Mais tout cela ne sera qu’un commencement de douleurs » (Ostervald).

Ces afflictions décrites par Jésus affectent l’humanité depuis des siècles, c’est certain. Le Christ nous avertit de nous garder d’être troublés par toute calamité, à l’approche de ces derniers jours.

Cela dit, reprenons le récit des quatre cavaliers dans l’ordre. Nous avons déjà dit que les deuxième, troisième et quatrième cavaliers dans l’ordre représentent la guerre, la famine et la maladie. Et de quoi parle Christ dans Matthieu 24 ? Des guerres, des famines et des maladies.

Remarquez qu’Il les mentionne exactement dans le même ordre. Les quatre cavaliers représentent des versions de la fin des temps, extrêmes et ultimes, des calamités décrites par Jésus-Christ !

Ensuite, revenons un peu en arrière pour voir le tout premier élément mentionné par Jésus-Christ. Quel est le premier élément cité dont Il avertit Ses disciples ? « Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens » (versets 4-5, Ostervald).

Nous voyons donc qu’avant la guerre, la famine et la maladie, Jésus nous met en garde contre une séduction religieuse. En fait, pas seulement une séduction religieuse au sens large, mais spécifiquement une séduction religieuse en Son nomau nom du « Christ » !

Rappelons que la ponctuation dans la plupart des traductions de la Bible ne figurait pas dans le texte original en grec. Jésus dit à Ses disciples que des gens viendront proclamer qu’Il est le Christ, le Messie, pour ensuite séduire beaucoup de monde.

L’information révélée par Jésus-Christ est la première clé que nous devons rechercher. Le cheval blanc représente donc un christianisme de contrefaçon.

Nous retrouvons également cet aspect de la signification du cheval blanc dans d’autres pages des Écritures. Par exemple, reportez-vous un peu plus loin dans Apocalypse 13. Là, après avoir décrit le titan politique, militaro-économique qui s’élèvera dans les années à venir, la bête de l’Apocalypse, Jésus-Christ révèle à Jean une deuxième bête représentant un deuxième personnage – cette fois-ci, un personnage religieux : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon » (verset 11).

Ici, le symbolisme biblique doit être clairement perçu. Remarquez : cette deuxième bête, le faux prophète à venir, a l’apparence d’un agneau – c’est-à-dire qu’il donne l’impression d’être comme Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu – mais il parle comme un dragon. C’est-à-dire que les doctrines qu’il enseigne sont en réalité les ruses et les mensonges subtils du diable, qui est appelé « le grand dragon » et « le serpent ancien » à deux reprises dans l’Apocalypse (12 :9 ; 20 :2).

Nous entrerons dans les détails de ses mensonges et séductions dans un instant. Mais tout d’abord, il est essentiel de comprendre que ce cheval blanc ne représente pas une fausse religion quelconque. Il symbolise spécifiquement un faux christianisme, un christianisme de contrefaçon, portant le nom de Jésus-Christ en affirmant Le représenter, Lui et Ses enseignements, dans le monde ! Ensuite, nous devons comprendre que ce christianisme de contrefaçon est :

Clé no2 : d’origine très ancienne, il remonte jusqu’au tout début du véritable christianisme

Nous voyons dans les pages de la Bible que les apôtres y faisaient face déjà à leur époque, au cours de la première génération après la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Paul mit en garde les chrétiens de Corinthe contre l’influence de cette contrefaçon :

« Toutefois, de même que le serpent séduisit Ève par sa ruse, je crains que vos pensées ne se corrompent et ne se détournent de la simplicité à l’égard de Christ. Car, si quelqu’un vient vous prêcher un autre Jésus que celui que nous avons prêché, ou si vous recevez un autre esprit que celui que vous avez reçu, ou un autre évangile que celui que vous avez embrassé, vous le supportez fort bien » (2 Corinthiens 11 :3-4).

Remarquez-le : Paul dit que certains prêchaient Jésus et prêchaient l’évangile, mais il s’agissait d’un autre Jésus et d’un autre évangile ! Paul les avertit plus tard qu’en enseignant ces mensonges déguisés en véritable christianisme, « Satan lui-même se déguise en ange de lumière » (verset 14) !

L’influence corruptrice de ce christianisme de contrefaçon était si répandue que le frère de Jésus, Jude, dut mettre en garde l’Église dans son épître :

« Bien-aimés, alors que je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de vous envoyer cette lettre pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Car il s’est glissé parmi vous certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps, des impies, qui changent la grâce de notre Dieu en dérèglement, et qui renient notre seul maître et Seigneur Jésus-Christ » (Jude 1 :3-4).

Malgré les dires de l’avènement d’un Antéchrist aux derniers jours, il convient de noter ce que l’apôtre Jean écrivit vers la fin du premier siècle, il y a près de 2000 ans :

« Petits enfants, c’est la dernière heure, et comme vous avez appris qu’un antéchrist vient, il y a maintenant plusieurs antéchrists : par là nous connaissons que c’est la dernière heure » (1 Jean 2 :18).

