Que signifie le nombre 666 dans la Bible ?

Que signifie le nombre 666 dans la Bible ?

L’un des nombres les plus intrigants et les plus tristement célèbres concerne le sinistre et mystérieux 666. Ce nombre n’apparaît qu’une seule fois dans la Bible, dans le livre de l’Apocalypse. Dans cette vidéo, nous examinerons cinq points clairs de la Bible au sujet de ce nombre.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de ce tableau blanc du Monde de Demain.]

L’un des nombres les plus intrigants et les plus tristement célèbres concerne le sinistre et mystérieux « six cent soixante-six ». Ce nombre n’apparaît qu’une seule fois dans la Bible, dans le livre de l’Apocalypse. Depuis la rédaction de l’Apocalypse par l’apôtre Jean, il y a près de 2000 ans, la signification du nombre six cent soixante-six a fait l’objet de nombreuses spéculations au fil des siècles. Dans cette vidéo, nous nous en tiendrons à l’essentiel et nous nous contenterons de tirer cinq points clairs de la Bible au sujet de ce nombre. Ces points s’appuieront les uns sur les autres, chacun ajoutant plus de détails et de spécificités.

Point n°1 – La Bible montre que certains nombres ont une signification et un symbolisme particuliers

Le meilleur exemple est le chiffre sept, avec sept jours de la semaine, le sabbat étant le septième jour, et les sept Fêtes annuelles. L’Apocalypse décrit sept Églises, sept sceaux, sept trompettes et sept coupes. La Bible contient de nombreux autres exemples de ce chiffre.

Ces exemples et bien d’autres montrent que Dieu utilise le chiffre sept pour symboliser l’achèvement et la perfection. Le six n’est pas utilisé aussi souvent que le sept, mais deux exemples méritent d’être notés :

  1. L’homme fut créé le sixième jour (Genèse 1 :26-31), et
  2. Dans le quatrième commandement, Dieu ordonne à l’homme de travailler pendant six jours, comme Il le fit lorsqu’Il créa les cieux et la Terre, puis de se reposer le septième jour (Exode 20 :8-11).

Nous ne pouvons que spéculer, mais ces exemples suggèrent la possibilité que le chiffre six symbolise l’humanité et le monde actuel, par opposition au monde parfait à venir, que Dieu symbolise par le chiffre sept.

Point n°2 – La sagesse et l’intelligence spirituelles sont nécessaires pour calculer le nombre 666

C’est ce que l’on trouve dans le seul verset qui mentionne le six cent soixante-six. « C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six » (Apocalypse 13 :18). Ce point est important car il explique que les personnes dotées de sagesse et d’intelligence – des attributs qui proviennent de Dieu (Proverbes 2 :6) – seront en mesure de calculer le nombre au moment opportun. Mais à qui Dieu accorde-t-Il la sagesse et l’intelligence ? Le Psaume 111 :10 l’explique : « Le commencement de la sagesse, c’est la crainte de l’Éternel. Tous ceux qui pratiquent ses commandements sont vraiment sages » (Psaume 111 :10, Ostervald).

Ceux, qui éprouvent la crainte de Dieu en respectant profondément Ses commandements et en les observant, sont ceux qui obtiennent Sa sagesse et Son intelligence. Une remarque similaire est faite dans Actes 5 :32 qui explique que Dieu octroie Son Saint-Esprit à ceux qui Lui obéissent.

Un exemple de ce principe dans l’Ancien Testament se trouve dans Daniel 5, où le roi Belschatsar vit la fameuse « écriture sur la muraille ». Cet exemple montre également que Dieu utilise parfois des mots et des chiffres pour transmettre une connaissance cachée qu’Il révèle aux personnes qu’Il choisit. Le message que Belschatsar vit sur la muraille était un puzzle de mots et de chiffres en araméen écrit par une main mystérieuse. Belschatsar fit appel à ses sages et à ses astrologues pour déchiffrer l’inscription, mais ils n’y parvinrent pas. Mais l’un des serviteurs de Dieu, le prophète Daniel, qui avait l’Esprit de Dieu (Daniel 5 :11, 14), put expliquer l’énigme au roi :

« Voici l’écriture qui a été tracée : Compté, compté, pesé, et divisé. Et voici l’explication de ces mots. Compté : Dieu a compté ton règne, et y a mis fin. Pesé : Tu as été pesé dans la balance, et tu as été trouvé léger. Divisé : Ton royaume sera divisé, et donné aux Mèdes et aux Perses […] Cette même nuit, Belschatsar, roi des Chaldéens, fut tué » (Daniel 5 :25-28, 30).

Ce point nous aide à comprendre que nous ne pouvons pas faire confiance à tous les prédicateurs à la télévision et sur YouTube pour expliquer le nombre six cent soixante-six, mais que nous devons nous tourner vers les véritables serviteurs de Dieu qui enseignent et s’appliquent à garder Ses commandements et qui détiennent Son Saint-Esprit.

