La crise alimentaire à venir | Le Monde de Demain

La crise alimentaire à venir

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Pendant des décennies, les champs de céréales aux États-Unis, au Canada et en Australie, ont fourni le blé, l’orge et les autres cultures nécessaires à l’alimentation des populations. Ils exportèrent des quantités prodigieuses de céréales pour faire vivre une grande partie du monde qui souffrait de la famine.

Cependant, l’inquiétante sécheresse de l’an dernier, a brusquement réduit les quantités de céréales moissonnées dans la « corbeille à pain » du monde, alors que les agriculteurs américains, canadiens et australiens luttent eux-mêmes pour survivre et que leurs réserves diminuent. Les prophéties bibliques montrent, de façon alarmante, que les productions agricoles prendront un tournant dramatique, et que la situation empirera dans les années à venir.

Il n’y a pas que les exploitations agricoles qui soient concernées ; la situation s’aggrave également dans d’autres domaines. De dramatiques mouvements dans la balance de la puissance économique internationale se dessinent à l’horizon. Selon la Bible, avant le retour de Jésus-Christ qui établira le Royaume de Dieu sur la terre, des pénuries massives de nourriture se répandront de par le monde.

Le dernier livre de la Bible, l’Apocalypse, décrit au sixième chapitre, quatre chevaux symboliques. L’un des « quatre cavaliers de l’Apocalypse » est monté sur un cheval noir, et préfigure une famine mondiale. « Quand il [Jésus-Christ] ouvrit le troisième sceau, j’entendis le troisième être vivant qui disait : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance dans sa main. Et j’entendis au milieu des quatre êtres vivants une voix qui disait : Une mesure de blé pour un denier, et trois mesures d’orge pour un denier ; mais ne fais point de mal à l’huile et au vin » (Apocalypse 6 :5-6).

Il y a 2000 ans, un denier représentait environ le salaire quotidien d’un ouvrier en Palestine. Payer aussi cher une si petite quantité de céréales, soigneusement pesée, montre que la nourriture sera extrêmement rare et que les prix monteront en flèche. Jésus-Christ a prévenu que les famines constitueraient l’un des signes précurseurs de Son second Avènement et de la fin du monde. (Matthieu 24 :3, 7 ; Marc 13 :8 ; Luc 21 :11).

Les famines peuvent être provoquées par des guerres ou par des désastres naturels, que le Christ a également désignés en tant que signes annonçant Son second Avènement. Pendant des décennies, ces situations se sont étendues en Afrique, en Asie et en Amérique latine, mais les prophéties bibliques montrent que même les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud connaîtront une crise alimentaire majeure. Cela nous semble inconcevable à l’heure actuelle, mais la tendance va inexorablement dans cette direction.

Les stocks de céréales, de par le monde, se sont brusque- ment resserrés tandis que la consommation mondiale continue d’augmenter. Selon les estimations, le total des réserves internationales, de blé et de maïs, a chuté de 363 millions de tonnes en 1998 à 257 millions de tonnes en 2001 – soit une baisse de 106 millions de tonnes en trois ans !

Cette baisse des réserves de céréales survient alors que la population mondiale continue à augmenter. Les populations de l’Inde et de la République Populaire de Chine dépassent chacune le milliard d’habitants. Ensemble, elles représentent environ le tiers de la population mondiale, qui est maintenant de 6,3 milliards. Cependant, la Chine a connu l’an dernier une grave sécheresse, qui a ravagé sa production de céréales.

La sécheresse de 2001 a fait suite aux conditions climatiques dévastatrices de l’an 2000, alors que la Chine souffrait de la sécheresse la plus terrible en vingt ans : 30,7 millions d’hectares ont été desséchés dans les principales régions de culture céréalière, au nord et au nord-est de la Chine. Cette année, selon les estimations, la production de maïs de la Chine a baissé de 20% à 103 millions de tonnes, le blé de 10% à 102 millions de tonnes, et le riz de 5% à 189 millions de tonnes. Ce sont les chiffres les plus bas depuis 1980.

The Population Institute rapporte que la population mondiale augmente d’environ 78 millions par an. « Les 97% de cette augmentation a lieu dans les pays les plus pauvres […] Ces pays sont trop souvent déchirés par des conflits civils et des troubles sociaux, alors que bon nombre d’êtres humains survivent pour la valeur d’un dollar américain par jour. »

En 1830, d’après cet Institut, la population mondiale s’élevait à un milliard. Un siècle plus tard, en 1930, elle atteignait 2 milliards. Trente ans plus tard, elle franchissait le seuil des 3 milliards. En 1975, quinze ans après, elle atteignait les 4 milliards. En 1986, à peine onze ans plus tard, la terre comptait 5 milliards d’habitants. En 1999, le chiffre de 6 milliards était atteint. Entre-temps, le monde perdait 26 milliards de tonnes de terre arable à cause de la croissance rapide de la population, de l’urbanisation, de l’agriculture marginale et de l’expansion du désert.

