Le soleil, plus brûlant que jamais ? | Le Monde de Demain

Le soleil, plus brûlant que jamais ?

Commenter cet article

Le grand consensus autour du « réchauffement climatique » est-il en train de fondre ?

Dans le film Hans Christian Andersen, les premières paroles chantées par Danny Kaye étaient « Wonderful, wonderful Copenhagen » – Merveilleuse, merveilleuse Copenhague.

Cependant, en décembre dernier, l’ambiance dans la capitale danoise était tout, sauf merveilleuse. Au contraire, de gros nuages noirs de discorde, de déception et de confusion entouraient la conférence des Nations unies sur le changement climatique.

Dans une ambiance glaciale, pendant que la neige tombait à l’extérieur, les délégués travaillaient dur, débattaient et s’opposaient jusque tard dans la nuit. Cette conférence a souvent été présentée comme les « douze jours pour sauver le monde » des dangers présumés du réchauffement climatique provoqué par l’homme – aussi appelé réchauffement climatique anthropogénique (AGW – Anthropogenic Global Warming). Cette conférence tant attendue faisait suite à la conférence de Kyoto, en 1997, qui s’était achevée dans la déception et l’acrimonie, en échouant dans sa mission d’imposer des quotas de rejets de dioxyde de carbone (CO2).

Au lieu de cela, les dirigeants des États-Unis, du Brésil, de l’Afrique du Sud, de l’Inde et de la Chine ont opté pour un accord afin de sauver les apparences, et la plupart des autres nations leur ont emboîté le pas à contrecœur. Cet accord reconnaissait l’urgence de limiter la hausse de la température à 2°C, mais il n’imposait aucun objectif, ni aucune date butoir. Les pays signataires avaient juste accepté de réduire volontairement leurs émissions de CO2 à l’horizon 2020, et d’aider financièrement les nations en voie de développement pour les années à venir.

Une science établie – ou pas ?

Pendant des années, les médias et la plupart des agences gouvernementales ont fait comme si le danger du réchauffement climatique anthropogénique était une « science établie », comme certains l’ont appelée. Cependant, des voix contradictoires se sont élevées ces derniers mois. Quelle opinion le citoyen lambda doit-il croire ? Sommes-nous tous condamnés ? Allons-nous tous frire, bouillir et brûler sous une épaisse couche de CO2, que nous aurons nous-mêmes créée ? Cette civilisation, telle que nous la connaissons, va-t-elle prendre fin à cause du CO2 ? Ou, au contraire, l’humanité peut-elle continuer à avancer sans modifier son usage des ressources naturelles, et sans craindre la destruction de notre planète ?

Les partisans de chaque camp mettent en avant leurs arguments préférés et minimisent les opinions contraires. Ceux qui doutent de l’AGW présentent des relevés de températures récents qui, d’après eux, montrent une période de refroidissement et ils contestent les précédents relevés, qui suggéraient une tendance au réchauffement – mettant même en doute la véracité des données collectées. Cependant, quelques-uns des plus ardents partisans de l’AGW continuent de diaboliser les sceptiques, en les traitant de personnes stupides et malicieuses, qui conduisent la planète au suicide avec leurs théories antagonistes, alors qu’ils modifient eux-mêmes leurs interprétations des données.

Que disent les faits ? Bien que les niveaux de CO2 dans l’atmosphère aient continué à progresser, de nombreuses études montrent qu’ils ont maintenant cessé d’augmenter comme initialement prévu. Le centre de recherche et de prédiction climatique de Hadley, en Grande-Bretagne, avait prédit une hausse des températures de 0,2°C pour la période 1999-2008, mais ils concèdent à présent que les températures ont « stagné » – elles ont évolué de 0°C – pendant cette période. Ce n’est pas ce que les modèles scientifiques, calculés par ordinateur, avaient prévu. Certains scientifiques en ont conclu qu’il existait des facteurs autres que le CO2 – ou une adjonction de CO2 – pouvant modifier le climat. Récemment, la science du réchauffement climatique faisait encore le lien, sans contestation possible, entre la hausse des températures et l’augmentation du CO2 mesuré dans l’atmosphère. Les données récentes réfutent-elles ce lien, ou les anciens modèles doivent-ils simplement être affinés ?