Point n°3 – 666 est le nombre de la bête

Apocalypse 13 :18 dit que six cent soixante-six est le nombre de la bête. Le verset 17 l’appelle « le nombre de son nom », en référence à la première bête décrite dans Apocalypse 13 :1-8, celle qui monte de la mer. L’explication la plus ancienne sur la signification de six cent soixante-six – le nombre du nom de la bête – est attribuée à Polycarpe, il fut un disciple de l’apôtre Jean qui rédigea l’Apocalypse.

Rappelez-vous, au point n°2, qu’Apocalypse 13 :18 dit aussi que ce nombre est calculé. Comment Polycarpe aurait-il calculé le nombre d’un nom ? Dans l’Antiquité, il était courant d’utiliser des lettres comme chiffres. Par exemple, il est courant d’utiliser les chiffres romains, dont les lettres de l’alphabet latin ont une valeur numérique, comme I qui égale 1, V qui égale 5, et X qui égale 10. La proposition de Polycarpe était que les lettres grecques pour « Lateinos », un terme se référant aux Romains, s’additionnaient pour donner six cent soixante-six. De même, l’expression « le royaume latin » en grec a également une valeur numérique de six cent soixante-six, et les écrivains grecs désignaient souvent l’Empire romain de cette manière. Il est à noter que le livre de l’Apocalypse fut rédigé en grec parce qu’il était destiné aux congrégations d’expression grecque de l’ancienne Asie Mineure.

En utilisant une méthodologie similaire dans laquelle les lettres représentent des nombres, une idée bien connue concerne l’infâme empereur romain Néron (qui est mort environ 25 ans avant que Jean ne rédige l’Apocalypse). Lorsque la forme grecque de son nom est écrite en lettres hébraïques, la valeur numérique est de six cent soixante-six. Ceci est lié au dernier point, car le règne de Néron représente un archétype des prophéties de la fin des temps liées à l’Empire romain.

Une autre explication intéressante au sujet de six cent soixante-six concerne le fondateur de la Rome antique, Romulus. La traduction hébraïque de son nom, Romiith, donne également six cent soixante-six. Ces explications plausibles sont intéressantes dans la mesure où des noms importants se rapportant à l’Empire romain s’additionnent à ce nombre.

Nous n’allons pas entrer dans les détails de l’identité de la bête dans cette, mais en comparant les chapitres 2, 7 et 8 de Daniel avec les chapitres 13 et 17 d’Apocalypse, nous apprenons que la bête qui monte de la mer dans Apocalypse 13 représente le système d’Empires humains issues de Babylone, y compris l’Empire romain et sa dernière résurgence à la fin des temps, dirigée par un puissant chef politique. (Voir nos vidéos sur Daniel 2 et Apocalypse 17 dans la description pour plus d’informations.) La résurgence finale de l’Empire romain concernera une forme d’alliance politique en Europe avec un chef éminent, suivant les traces des résurgences passées de l’Empire romain et de leurs leaders charismatiques.

Point no4 – Le nombre 666 n’est pas précisément la marque de la bête

Apocalypse 13 ne parle pas seulement du nombre de la bête, mais aussi de la mystérieuse marque de la bête :

« Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçoivent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne puisse acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom » (versets 16-17).

Ces versets, ainsi que d’autres, indiquent que la marque de la bête et le nombre six cent soixante-six sont liés d’une certaine manière, bien qu’ils ne soient pas identiques. La marque de la bête est un signe de désobéissance à Dieu, tandis que le nombre six cent soixante-six sera spécifiquement lié à l’identité de la bête, son nom ou le titre qu’elle porte, comme nous le verrons dans notre prochain point. Pour plus de détails sur la marque de la bête, consultez notre vidéo : « Sept faits concernant la marque de la bête ». 

Point no5 – 666 est le numéro du nom ou du titre d’un homme

Relisons Apocalypse 13 :18 : « C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » Ce point indique fortement que le nombre six cent soixante-six se rapportera à un homme spécifique, probablement le leader de la résurgence de l’Empire romain à la fin des temps, qui, dans une certaine mesure, suivra les traces de ses prédécesseurs, tels que Justinien dans les années 500, Charlemagne dans les années 800, Otton le Grand dans les années 900, Napoléon dans les années 1800 et Hitler et Mussolini dans les années 1900. Notez que ces personnages historiques se situaient tous en Europe. Cet individu sera probablement à la tête d’une puissance politique qui émergera en Europe, composée de dix nations ou leaders principaux, représentés par les dix cornes de la bête dans Apocalypse 17 et les dix orteils de la statue de Nebucadnetsar dans Daniel 2.

Satan lui accordera un pouvoir extrême, l’amenant à proférer de grands blasphèmes contre Dieu, ce qui culminera par une adoration et un culte ultimes et mondiaux de cet homme et du diable lui-même, comme le décrit Apocalypse 13 :4 : « Et ils adorèrent le dragon, parce qu’il avait donné l’autorité à la bête ; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? » Son nom ou son titre se rapportera au nombre six cent soixante-six, peut-être de la même manière que les noms de Néron ou de Romulus l’eurent été, comme mentionné précédemment.