Une malédiction sur nos réserves

Alors que la population mondiale continue à se développer et que les réserves de céréales diminuent dans leur ensemble, les prévisions des grands producteurs de céréales s’effondrent dramatiquement ; c’est une terrible et effrayante réalité.

Le 14 septembre 2001, le Département américain de l’Agriculture a rapporté que le total de la production américaine de blé, pour 2001, passerait sous la barre des 70 millions de mètres cube pour la première fois depuis 1991, soit une baisse de 10% par rapport à la récolte de l’an 2000. Pour la récolte printanière de blé, il prévoyait une baisse de 6% par rapport à la saison précédente. Et pour le durum (qui est une variété de blé), la baisse était estimée à 21% par rapport à l’an 2000.

Les pertes pour l’économie canadienne et les agriculteurs se chiffrent en milliards de dollars, ce sont les contribuables qui payent les conséquences, après la faillite des compagnies d’assurances agricoles qui ne peuvent verser les indemnités. The Canadian Wheat Board chiffre les récoltes de blé du Canada occidental à plus de 25,7 millions de mètres-cube, soit une baisse de 20,8% par rapport aux années précédentes. Pour les récoltes du durum, l’estimation est de 3,8 millions de mètres-cube, soit une baisse de 46% par rapport à l’an 2000. On estime que le total de la production de céréales du Canada occidental est le plus faible depuis 1988.

Ce n’est pas une coïncidence si le Canada, les États-Unis et l’Australie connaissent un recul désastreux des productions de céréales. Il y a une raison de cause à effet dans la régression de leurs récoltes. Le président américain, Abraham Lincoln, avait déclaré en 1863 : « Nous avons été choisis pour être les bénéficiaires des générosités du ciel. » Cependant, les Américains, les Canadiens, les Australiens et les autres peuples anglo-saxons n’ont pas reconnu que leurs bénédictions provenaient du Tout-Puissant. À cause de ce péché flagrant d’ingratitude, ajouté aux autres péchés nationaux, ces bénédictions leur ont été retirées.

Le Dieu Vivant est en train de retirer Sa main protectrice sur nos nations. Si nous continuons à rejeter Ses commandements, nous souffrirons de plus en plus les conséquences de la désobéissance (Deutéronome 8 :5-6). Lorsque nous respectons ces commandements, nous sommes bénis. Lorsque nous les rejetons, nous sommes maudits. Notez ce que dit Dieu dans Sa parole inspirée, la Bible.

« Car l’Éternel, ton Dieu, va te faire entrer dans un bon pays, pays de cours d’eaux, de sources et de lacs, qui jaillissent dans les vallées et dans les montagnes ; pays de froment, d’orge, de vignes, de figuiers et de grenadiers ; pays d’oliviers et de miel ; pays où; tu mangeras du pain avec abondance, où; tu ne manqueras de rien […] Lorsque tu mangeras et te rassasieras, tu béniras l’Éternel, ton Dieu, pour le bon pays qu’il t’a donné » (Deutéronome 8 :7-10).

On ne peut pas nier que les nations d’origine anglo-saxonne ont hérité des meilleurs terrains agricoles du monde. Mais après en avoir profité pendant des décennies, elles se sont attribuées les mérites de leur prospérité et de leurs richesses ; elles n’ont pas glorifié le Dieu des cieux qui les leur a accordées. La force fondamentale de l’économie d’une nation réside essentiellement dans sa production agricole.

« Garde-toi d’oublier l’Éternel, ton Dieu, au point de ne pas observer ses commandements, ses ordonnances et ses lois, que je te prescris aujourd’hui. Lorsque tu mangeras et te rassasieras […] Garde-toi de dire en ton cœur : Ma force et la puissance de ma main m’ont acquis ces richesses. Souviens-toi de l’Éternel, ton Dieu, car c’est lui qui te donnera de la force pour les acquérir […] Si tu oublies l’Éternel, ton Dieu, et que tu ailles après d’autres dieux, si tu les sers et te prosternes devant eux, je vous déclare formellement aujourd’hui que vous périrez » (Deutéronome 8 :11-12, 17-19).

Les prairies céréalières du Canada ont été ravagées par une sécheresse dévastatrice, et la région nord-est des États-Unis a connu, l’année dernière, l’une des pires sécheresses de son histoire. Elle était si mauvaise que les réservoirs, qui étaient remplis par les eaux de ruissellements du printemps, ont atteint des niveaux dangereusement bas. S’il n’y avait pas eu de la neige en quantité substantielle cet hiver, cette région du nord-est serait devenue complètement aride, car les systèmes d’irrigation n’auraient pas pu fonctionné au printemps.