Tout cela nous amène à cette question-clé : jusqu’où la science du changement climatique est-elle « établie » ? De plus en plus d’observateurs arrivent à la conclusion suivante : « Tout n’est pas aussi établi que nous le pensions ! » Tous les scientifiques dignes de crédit reconnaissent que notre planète subit des cycles naturels de variations climatiques, se comptant en milliers d’années. Cependant, il existe de nombreuses méthodes pour mesurer ces variations.

Cela fait seulement 300 ans, que la pollution générée par l’activité humaine est suffisamment importante pour avoir des effets significatifs sur l’environnement mondial. L’influence humaine était négligeable lors des cycles de réchauffement et de refroidissement précédents. Cependant, quel est le « polluant » identifié, par les partisans de l’AGW, comme étant la principale cause du réchauffement de la planète ? Le dioxyde de carbone – produit naturel de la respiration humaine !

Sur quelles bases les scientifiques ont-ils déterminé que les dernières hausses de température étaient causées par l’activité humaine – et que cela conduirait à une catastrophe environnementale ?

En 1988, l’ONU a mis en place le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (le GIEC), avec pour mission la quantification de l’impact environnemental de l’activité humaine. Pendant plus de vingt ans, les scientifiques attachés au GIEC ont travaillé dans une relative opacité, mesurant et analysant les données sur les changements climatiques. Ce groupe international a gardé ses données et ses modèles scientifiques à l’abri des regards, ce qui a conduit les opposants du réchauffement climatique à accuser cette agence d’obstruer la bonne tenue des débats sur ses conclusions, et de favoriser une politique de communication auprès du grand public, au détriment de la démarche scientifique.

Comme d’autres agences de l’ONU, qui ont essuyé des critiques au fil des ans, pour avoir établi des feuilles de route avant d’avoir analysé les faits, le GIEC a récemment dû affronter la controverse publique. En novembre 2009, des emails internes, de l’unité de recherches climatiques de l’Université d’East Anglia, ont été divulgués au public. Dès l’annonce de ce « climat-gate », de nombreuses personnes ont dénoncé l’arrogance, les omissions scientifiques et la mauvaise foi manifeste de certains scientifiques du GIEC dans leur approche du réchauffement de la planète.

Cependant, avant même la diffusion de ces emails, certains médias, qui s’étaient machinalement alignés sur les conclusions du GIEC, commençaient déjà à se poser des questions sur le consensus élaboré par le GIEC. Le 9 octobre 2009, un article de la BBC, publié sur Internet, posait la question suivante : « Que se passe-t-il avec le réchauffement climatique ? » (C’est nous qui traduisons tout au long de cet article.) En citant les preuves récentes du refroidissement de la planète et le rôle de « radiateur » des océans, l’article présentait des théories scientifiques laissant entendre que l’influence du soleil pourrait jouer un rôle bien plus important que prévu. Si cela se confirme, ce serait le démenti le plus cinglant face au célèbre graphique en forme de « crosse de hockey », présenté par Al Gore. Ce graphique faisait coïncider la hausse des températures mondiales avec l’activité humaine et la hausse des niveaux de CO2 rejeté par l’industrie. Dans la pratique, ce scénario tant vanté ne s’est pas déroulé comme prévu !

Mais les scientifiques du GIEC ne voient aucune contradiction entre les preuves du refroidissement de la planète et la mise au point de leurs théories du réchauffement climatique ! Un des climatologues les plus renommés dans le monde, Mojib Latif, chercheur à l’Institut Leibniz des Sciences Marines, a reconnu que nous sommes dans une période de refroidissement mondial qui pourrait encore durer dix à vingt ans, mais il a également insisté sur le fait qu’à la fin de cet épisode de refroidissement, notre planète connaîtrait à nouveau une forte hausse des températures, provoquée par l’activité humaine – qui nous conduira à la catastrophe, sauf si nous réagissons maintenant.