Oui, le faux christianisme représenté par le cheval blanc ne sera pas une « nouvelle » religion. Il est doté d’un ancien pédigrée, remontant à plus de 2000 ans. Encore une fois, il ressemble au christianisme mais prononce les paroles du dragon. Ce sont les enseignements de la fausse Église qui nous donnent la clé suivante pour identifier le cheval blanc :

Clé no3 : ce système religieux et son dirigeant seront impies, faisant des compromis avec la loi de Dieu

L’apôtre Paul a appelé le système de l’Antéchrist « le mystère du mal », disant qu’il était « déjà » à l’œuvre (2 Thessaloniciens 2 :7) en son temps – et que le « Sans Loi » (Nouvelle Bible Segond) à venir (versets 8-9) sera détruit et réduit à néant lors du retour du Christ. Il convient d’être prudent. Le terme « Sans Loi » (Nouvelle Bible Segond) ne signifie pas qu’il est complètement dépourvu de loi ou d’ordre. Bien au contraire !

Le livre de Daniel, dans l’Ancien Testament, révèle un détail important concernant ce futur chef religieux « sans foi ni loi ». « Il prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très-Haut, et il espérera changer les temps et la loi » (7 :25).

Remarquez qu’Il espérera changer les temps et la loi ! Ce système anarchique aura de nombreux canons, credo, jugements et décisions ecclésiastiques. Sa « loi ecclésiastique » sera peut-être rigoureuse et détaillée ! Mais la loi qui importe à Dieu est Sa propre loi ! Cette fausse Église rejettera cette loi ! Malgré un calendrier de culte riche et rempli de fêtes, ce calendrier constitue un changement par rapport aux Jours de culte ordonnés par Dieu dans Sa parole !

En effet, ce système est un ensemble de compromis – un mélange des éléments de la vérité de Dieu et des influences corruptrices des philosophies de ce monde et du paganisme.

C’est ce que nous voyons dans Apocalypse 17. Cette structure chrétienne, fausse et contrefaite, y est dépeinte comme une prostituée :

« Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m’adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à la débauche, et c’est du vin de sa débauche que les habitants de la terre se sont enivrés » (versets 1-2).

Nous reparlerons plus en détail de cette prostituée prophétique plus tard dans notre émission, mais pour l’instant il est essentiel de comprendre que la compromission de la vraie foi et de sa mise en pratique, en la mêlant avec des idées et des pratiques fausses et païennes, est symbolisée dans la Bible souvent par la prostitution, la fornication et l’adultère. On en trouve des exemples dans Osée (1 :2), Ésaïe (57 :3) et ailleurs dans les Écritures. La quatrième révèle que le cheval blanc représente :

Clé no 4 : une Église puissante et qui persécute

Poursuivons la lecture d’Apocalypse 17 sur la grande prostituée qui représente cette fausse Église chrétienne :

« Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution » (verset 4).

Le pourpre et l’écarlate, l’or, les pierres précieuses et les perles, dénotent la richesse de la prostituée, et son ostentation à la vue du monde entier. Ce faux système religieux possède une richesse et une influence mondiale considérables. Nous avons lu aux versets 1 et 2, qu’elle est assise sur « les grandes eaux » et qu’elle a des relations avec « les rois de la terre ».

Dans la vision de Jean, le guide angélique explique la signification des eaux : « Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues » (verset 15).

Cette fausse Église est d’une portée universelle, ayant des fidèles dans le monde entier. Comment cette organisation qui prétend être l’Église du Christ a-t-elle utilisé sa richesse et son influence ? Elle a persécuté, assassiné et martyrisé ceux qui ont cherché à suivre et à obéir au vrai Jésus-Christ. Remarquez que le verset 6 dit que la femme était « ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. »

C’est ce qu’indique également le passage de Daniel 7 que nous avons lu plus tôt, lequel dit que les saints seront livrés entre les mains de ce faux prophète, « pendant un temps, des temps, et la moitié d’un temps », c’est-à-dire pendant la durée de la grande tribulation (verset 25).

Rappelons la description originelle du cheval blanc. Apocalypse 6 :2 dit que le cavalier « avait un arc » et « partait en vainqueur et pour vaincre ». Cela nous dit qu’il ne s’agit pas d’une Église désireuse de convertir les autres par la simple prédication de l’Évangile et en donnant le bon exemple. La persécution à venir fera passer les inquisitions des siècles passés pour un jeu d’enfant.

Une autre stratégie utilisée par cette fausse chrétienté dans sa persécution des vrais chrétiens constitue notre prochaine clé d’identification du cheval blanc :

Clé no 5 : cette fausse Église sera enrôlée dans une alliance politico-religieuse impie

Remarquez que la grande prostituée d’Apocalypse 17 n’est pas seule. Lisez la description de Jean au verset 3 : « Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes ». Les têtes de cette bête représentent les résurgences successives de l’Empire romain dans l’Histoire, culminant à l’entité politique finale, puissante, de la fin des temps, qui ébranlera le monde. Remarquez que cette femme, à califourchon sur la bête, la chevauche et dirige ses mouvements.