Les États-Unis et les autres nations anglophones se sont laissés prendre dans une spirale infernale de terribles revers nationaux, qui frappent leur puissance économique, militaire et politique, et qui détruisent leur prestige aux yeux des autres nations. La situation continuera à empirer, à moins qu’ils ne se repentent de leurs transgressions des Dix Commandements, et qu’ils ne se tournent de tout leur cœur à Dieu, à Celui qui leur a donné leurs richesses. De graves problèmes agricoles sont au premier plan.

Alors que nous nous approchons de la fin des temps, Dieu châtiera de plus en plus les peuples et les nations qui ne se repentent pas. « Si, malgré cela, vous ne m’écoutez point, je vous châtierai sept fois plus pour vos péchés. Je briserai l’orgueil de votre force, je rendrai votre ciel comme du fer, et votre terre comme de l’airain. Votre force s’épuisera inutilement, votre terre ne donnera pas ses produits, et les arbres de la terre ne donneront pas leurs fruits » (Lévitique 26 :18-20).

Pour détruire une nation ou un empire, rien n’est plus efficace que de toucher aux récoltes, car les prix montent en flèche, et les gens sont obligés de dépenser au-dessus de leurs moyens pour se nourrir. Dans Deutéronome 28, Dieu nous montre que si nous n’obéissons pas à Sa voix, et que nous n’observons pas fidèlement Ses commandements et Ses statuts, nos terres seront frappées par les malédictions, et les catastrophes agricoles ne seront pas les moindres.

« Tu seras maudit dans la ville, et tu seras maudit dans les champs. Ta corbeille et ta huche seront maudites. Le fruit de tes entrailles, le fruit de ton sol, les portées de ton gros et de ton menu bétail, toutes ces choses seront maudites » (Deutéronome 28 :16-18).

« Le ciel sur ta tête sera d’airain, et la terre sous toi sera de fer. L’Éternel enverra pour pluie à ton pays de la poussière et de la poudre ; il en descendra du ciel sur toi jusqu’à ce que tu sois détruit » (versets 23-24).

« Ton bœuf sera égorgé sous tes yeux, et tu n’en mangeras pas ; ton âne sera enlevé devant toi, et on ne te le rendra pas ; tes brebis seront données à tes ennemis, et il n’y aura personne pour venir à ton secours » (verset 31).

Quelques analystes-économistes prévoient que les réserves américaines de maïs, pour 2001-02, seront inférieures ou égales à 35 millions de mètres-cube – le plus petit chiffre depuis 1996-97 – à cause de la chaleur extrême et de la sécheresse dans le Midwest. Cela est inférieur aux 70,5 millions de mètres-cube du mois d’août 2000.

Les récoltes américaines de blé, en septembre, ont été estimées à presque 18 millions de mètres-cube – soit moins de 1,5 millions de mètres-cube que la récolte de l’année précédente. Les réserves américaines de céréales, estimées à 22,8 millions de mètres-cube, ont chuté à 7,9 millions de mètres-cube en 2000-01. À nouveau, c’est le plus bas depuis 1996-97.

Des temps plus difficiles à venir

Pour beaucoup d’agriculteurs, ce sera une année « quitte ou double », car ils devront puiser dans leurs réserves pour financer leurs opérations, et leurs biens sont de plus en plus hypothéqués par les banques. La valeur élevée du dollar américain, au cours des dernières années, rend encore plus difficile les exportations des cultivateurs américains, qui doivent baisser la valeur de la marchandise à un niveau inférieur à celui du début des années 1920, juste avant l’effondrement du cours des actions.

Inversement, si le dollar chute après une baisse des taux d’intérêts décidée par la Federal Reserves (Banque Centrale américaine), les nations étrangères pourraient diminuer leurs stocks de blé, d’orge et de maïs américains. Les agriculteurs seraient tentés d’exporter plus que nécessaire, ce qui provoquerait une baisse des réserves emmagasinées dans les silos. Il est dangereux et risqué de vider nos réserves agricoles, car les récoltes de la prochaine saison risquent d’être mauvaises.

La Bible et l’Histoire montrent que les États-Unis et les nations du Commonwealth britannique sont les descendants modernes d’Éphraïm et de Manassé – deux des douze tribus de l’ancien Israël (pour de plus amples informations sur cette clé de la prophétie biblique, étudiez notre brochure intitulée Les États-Unis et la Grande-Bretagne selon la prophétie). De même que Dieu a comblé ces nations d’une abondance sans précédent lors des derniers deux cents ans, de même Il est en train de la retirer avec une rapidité alarmante, tandis que les péchés de ces nations s’élèvent jusqu’aux cieux.