Les chrétiens sincères ne devraient pas se focaliser sur le nombre six cent soixante-six, mais devraient adopter une approche de patience, de sagesse et de compréhension. Il est bien plus important, d’ici à la montée de la bête, de rechercher la sagesse et l’intelligence qui viennent de l’obéissance à Dieu et de la mise en pratique de Ses commandements.

Pour avoir un exposé détaillé des prophéties dans Daniel et l’Apocalypse concernant la bête, commandez un exemplaire gratuit de notre brochure La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?

Pourquoi le livre d’Hénoch ne fait-il pas partie de la Bible ?

Tableau blanc : Pourquoi le livre d’Hénoch ne fait-il pas partie de la Bible ?

Vous avez probablement entendu parler du livre d’Hénoch. Certains le qualifient de « livre manquant » de la Bible et soutiennent qu’il faut le lire pour avoir une compréhension complète de la Bible. Dans cette vidéo, nous allons effectuer trois tests pour vérifier si le livre d’Hénoch devrait avoir sa place dans la Bible.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de ce tableau blanc du Monde de Demain.]

Vous avez probablement entendu parler du livre d’Hénoch. Certains le qualifient de « livre manquant » de la Bible et soutiennent qu’il faut le lire pour avoir une compréhension complète de la Bible. Dans cette vidéo, nous allons effectuer trois tests pour vérifier si le livre d’Hénoch devrait avoir sa place dans la Bible. Comme toujours, nous vous encourageons à ne pas vous contenter de nous croire, mais à vérifier ce que nous enseignons dans les pages de votre propre Bible. Tout d’abord, nous testerons la crédibilité de son contenu. 

Test n°1 : Le livre d’Hénoch a-t-il une crédibilité historique ?

Le livre parle de géants dont certains mesuraient jusqu’à 3000 aunes. En utilisant un moteur de recherche en ligne pour convertir 3000 aunes en mètres, nous parlons de géants qui auraient mesuré 3429 mètres (bien que les définitions de ces mesures varient). Le bâtiment le plus haut du monde est le Burj Khalifa, situé à Dubaï, qui mesure 828 mètres de haut.

Ces géants auraient été quatre fois plus grands ! Il est évident qu’il n’existe aucune preuve historique ou archéologique d’une race d’êtres humains de plus de trois kilomètres de haut déambulant sur la Terre. Le livre d’Hénoch manque de crédibilité dans la réalité et n’a pas de sens.

Test n°2 : Le livre d’Hénoch est-il en accord avec la Bible ?

Examinons trois déclarations du livre d’Hénoch et voyons si elles concordent avec la Bible. Premièrement, le livre d’Hénoch affirme (et je cite) : « Pas un ange ne pouvait entrer et voir la face du Glorieux et du Magnifique, et aucun être de chair ne pouvait le regarder » (Livre d’Hénoch [éthiopien], chapitre XIV, traduction de François Martin, etc. 1906).

Cependant, Apocalypse 7 :11 déclare : « Et tous les anges se tenaient autour du trône, des vieillards et des quatre êtres vivants, ils se prosternèrent sur leur face devant le trône, et ils adorèrent Dieu ». De plus, Jésus explique dans Matthieu 18 :10 : « Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits ; car je vous dis que leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux. »

Deuxièmement, l’auteur du livre d’Hénoch affirme ce qui suit : « Et moi, Hénoch, moi seul, j’ai vu la vision, la fin de tout ; et aucun homme ne verra comme moi j’ai vu » (Livre d’Hénoch [éthiopien], chapitre XIX, traduction de François Martin, etc. 1906). Pourtant, le Nouveau Testament contient des visions de la fin des temps. Rappelons les visions données par Dieu à l’apôtre Jean, consignées pour nous dans le livre de l’Apocalypse.

Troisièmement, le livre d’Hénoch affirme que « les anges […] se sont unis aux femmes […] pour qu’ils les fécondent, et qu’ils en aient des enfants » (Livre d’Hénoch (éthiopien), chapitre XV, traduction de François Martin, etc. 1906). Pourtant, Jésus Lui-même dit, en expliquant ce que sera la vie éternelle des saints ressuscités, que « les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel » (Matthieu 22 :30). En d’autres termes, Jésus déclara sans ambages que les anges ne se marient pas. Ce ne sont là que trois exemples dans lesquels le livre d’Hénoch est en contradiction avec les Écritures. Ce qui nous amène à notre troisième test. 

Test n°3 : Qui a écrit le livre d’Hénoch ?

Ne soyez pas leurré par le nom du livre. Tout au long de l’Histoire, de nombreux imposteurs ont écrit des lettres au nom d’hommes et de femmes de la Bible. L’apôtre Paul met en garde contre de tels individus dans 2 Thessaloniciens 2 :2. Ces faux ouvrages sont appelés pseudépigraphes. Le terme « pseudépigraphe » vient du grec signifiant « qui porte faussement le titre de ».