Une modification des changements climatiques ?

Un non-scientifique peut-il s’y retrouver parmi toutes ces contradictions ? Il n’est pas surprenant que les citoyens lambda soient dans la confusion lorsqu’un nombre croissant de scientifiques, sans attaches avec le GIEC, expriment leurs doutes sur le dogme du réchauffement climatique. Souvenez-vous que dans les années 1970, des scientifiques insistaient, avec la même ferveur, sur le « nouvel âge de glace » qui allait bientôt s’abattre sur nous.

Une question simple : la science « dogmatique » des changements climatiques peut-elle être extrapolée à partir de modèles scientifiques ? Il y a de toute évidence des questions sans réponses de part et d’autre du débat. Pourquoi les changements de températures ne suivent-ils pas la hausse du niveau de CO2 ? Existe-t-il d’autres facteurs ayant un impact plus important que le CO2 ? Le dioxyde de carbone est-il le méchant de l’histoire – l’élément essentiel du réchauffement climatique ? Les modèles de changements climatiques peuvent-ils être plus précis ? Le modèle AGW, fondé sur le rôle du CO2 dans la hausse des températures, peut-il être renversé par quelque chose d’autre ? Dans l’affirmative, que pourrait bien être ce « quelque chose d’autre » ?

De plus en plus de scientifiques s’accordent à dire que les modèles de prédiction climatologique assistée par ordinateur devraient prendre en compte un grand nombre de paramètres supplémentaires pour être fiables, des facteurs comme l’interaction avec le champ magnétique du soleil, les déplacements des courants marins et leurs cycles de température, ainsi que les mécanismes de rétroaction des gaz à effet de serre, les plus importants et les plus présents dans notre atmosphère – la vapeur d’eau contenue dans les nuages. Tous ces facteurs pourraient annuler les effets de la hausse du CO2. Toutes ces interactions sont excessivement complexes et ont besoin d’être mieux comprises.

Officiellement, l’impact du soleil est considéré comme nul dans les changements climatiques actuels. Dans un immense consensus environnemental, politiquement correct et (supposé) scientifique, personne ne regarde dans cette direction. Ils veulent croire que l’humanité est responsable ! Cette théorie leur semble acceptable. Mais en étudiant minutieusement le sujet, il apparaît que les faits ne confirment pas vraiment cette théorie.

Dans son ouvrage World in 2010 (Le monde en 2010), le très respecté magazine The Economist prédit que le soleil pourrait surprendre les scientifiques (page 153) ; car nous ne comprenons pas suffisamment le fonctionnement des tâches solaires. De 1645 à 1715, bien avant l’ère industrielle, il y eut une période de 70 ans de faible activité des tâches solaires – appelée le minimum de Maunder, en hommage au spécialiste des tâches solaires, Edward Maunder. Cette période coïncide avec une série d’hivers exceptionnellement froids dans l’hémisphère nord. Les graphiques comparant l’activité des tâches solaires et la température de la terre présentent de très fortes ressemblances – bien plus que ceux alliant le CO2 et la température. Parallèlement, on a récemment observé que l’activité des tâches solaires était à un niveau minimum, indiquant un refroidissement du soleil. The Economist annonce la couleur : « Que se passe-t-il lorsque le réchauffement de la planète rencontre le refroidissement du soleil ? Le débat sera brûlant ».

Un grand enjeu pour l’humanité

Pourquoi ce débat brûlant est-il si important ? Selon l’Agence Internationale de l’Energie, le coût pour réduire de moitié les émissions de CO2 à l’horizon 2050 est estimé à 45.000 milliards de dollars, soit l’équivalent des deux tiers du produit intérieur brut annuel mondial. Mais qui paiera cet énorme effort pour empêcher le monde et sa complexe biodiversité d’être brûlés par ses propres émissions de CO2 ? Vous, moi, tout le monde. Chacun de nous en paiera les conséquences, et les pays les plus pauvres souffriront encore plus.