Le message du prophète Ézéchiel pour les nations modernes de la maison d’Israël sera effrayant, à moins que nos peuples changent de voie. Comme un symbole du châtiment divin sur la maison d’Israël, Dieu demanda à Ézéchiel de se raser la tête et la barbe, de peser et partager ses cheveux (Ézéchiel 5 :1). « Brûles-en un tiers dans le feu, au milieu de la ville, lorsque les jours du siège seront accomplis ; prends-en un tiers, et frappe-le avec le rasoir tout autour de la ville ; disperses-en un tiers au vent, et je tirerai l’épée derrière eux » (verset 2).

Alors que Dieu retire Sa main protectrice de dessus nos nations, notre indifférence et notre arrogance envers Ses lois nous attireront de terribles malheurs. Nous subirons les tragiques conséquences de notre arrogante indifférence envers les lois divines, alors que nous commençons déjà à récolter ce que nous avons semé. Les nations anglophones influencent maintenant le monde avec leur culture qui glorifie la violence, la sexualité et l’humour noir dans les plaisanteries, ainsi que le massacre de millions d’innocents bébés qui sont avortés, considérés comme gênants. Les autres nations seront stupéfaites par la rapidité avec laquelle les États-Unis, la Grande-Bretagne et les autres pays anglo-saxons seront terrassés.

« C’est pourquoi ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Parce que vous avez été plus rebelles que les nations qui vous entourent, parce que vous n’avez pas suivi mes ordonnances et pratiqué mes lois, et que vous n’avez pas agi selon les lois des nations qui vous entourent ; – à cause de cela, ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Voici, j’en veux à toi, et j’exécuterai au milieu de toi mes jugements sous les yeux des nations. À cause de toutes tes abominations, je te ferai ce que je n’ai point encore fait, ce que je ne ferai jamais » (Ézéchiel 5 :7-9).

« Un tiers de tes habitants mourra de la peste et sera consumé par la famine au milieu de toi ; un tiers tombera par l’épée autour de toi ; et j’en disperserai un tiers à tous les vents, et je tirerai l’épée derrière eux. J’assouvirai ainsi ma colère, je ferai reposer ma fureur sur eux, je me donnerai satisfaction ; et ils sauront que moi, l’Éternel, j’ai parlé dans ma colère, en répandant sur eux ma fureur » (versets 12-13).

« Quand je lancerai sur eux les flèches pernicieuses de la famine, qui donnent la mort, et que j’enverrai pour vous détruire ; car j’ajouterai la famine à vos maux, je briserai pour vous le bâton du pain » (verset 16).

Étant donné que le tiers de la population mondiale sera exterminée par la famine et par la peste – symbolisées par les deux derniers cavaliers de l’Apocalypse – il y aura une terrible pénurie causée par des désastres naturels tels les sécheresses et les inondations. Restez vigilants, car la production agricole continuera à décliner dramatiquement aux États-Unis, au Canada et en Australie.

La Bible montre qu’il viendra un temps où; les agriculteurs seront confus et dans la désolation, parce que les moissons seront perdues, la terre sera desséchée, et les rivières complètement asséchées par le manque de pluies et de neige. Même le bétail souffrira et l’on se lamentera (Joël 1 :10-12, 17-20 ; Jérémie 14 :3 ; Amos 5 :16).

Il n’est pas trop tard pour se repentir

Nos pays peuvent encore échapper à ces désastres nationaux et universels, s’ils retournent à Dieu en se repentant sincèrement de leurs mauvaises voies. Toutefois, s’ils refusent, les calamités iront en s’intensifiant jusqu’à la captivité nationale et l’esclavage. Notez la prière du roi Salomon :

« Quand le ciel sera fermé et qu’il n’y aura point de pluie, à cause de leurs péchés contre toi, s’ils prient dans ce lieu et rendent gloire à ton nom, et s’ils se détournent de leurs péchés, parce que tu les auras châtiés, exauce-les des cieux, pardonne le péché de tes serviteurs et de ton peuple d’Israël, à qui tu enseigneras la bonne voie dans laquelle ils doivent marcher, et fais venir la pluie sur la terre que tu as donnée pour héritage à ton peuple ! Quand la famine, la peste, la rouille et la nielle, les sauterelles d’une espèce ou d’une autre, seront dans le pays […] si un homme, si tout ton peuple d’Israël fait entendre des prières et des supplications, et que chacun reconnaisse sa plaie et sa douleur et étende les mains vers cette maison, exauce-le des cieux, du lieu de ta demeure, et pardonne ; rends à chacun selon ses voies, toi qui connais le cœur de chacun, car seul tu connais le cœur des enfants des hommes » (2 Chroniques 6 :26-30).

Dieu promet : « Quand je fermerai le ciel et qu’il n’y aura point de pluie, quand j’ordonnerai aux sauterelles de consumer le pays, quand j’enverrai la peste parmi mon peuple ; si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays » (2 Chroniques 7 :13-14). C’est notre choix.

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