Il est intéressant de noter qu’au verset 9, il est dit que la femme est assise sur sept montagnes. Rome est connue comme la ville aux sept collines, d’après les sept collines sur lesquelles la ville est située. Cette immense et fausse Église, qui s’étend sur tout le globe, est intimement associée à Rome et participera à une alliance impie avec la résurgence finale de l’Empire romain à l’approche du retour de Jésus-Christ. Apocalypse 13 dépeint cette alliance, dans laquelle chaque partie profite égoïstement du pouvoir et de l’influence de l’autre.

La prochaine clé de notre liste parle de l’un des avantages de cette alliance dont jouira la bête :

Clé no 6 : Cette fausse Église manifestera des signes et des prodiges puissants à l’approche de la fin de cette ère

L’apôtre Paul décrit ces signes surnaturels dans le passage que nous avons lu précédemment : « L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers » (2 Thessaloniciens 2 :9). Apocalypse 13 :13 les décrit également : « Elle opérait de grands prodiges, jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. »

L’Antéchrist ou le faux prophète à venir utilisera ces signes et ces prodiges pour unifier l’humanité et la diriger vers la grande bête, renforçant ainsi l’autorité de la bête, son influence et sa puissance à l’échelle mondiale. Enfin, nous arrivons à la septième clé :

Clé no 7 : cette fausse Église est la mère d’autres Églises apostates

C’est un point qui peut facilement passer inaperçu, mais il est bien visible dans la parole de Dieu. Regardez avec moi dans Apocalypse 17. Lorsque nous lisons attentivement la description que fait Jean de la grande prostituée qui représente ce faux christianisme, nous voyons un détail important au verset 5 : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des prostituées et des abominations de la terre. »

La grande prostituée n’est pas unique. Elle est la mère de beaucoup d’autres Églises prostituées apostates – la mère de beaucoup d’autres dénominations chrétiennes qui, comme leur mère, mêlent dans leurs doctrines et traditions des éléments des vérités bibliques avec des philosophies humaines et des pratiques païennes ! Toutes prétendent parler au nom du Christ, mais toutes sont liées au même faux système.

Ces sept caractéristiques, ces sept clés, vous permettront de reconnaître le cheval blanc et son cavalier lorsqu’ils feront irruption sur la scène ! Pour ceux qui ont des yeux pour voir, elles révèlent comment le système qu’elles identifient opère dans le monde depuis presque deux mille ans revendiquant faussement le nom de Christ et se préparant désormais à l’avenir funeste que la parole de Dieu prophétise depuis si longtemps.

Le cinquième cavalier

Pourtant, l’histoire ne se termine pas avec le premier cavalier qui monte sur le cheval blanc. Après tout, ce n’est que le premier des quatre cavaliers. En fait, pour reconnaître le premier cavalier, il faut savoir qu’il n’y a pas seulement quatre cavaliers dans le livre de l’Apocalypse – il en contient cinq ! Et l’identité du cinquième cavalier est, à bien des égards, la plus importante de toutes ! Nous le lisons dans Apocalypse 19 :11 : « Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc ». Remarquez que ce passage mentionne les mêmes mots ! « Et voici, parut un cheval blanc ! » (Apocalypse 6 :2). Pourtant, comme nous le verrons, il s’agit d’un cheval bien différent, et assurément d’un cavalier tout aussi différent ! Poursuivons :

« Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même ; et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu » (Apocalypse 19 :11-13).

Il ne s’agit pas d’un prétendant au trône ou d’un faux Messie. C’est le vrai Jésus-Christ, la Parole de Dieu. Tout comme le premier cavalier d’Apocalypse 6, Il est Lui aussi armé, comme nous le voyons dans Apocalypse 19 :15 : « De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations ». Et, bien sûr, Éphésiens 6 :17 nous dit que « l’épée de l’Esprit […] est la parole de Dieu. » Remarquez que ce récit est parfaitement conforme avec la première clé concernant le premier cavalier et son cheval blanc qui se révèle être un imposteur…

Tous deux montent un cheval blanc, mais le premier des quatre cavaliers porte une seule « couronne », alors que Jésus-Christ apparaît avec « plusieurs diadèmes » sur Sa tête. Le premier des quatre cavaliers « avait un arc », mais le Sauveur s’avance avec « une épée aiguë » qui sort de Sa bouche. Encore une fois, la fausse Église ressemble au vrai christianisme, mais, avec l’aide de Dieu, nous pouvons repérer les différences !

Mais le fait le plus important est énoncé dans Apocalypse 19 :16 : Le cavalier de ce cheval venant du ciel est « Roi des rois et Seigneur des seigneurs ». Il apportera avec Lui un monde nouveau – le monde de demain.

Ici, au Monde de Demain, nous espérons que vous attendez avec autant d’impatience que nous l’arrivée de ce cinquième cavalier.


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