Les deux principales caractéristiques des textes pseudépigraphiques sont :

  1. Qu’ils furent rédigés pendant une période de plus ou moins 200 ans après la naissance de Jésus-Christ, et
  2. Qu’ils portent faussement le titre en prétendant avoir été rédigés par un personnage biblique, probablement dans le but d’asseoir leur crédibilité, alors qu’ils ne furent pas du tout écrits par ces personnages bibliques (dans ce cas, Hénoc), mais plutôt par des imposteurs.

Certains affirment que Jude, aux versets 14-15, cite le livre d’Hénoch et que cela démontre donc que ce livre devrait faire partie de la Bible :

« C’est aussi pour eux qu’Hénoc, le septième depuis Adam, a prophétisé en ces termes : Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades, pour exercer un jugement contre tous, et pour faire rendre compte à tous les impies parmi eux de tous les actes d’impiété qu’ils ont commis et de toutes les paroles injurieuses qu’ont proférées contre lui des pécheurs impies » (Jude 1 :4-15).

Ce passage est très similaire à un passage contenu dans le livre d’Hénoch. Cependant, on remarquera que Jude ne mentionna pas un livre d’Hénoch. Jude n’a pas déclaré : « le livre d’Hénoch dit ». Au lieu de cela, il cita une prophétie d’Hénoc qui, bien qu’elle ne soit pas consignée ailleurs dans la Bible, faisait partie des connaissances et des traditions orales transmises à l’époque. Rien ne prouve que Jude citait le livre d’Hénoch, et le livre d’Hénoch lui-même aurait très bien pu citer autre chose ressemblant à ce passage.

Donc comment reconnaître un imposteur ? Il est possible que l’imposteur qui rédigea le livre d’Hénoch se soit renseigné et qu’il ait eu connaissance de certains faits réels concernant le véritable Hénoc. La plupart des érudits réputés s’accordent à dire que l’Hénoc de Genèse 5 n’est pas l’auteur du livre qui porte son nom à une lettre près.

En raison de ces preuves, il est largement admis que le livre d’Hénoch ait été écrit des millénaires après l’époque du véritable Hénoc (Genèse 5 :24). Le livre d’Hénoch, qui fait partie des écrits pseudépigraphiques et dont l’une des caractéristiques principales est de revendiquer faussement Hénoc comme auteur, échoue au test de la paternité. L’auteur, qui ment sur son identité, se révèle être un imposteur.

Quel est donc le rapport entre le livre d’Hénoch et la Bible ? Il ne s’y rattache pas. Il n’a aucune crédibilité historique et sa revendication d’Hénoc en tant qu’auteur est un mensonge. En bref, suivez l’avertissement de Paul « de ne pas vous laisser troubler, soit par quelque inspiration, soit par une parole, ou par une lettre qui semblerait venir de nous » (2 Thessaloniciens 2 :2). Tenez-vous-en plutôt à la parole inspirée de Dieu.

Pour apprendre comment le texte biblique a été fidèlement préservé à travers les siècles, commandez un exemplaire gratuit de notre brochure La Bible : Réalité ou fiction ?

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Le pouvoir de l’allaitement



Selon une nouvelle étude israélienne, « les enfants qui sont nourris au sein pendant de longues périodes au cours de la petite enfance présentent moins de retards de développement et un risque réduit de troubles neurodéveloppementaux, y compris des troubles tels que l’autisme et le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité » (StudyFinds, 24 mars 2025). En bref, « l’allaitement des bébés pendant au moins six mois semble favoriser leur développement ».

L'Europe prépare ses citoyens à la guerre



Dans des lignes directrices récemment publiées, la Commission européenne avertit les citoyens qu’ils doivent commencer à collecter de la nourriture et de l’eau pour une durée d’au moins trois jours (fr.euronews.com, 26 mars 2025).

Les petits secrets bien gardés de l’évolution

La théorie de l’évolution par la sélection naturelle, publiée pour la première fois il y a plus d’un siècle par Charles Darwin, est considérée comme l’une des théories scientifiques les plus significatives au cours de l’Histoire. Son impact sur la vie moderne – dans pratiquement tous les domaines de la connaissance – serait en effet difficile à mesurer. Mais est-elle réelle ? Rejoignez-nous dans cet épisode du Monde de Demain où nous dévoilerons quelques-uns des petits secrets bien gardés de l’évolution.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

La théorie de l’évolution par la sélection naturelle, publiée pour la première fois il y a plus d’un siècle par Charles Darwin, est considérée comme l’une des théories scientifiques les plus significatives au cours de l’Histoire. Son impact sur la vie moderne – dans pratiquement tous les domaines de la connaissance – serait en effet difficile à mesurer.

Mais est-elle réelle ? Nombreux affirmeront : « Bien sûr ! L’évolution a été prouvée des milliers de fois ! Les preuves dont nous disposons en font un fait de la nature ! » Les preuves remontant à 1859 sont-elles vraiment si fiables ? La théorie de l’évolution est-elle vraiment indéniable ? Eh bien, non, ce n’est pas le cas. Aujourd’hui, nous allons lever le voile sur certains faits que de nombreux évolutionnistes préféreraient que vous ne connaissiez pas.

Rejoignez-nous dans cet épisode du Monde de Demain où nous dévoilerons quelques-uns des petits secrets bien gardés de l’évolution.