Et si le CO2 n’est pas la cause principale du changement climatique, alors le monde devient fou en dépensant des sommes d’argent inconcevables pour lutter contre l’AGW ; des sommes qui pourraient être utilisées pour résoudre d’autres problèmes sans rapport avec le climat. Certains diraient que c’est une folie !

Mais cet amalgame de facteurs influant sur la météo et le climat nous amène à une réflexion plus profonde, souvent balayée d’un revers de manche. Il existe une autre raison-clé de croire que l’avenir ne ressemblera pas aux descriptions relayées par les médias.

Les lecteurs du Monde de Demain apprécient la perspective biblique présente dans toutes nos publications. Notre approche est radicalement différente. Notre modèle et notre vision du monde ne rejettent pas la science, mais ils sont toujours articulés autour de Dieu. Cette perspective nous permet de comprendre les problèmes climatiques, indépendamment des machinations et des erreurs de la climatologie.

La Bible déclare que les cieux et la terre ont été créés par Dieu. L’univers, avec ses corps célestes, ses lois qui les régissent et qui déterminent leur activité, a été instauré par Dieu Lui-même (Ésaïe 40 :25-26 ; 42 :5). Dieu a créé la terre et ses conditions de vie (Genèse 1).

Dieu a créé l’humanité à Son image et à Sa ressemblance dans un but transcendant (Genèse 1 :26-28 ; 2 Pierre 1 :3-4). Il est important de noter que Dieu a conçu la terre afin qu’elle puisse servir d’habitat à l’humanité, pour accomplir Son dessein. Il a aussi promis de maintenir cet habitat jusqu’à ce que Son but soit atteint (Jérémie 31 :35-36, 33 :20-21, 25-26 ; Genèse 1 :14-18 ; 8 :21-22 ; 9 :9-17). La surprenante réalité (car nous l’avons oublié ou n’en n’avons jamais été informé) est que Dieu est en charge du soleil et de toutes les forces qui régissent le climat de notre planète.

Dieu contrôle le temps (Ésaïe 41 :17-20) ! Avoir un climat équilibré fait partie des bénédictions divines (Lévitique 26 :3-5 ; Deutéronome 28 :12 ; Ésaïe 43 :19-21 ; 44 :2-4). Mais Dieu utilise divers moyens, dont le climat, pour amener les pécheurs à la repentance et à se tourner vers Lui (Lévitique 26 :19-20 ; Deutéronome 28 :22-24). Dans les descriptions du Royaume millénaire du Christ sur terre, nous voyons que la topographie et le climat connaîtront de grands changements, le désert « fleurira comme un narcisse » et « des eaux jailliront dans le désert » (Ésaïe 35 :1-2, 6). Cela impliquera d’immenses changements climatiques.

Un des plus grands commandements, donné par Dieu aux êtres humains, est « de cultiver et de garder » la terre (Genèse 2 :15) ; d’y faire attention, d’en prendre soin et de ne pas en abuser. Mais l’humanité s’est détournée de tous les aspects du dessein de Dieu. Ainsi, nous polluons, nous surexploitons et nous abusons des ressources abondantes, mais pas infinies, de notre planète. Nous vivons d’une manière immorale et destructive, en brisant les relations humaines, en nous combattant, en faisant la guerre, et en piétinant le mode de vie que Dieu voudrait nous voir mener.

Que l’humanité soit responsable ou non du réchauffement de la planète, nous n’avons aucune excuse pour justifier la pollution, ainsi que la destruction insensée et incontrôlée des forêts et des habitats naturels, qui menace la survie de la biodiversité de la planète. De plus, la question suivante mérite d’être posée : en sachant que les ressources ne sont pas illimitées et en connaissant les limites des gouvernements hu-mains, une population de bientôt sept milliards d’habitants peut-elle espérer vivre dans la même société de consommation que les quelques centaines de millions de gens des nations occidentales, des gens qui prennent ce mode de vie pour acquis ? L’inégalité est-elle inévitable ? Ou bien l’Occident devra-t-il diminuer son niveau de vie, pour permettre au reste du monde d’élever le sien ?

