| Le Monde de Demain

Le Royaume-Uni dit “non” à l’Union européenne !



Après 43 ans passés en tant que membre de la Communauté économique européenne et de l’Union européenne, le peuple britannique a voté le 23 juin en faveur de la sortie de l’Union. Dans un scrutin serré (environ 52% pour sortir et 48% pour rester), les Britanniques ont voté en faveur de la souveraineté nationale et du contrôle de leurs frontières (Deutsche Welle, 24 juin 2016).

La pire fusillade de masse dans l’histoire américaine



Omar Matten, un musulman se déclarant proche de l’ÉI, a tué 49 personnes dans une boîte de nuit homosexuelle à Orlando, en Floride, aux États-Unis – « la fusillade de masse la plus meurtrière de l’histoire récente des États-Unis » (Associated Press, 13 juin 2016).

Un continent troublé



L’Amérique du Sud doit faire face à une multiplication des problèmes. En Colombie, les barons de la drogue et les narcotrafiquants ont généré des années de violences, de corruption des systèmes politiques et économiques, et ils ont contribué à la hausse des problèmes domestiques avec la drogue (The Guardian, 18 avril 2016).

Le choix de la Grande-Bretagne



Cette semaine, les Britanniques prennent une décision capitale en répondant à la question de savoir si leur pays devait rester dans l’Union européenne ou la quitter. Le désir de partir est motivé par la perte de la souveraineté au profit des institutions de l’UE, de la forte hausse de l’immigration et de la crainte grandissante que la Grande-Bretagne ne soit plus la Grande-Bretagne. La pression pour rester au sein de l’UE est motivée par la peur de l’inconnue au quotidien en dehors de l’UE.

Courrier des lecteurs



Je tiens à vous remercier profondément pour tout le dévouement dont vous faites preuve. En ces temps de grands troubles, des hommes comme vous sont un trésor. Vous êtes aussi des porteurs de lumière, de la véritable lumière. Sagesse, foi, respect et amour véritable – merci d’en faire profiter le plus grand nombre.
– L. V., France

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