Bienvenue au Monde de Demain, où nous vous aidons à comprendre votre monde à travers les pages de la Bible. Notre sujet d’aujourd’hui peut sembler très éloigné de la Bible : la théorie de l’évolution. C’est peut-être l’une des théories scientifiques les plus significatives au cours de l’Histoire, avec un impact incommensurable sur la science, la philosophie, l’éducation, la politique et même la religion. Beaucoup de voix influentes nous assurent que la véracité de cette théorie est prouvée, qu’aucune personne intelligente ou éduquée n’oserait la remettre en question.

Eh bien, aujourd’hui, nous allons oser la remettre en question. Car si l’évolution fait bonne figure, elle renferme une longue liste de petits secrets bien gardés dont vous n’avez pas l’habitude d’entendre parler dans les salles de classe ou dans les émissions télévisées. Et plus on en apprend sur ces lacunes de l’évolution, plus on se demande pourquoi tant de gens font confiance à une idée qui n’a pas encore été prouvée.

Il s’agit d’un sujet vaste, et nous ne ferons que l’effleurer aujourd’hui. Commençons par vérifier ce que nous entendons par le terme « évolution ». En affirmant que la vie a commencé il y a très longtemps, sous une forme beaucoup plus simple, peut-être celle d’une bactérie microscopique, la théorie de l’évolution affirme qu’au cours de millions, voire de milliards d’années, la lutte pour la survie a octroyé des variations minimes et aléatoires chez les descendants de cette première forme de vie – des variations qui leur ont donné un avantage, peut-être le fait de trouver leur alimentation plus rapidement ou de se reproduire avec plus de réussite – tout en punissant les autres descendants chez qui ces adaptations aléatoires entravèrent leur survie.

L’évolution déclare qu’à travers ce processus simple, naturel, dénué d’intelligence et sans direction – une sélection naturelle basée sur des variations aléatoires – pendant des milliards d’années, ces organismes bactériologiques microscopiques devinrent l’époustouflante variété de vies que nous voyons autour de nous, y compris les êtres humains, sans que l’intervention d’un Concepteur ou d’un Créateur ne soit nécessaire.

Il n’y a pas longtemps, la célèbre maison d’enchères britannique Sotheby’s a mis en vente une lettre manuscrite de Charles Darwin, écrite en 1865, défendant la théorie de l’évolution qu’il avait expliquée en 1859 dans son ouvrage intitulé L’origine des espèces au moyen de la sélection naturelle ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie. L’enchère victorieuse s’éleva à 719.000 £ (soit 810.000 € ou presque 1,2 million de dollars canadiens).

Pourquoi un simple feuillet a-t-il atteint un tel prix ? Plusieurs facteurs entrent en jeu, mais le rôle emblématique de Darwin dans l’histoire humaine est probablement le plus important. Sotheby’s qualifia L’origine des espèces de Darwin comme « un des plus grands aboutissements de la découverte scientifique ». L’historien des sciences Bern Dibner écrivit que ce livre est « l’ouvrage le plus important de l’histoire des sciences » (Heralds of Science, 1955, p. 62, cite dans les collections Aristophil, catalogue Drouout, Aguttes, p. 72).

Assurément des louanges très élevées. Mais est-ce exact ? La théorie de l’évolution est-elle vraiment indéniable ? Si toutes les formes de vie que nous connaissons de nos jours sont le résultat d’un processus aveugle, alors oui, l’ouvrage de Darwin est un gigantesque accomplissement dans l’histoire humaine, une découverte monumentale qui place l’homme à sa place, qui n’aurait rien de spécial ni de remarquable, juste une forme de vie aléatoire sur une planète quelconque et sans finalité. Si cette théorie est véridique, alors la vie n’aurait aucun sens.

Encore une fois… si cette théorie est véridique. Beaucoup clament haut et fort que la théorie de l’évolution est réelle. Le défenseur de l’évolution Jerry Coyne l’a écrit dans son livre Évolution – les preuves :

« L’évolution est un fait. Loin de jeter le doute sur le darwinisme, les données rassemblées par les scientifiques au cours des 150 dernières [années] conspirent toutes à le confirmer. Elles montrent que l’évolution a eu lieu et qu’elle s’est déroulée en grande partie de la manière dont Darwin l’avait proposé, suivant les mécanismes de la sélection naturelle » (Évolution : les preuves, Jerry Coyne, édition Markus Haller, p. 15-15, traduction Florian Cova).

En fait, beaucoup de gens veulent que l’évolution soit véridique. La théorie de Darwin est devenue une échappatoire pour ceux qui espèrent expliquer la formidable diversité et complexité de la vie en l’absence d’un Créateur. Comme le biologiste Richard Dawkins l’a écrit : « C’est grâce à Darwin que l’athéisme a pu être une solution pleinement satisfaisante pour l’intellect » (L’horloger aveugle, Richard Dawkins, éditions Robert Laffont, p. 21, traduction Bernard Sigaud).

A-t-il raison ? Encore une fois, la réponse est « oui », mais à condition que la preuve ait été faite que l’évolution soit véridique. Or, ce n’est pas le cas.