Y aura-t-il suffisamment d’énergie, d’eau, de nourriture et de ressources, pour satisfaire une demande insatiable ? À moins que la compétition pour ces ressources rares conduise inévitablement à créer des conflits entre les nations (Matthieu 24 :7) ?

Quelles que soient les conclusions sur la responsabilité des hommes dans le réchauffement de la planète, nous ne pouvons nier que, dans l’ensemble, notre société a ignoré et même rejeté le mode de vie que Dieu a établi pour nous. Nous avons rejeté Ses lois, en préférant faire honneur aux lois de la science, considérées comme la seule solution à nos problèmes. Dieu déclare que ce rejet est un péché (1 Jean 3 :4). Dieu nous appelle tous au repentir, à nous détourner de notre mode de vie impie pour embrasser la voie de la justice qui est définie dans Sa parole – la Bible. Au lieu de faire une fixation sur des « prophéties » inexactes basées sur des modèles scientifiques inadaptés, nous devrions davantage prêter attention aux prophéties infaillibles de Dieu, révélées dans les Écritures

Des changements climatiques “théogéniques”

Très peu de gens comprennent les prophéties bibliques et connaissent le facteur essentiel des changements climatiques et du temps imprévisible de notre planète. Afin de châtier les êtres humains, pour qu’ils voient leurs erreurs et deviennent humbles, Dieu utilise parfois le climat. Cela ne signifie pas que le mauvais temps, ou les mouvements des plaques tectoniques, sont systématiquement une punition divine contre les pécheurs. Mais, il ne fait aucun doute que Dieu utilise et utilisera les événements climatiques pour accomplir Son dessein. Quand cela se produit, nos meilleurs modèles climatiques calculés par ordinateur peuvent-ils prédire quelque chose ? Absolument pas ! C’est au-delà de leur capacité. En vérité, le péché et les décisions de Dieu sont une clé essentielle pour comprendre le climat et son impact pour l’humanité.

La Bible révèle que la société humaine atteindra bientôt un point de non-retour, et Dieu devra intervenir pour sauver la situation – pour éviter que l’humanité ne s’autodétruise. Les efforts de l’humanité, pour résoudre ses problèmes fondamentaux sans l’aide de Dieu, continueront d’échouer, mais les Écritures révèlent une formidable nouvelle, elles révèlent que Jésus-Christ reviendra sur terre pour établir le Royaume de Dieu, qui régnera sur la terre (Matthieu 24 :3-13, 21-24, 29-31) ! Les changements climatiques les plus incroyables se produiront lors des événements conduisant à cette époque, afin d’humilier l’humanité rebelle et de préparer l’établissement d’une nouvelle ère de paix et de prospérité, sous la gouvernance généreuse de Jésus-Christ, lorsque les gens apprendront à vivre selon les voies de Dieu (Apocalypse 6 ; 8). L’apôtre Jean a décrit une des interventions spectaculaires de Dieu : « Le quatrième versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu ; les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l’autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire » (Apocalypse 16 :8-9).

L’influence des êtres humains sur leur environnement ne sera rien, comparée à l’intervention massive de Dieu. Quelles que soient les conséquences du réchauffement climatique anthropogénique, c’est l’intervention de Dieu – que nous pourrions appeler le réchauffement climatique théogénique – qui secouera l’humanité d’une manière inimaginable. Cependant, nous ne devons pas avoir peur – Dieu promet de protéger les fidèles chrétiens qui se tournent vers Lui, lors de ces terribles événements (Apocalypse 7). Vous ne pouvez pas empêcher le réchauffement de la planète avec vos seuls efforts, mais vous pouvez vous tourner vers Dieu et améliorer votre mode de vie – dans cette vie physique et pour l’éternité !

AUTRES ARTICLES DANS CETTE REVUE

Voir +