Malgré les allégations disant que toutes les preuves soutiennent l’évolution, la vérité est que cette théorie renferme un grand nombre de petits secrets bien gardés dont les programmes scolaires et scientifiques ne parlent pas ouvertement.

Secret n°1 : la structure unicellulaire discrédite la théorie de l’évolution

Le premier petit secret est que la structure unicellulaire la plus simple et la plus basique discrédite la théorie de l’évolution. À l’époque de Darwin, les scientifiques savaient peu de choses sur les cellules. Des organismes unicellulaires comme les amibes furent décrits par George Henry Lewes, un contemporain de Darwin, telle « une masse microscopique à la substance semblable à de la gelée, ou du protoplasme […] entièrement dénué de texture et, par conséquent, dénué d’organes » (Problems of Life and Mind, 1887, p. 38).

Dans d’autres cellules, comme celles du corps humain, il est possible d’observer un noyau, mais son but était un mystère et la cellule semblait généralement n’avoir aucune particularité, car presque aucun détail n’était visible.

À cette époque, lorsque l’unité de vie la plus simple et la plus petite semblait aussi basique – un morceau de gelée avec quelques fonctions inintéressantes – il était facile d’imaginer que, d’une manière ou d’une autre, quelque chose puisse avoir lieu dans cette mystérieuse gelée « générant de la vie ». Mais avec l’amélioration des microscopes et de la technologie, il est devenu possible de percer les secrets à l’intérieur des cellules. Nous avons alors découvert que cette substance basique « semblable à de la gelée » était constituée d’une machinerie complexe et d’une fonctionnalité à couper le souffle, d’une ingénierie remarquable et d’une conception magistrale.

Par exemple, environ un milliard de réactions chimiques ont lieu chaque seconde dans une cellule humaine. Ces réactions chimiques ne sont pas aléatoires. Chaque cellule humaine contient des dizaines de milliers de protéines, elles-mêmes de milliers de variétés différentes – des machines moléculaires conçues pour travailler ensemble afin d’atteindre des objectifs spécifiques, manipulant leur environnement pour créer de nouvelles structures ou pour démanteler d’anciennes structures dans une danse dynamique de complexité qui, en comparaison, ferait passer une navette spatiale pour un engin archaïque.

Dans la ressource gratuite d’aujourd’hui, nous incluons un diagramme d’une protéine motrice utilisée par certaines bactéries pour se déplacer, composée de 78.216 atomes différents. Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres montrant la vaste complexité de la machinerie cellulaire que Darwin et ses contemporains n’auraient même pas osé imaginer.

La vie serait impossible sans ces machines complexes et le moindre changement évolutif hypothétique impliquerait une modification de celles-ci, voire la création de nouvelles machines.

Le biochimiste Douglas Axe a examiné la probabilité qu’une seule protéine, accomplissant une fonction significative, puisse se former par hasard. Son estimation est de 1 sur 1064, c’est-à-dire un 1 suivi de 64 zéros. Avec sa collègue Ann Gauger, Axe a exploré la possibilité qu’une protéine évolue depuis une autre protéine similaire, impliquant des changements minimes de l’ADN. Avec les taux de mutation actuellement compris, ils ont trouvé qu’il faudrait 1027 années pour qu’un tel changement ait lieu, c’est-à-dire un 1 suivi de 27 zéros.

À titre de comparaison, le consensus de la communauté scientifique établit que notre Univers serait vieux de 13,7 milliards d’années. Songez qu’un milliard est un 1 suivi de seulement neuf zéros. Autrement dit, l’existence des protéines ne peut pas se produire sans une intervention intelligente.

Même la structure unicellulaire la plus simple et la plus basique discrédite la théorie de l’évolution.

Secret n°2 : l’ADN représente un système de codification abstrait qui implique une intelligence supérieure

La nature de l’ADN, la molécule que je viens de mentionner, est un autre petit secret bien gardé de l’évolution, car l’ADN représente un système de codification abstrait qui implique une intelligence supérieure.

L’acide désoxyribonucléique, ou ADN, était inconnu à l’époque de Darwin, or il a la responsabilité de véhiculer les informations nécessaires pour construire chacune des protéines rendant la vie possible. Chaque noyau de chaque cellule dans le corps humain contient environ deux mètres d’ADN entassés dans un point microscopique. Chacun d’entre eux contient les informations nécessaires pour vous construire.

L’ADN utilise des paires de bases, combinant quatre composés, qui agissent comme les 0 et les 1 dans un code informatique, donnant à notre machinerie cellulaire les informations détaillées nécessaires pour construire les protéines complexes nécessaires à la vie. Les protéines lisent notre code ADN et, en fonction de cette information, assemblent de nouvelles protéines à partir d’acides aminés séquencés avec précision. Ainsi, chaque cellule est une usine chimique complexe, créant une machinerie nanoscopique conçue dans un but précis, ainsi que certains des composés chimiques les plus complexes de tout l’Univers.

Mais quelle est l’origine de cette information, de ce code de programmation abstrait ? L’évolution ne peut pas s’attribuer ce mérite, puisqu’elle ne serait qu’un processus aveugle et sans objectif. Et d’où vient l’ADN ? Vous ne pouvez pas construire des protéines sans ADN, or l’ADN lui-même est formé par des protéines.

La découverte de l’ADN aurait dû être un grand succès pour l’évolution : le secret révélant finalement comment les caractéristiques de la vie sont transmises à nos descendants. Mais l’ADN s’est avéré être une catastrophe pour l’évolution. L’idée d’une molécule massive, riche en informations, contenant un code de programmation abstrait et permettant de maintenir et d’organiser l’information nécessaire pour construire la machinerie complexe de la vie est incompatible avec l’idée évolutionniste affirmant que la vie est devenue complexe au travers de processus naturels aveugles et dénués d’informations.

Les évolutionnistes ne peuvent pas nier que l’ADN représente un système de codification abstrait qui implique une intelligence supérieure.

Secret n°3 : les lacunes dans les fossiles découverts n’ont cessé de croître depuis l’époque de Darwin

Notre prochain secret bien gardé de l’évolution nous permet de renvoyer la balle. Le secret est que les lacunes dans les fossiles découverts n’ont cessé de croître depuis l’époque de Darwin, au lieu de diminuer.

La théorie de l’évolution dépend de l’accumulation lente et progressive de légères variations, tandis que de grands « bonds » impliqueraient qu’il y ait un concepteur ou un planificateur. Selon l’évolution, le résultat devrait montrer une transition régulière dans les fossiles : des animaux se « transformant » graduellement, presque imperceptiblement, en de nouvelles espèces à travers des changements minimes et progressifs.

Mais ce n’est pas ce que montrent les fossiles retrouvés. Au lieu d’observer une transition progressive et régulière entre les créatures, nous voyons des lacunes, ou des chaînons manquants, entre les différentes espèces animales. Les lacunes ont persisté, comme Michael Denton l’a fait remarquer dans son ouvrage précurseur Évolution : Une théorie en crise :

« Comme nous le rappelle Steven Stanley dans son récent livre Macroévolution, l’image globale de la vie sur Terre est à tel point discontinue, les fossés entre les types tellement évidents, que si nos connaissances en biologie s’arrêtaient aux espèces actuellement existantes “nous devrions nous demander si la doctrine de l’évolution n’est pas autre chose qu’une hypothèse excessive”. Sans formes transitoires pour combler les énormes fossés qui séparent les espèces et les groupes d’organismes existants, on ne pourrait pas vraiment envisager le concept d’évolution comme une hypothèse scientifique » (Évolution : Une théorie en crise, Michael Denton, éditions Flammarion, p. 163-164, traduction Nicolas Balbo).

Bien entendu, des semblants de lignes « continues » de progression évolutive sont souvent présentées pour prétendre que les lacunes ne sont pas aussi problématiques qu’elles en ont l’air. Par exemple, vous verrez des séquences théoriques pour l’évolution des baleines, des chevaux et même des humains. Non seulement ces séquences sont trompeuses et n’apportent pas de preuves, mais si l’évolution était réelle, de telles séquences seraient la norme, pas l’exception.

Ironiquement, les évolutionnistes accusent souvent les croyants d’avoir foi en un « Dieu des lacunes » qui effectuerait par magie tout ce qu’ils n’arrivent pas à expliquer. Cependant, les lacunes inexplicables dans les fossiles – le poil à gratter de l’évolution depuis plus de 150 ans – renvoient la balle aux évolutionnistes et exposent le fait qu’ils doivent exercer une foi aveugle et croire à leur propre « dieu des lacunes », ou plus précisément à leur « Darwin des lacunes ».

Secret n°4 : l’évolution n’offre aucune explication crédible montrant comment de nouveaux organes peuvent se former

Pour découvrir le dernier secret bien gardé, tout ce dont vous avez besoin est de regarder vos yeux dans un miroir. Ils sont un défi remarquable à l’évolution, car celle-ci n’offre aucune explication crédible montrant comment de nouveaux organes peuvent se former.

Dans les Psaumes, le roi David loue Dieu et s’adresse à son Créateur : « Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse » (Psaume 139 :14). Nous constatons une facette de cet émerveillement dans les organes du corps, comme l’œil.

Après tout, les organes représentent non seulement des tissus spécialisés, mais aussi des systèmes interconnectés – souvent une imbrication de systèmes – finement ajustés et parfaitement structurés pour travailler ensemble. S’il manque un seul élément, l’ensemble de la structure peut tomber en panne. L’amélioration de l’organe impliquerait que chaque pièce ou chaque élément évolue conjointement avec toutes les autres pièces. Cela requiert un niveau de coordination que l’évolution est totalement incapable d’atteindre.

Il n’y a pas très longtemps, le journal britannique The Guardian résuma ce problème dans un article. Celui-ci commençait avec l’explication traditionnelle de l’évolution de l’œil. Il s’agit de la théorie donnée depuis plusieurs décennies par des milliers d’enseignants à d’innombrables étudiants. Ils expliquent que, pour une raison ou une autre, les animaux qui ont des cellules sensibles à la lumière ont connu une série de légères mutations leur conférant des avantages croissants de survie. Peut-être qu’une légère excavation de la chair autour des cellules a aidé à focaliser la lumière et, au fil du temps, une protection transparente a fini par sceller cet espace afin de devenir lentement une lentille. Puis, les muscles ont réussi à mieux configurer cette lentille et à lui permettre d’en régler la focale. L’article continue :

« C’est l’histoire basique de l’évolution, comme le rapportent d’innombrables manuels et best-sellers de vulgarisation scientifique. Le problème, selon un nombre croissant de scientifiques, est que c’est ridiculement grossier et trompeur.  

D’une part, [cette hypothèse] prend l’histoire en cours de route, tenant pour acquis l’existence des cellules photosensibles, des lentilles et des iris, sans expliquer d’où ils viennent en premier lieu. Cela n’explique pas non plus comment des composants aussi délicats, et facilement perturbables, se sont harmonisés pour former un organe distinct. Et cette théorie traditionnelle ne se heurte pas qu’aux yeux. Comme l’explique Armin Moczek, biologiste à l’université de l’Indiana : “Le premier œil, la première aile, le premier placenta. La façon dont ils apparaissent. Expliquer cela est la motivation fondamentale de la biologie évolutionniste” » (“Do we need a new theory of evolution”, The Guardian, 28 juin 2022).

En bref, l’évolution promet de pouvoir expliquer comment notre corps et nos organes, précisément organisés et remarquablement fonctionnels, sont supposés s’être formés graduellement pendant des millénaires, mais en réalité, elle n’en a aucune idée.

Le fait que l’évolution n’offre toujours pas une explication valable montrant comment de nouveaux organes peuvent se former est un petit secret bien gardé qui détruit une théorie développée depuis plus de 160 ans.

Le seul point de départ possible

Je sais que Le magicien d’Oz est un classique, mais je ne suis pas particulièrement amateur de cette histoire. Lorsque je l’ai vu pour la première fois, je n’étais qu’un petit enfant et, franchement, j’avais trouvé les singes ailés plutôt effrayants !

Mais en grandissant, une scène que j’aime beaucoup resta dans ma mémoire. Elle se situe vers la fin du film, lorsque Dorothée et son groupe confrontent le terrifiant magicien d’Oz car il n’a pas tenu ses promesses. Des flammes jaillissent, le tonnerre gronde et le magicien leur parle sous la forme d’une énorme et monstrueuse tête verte qui les surplombe, en leur criant : « N’irritez pas le grand et redoutable Oz ! »

Dans le même temps, Toto, le chien de Dorothée, s’écarte vers la gauche et tire un rideau vert afin de révéler un vieil homme aux cheveux blancs utilisant une machine pour créer l’illusion qu’ils étaient tous en train de regarder et parlant dans un microphone pour amplifier sa voix et la rendre vraiment terrifiante.

Mon moment favori est lorsque le vieil homme regarde dans leur direction, se rend compte qu’ils peuvent le voir, mais se tourne à nouveau vers le microphone et demande : « Ne faites pas attention à cet homme derrière le rideau ! »

Les forces déployées pour convaincre les gens de ne pas remettre en question la théorie de l’évolution sont très similaires. Il y a du tonnerre et des flammes, des proclamations impressionnantes à propos des « preuves », et beaucoup de théâtre destiné à vous faire penser qu’il n’y pas l’ombre d’un doute.

Mais comme le magicien d’Oz, l’évolution n’a pas tenu ses promesses. Cette théorie promet une explication de vos origines, une explication qui n’a besoin ni de Dieu ni d’une intelligence quelconque, juste d’un microbe initial, d’un processus naturel et aveugle, et de quelques milliards d’années.

Nous devons avoir la volonté d’ouvrir le rideau, de ne pas être impressionnés par tout ce théâtre. Nous devons avoir le courage de remettre en question ce qui nous est présenté et nous devons être suffisamment forts pour décrier l’évolution car elle ne tient pas ses promesses.

Pour faire référence à une autre fiction, ce fut peut-être difficile le jour où vous avez appris que le Père Noël n’existait pas, mais cette prise de conscience vous a fait avancer dans le monde réel et vous a éloigné d’un monde imaginaire.

Reconnaître les petits secrets bien gardés de l’évolution peut également vous aider à vous éloigner d’un monde imaginaire. Cependant, les questions que les évolutionnistes se posent demeurent : D’où venons-nous ? Comment la vie est-elle apparue ? L’existence a-t-elle un but ? Dans l’affirmative, quel est-il ?

En vous débarrassant de la fumée, des flammes et du tonnerre du théâtre évolutionniste, vous pourrez voir les véritables réponses à ces questions. Ce faisant, si vous cherchez vraiment des réponses avec un esprit et un cœur ouverts, grâce à l’aide de Dieu, vous trouverez la voie vers le seul point de départ possible, qui est le tout premier verset de la Bible : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1 :1). J’espère que vous trouverez le courage de regarder plus souvent derrière le rideau.


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