Remanier le Moyen-Orient



Alors que les experts politiques spéculent, Le Monde de Demain met en avant depuis de nombreuses années les prophéties de la fin des temps liées au Moyen-Orient. Une prophétie clé concerne l’émergence du « roi du sud » prédite dans Daniel 11. Cette puissance régionale sera composée d’un groupe de nations du Moyen-Orient et aura pour objectif de contrôler la Terre Sainte. Elle finira par affronter la puissance européenne, appelée la « bête », dirigée par l’Allemagne et sera vaincue par celle-ci (Daniel 11 :40-44).

Les mensonges désastreux de l’Évolution

La théorie de l’évolution apporte avec elle une vision du monde rempli de faussetés, elle a un impact puissant sur notre société et nos vies. Vous devez savoir de quoi il s’agit. Rejoignez-nous dans cet épisode du Monde de Demain, où nous explorerons les mensonges désastreux de l’évolution.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

La théorie de l’évolution prétend que la vie, dans toute son étonnante et belle variété, n’a besoin ni de Dieu, ni de Créateur, ni de Concepteur. Il suffit de partir d’un simple micro-organisme (sans tenir compte de son origine !) et, sur une période de 3 à 4 milliards d’années, un hasard aveugle et des forces naturelles désintéressées sont censés le transformer en tous les êtres vivants que nous voyons autour de nous, y compris l’homme. Pas besoin de Dieu.

Nombreux sont ceux qui croient à l’histoire de l’évolution. Nombreux sont ceux qui n’y croient pas. Et nombreux sont ceux qui pensent que cela importe peu. Qui se soucie de savoir comment la vie, puis l’humanité sont apparues ? Quelle différence cela fait-il ?

Pourtant, cela fait toute la différence du monde. L'évolution apporte avec elle une vision du monde rempli de faussetés, elle a un impact puissant sur notre société et nos vies. Vous devez savoir de quoi il s'agit.

Rejoignez-nous dans cet épisode du Monde de Demain, où nous explorerons les mensonges désastreux de l’évolution.

Salutations de la part de tous les membres du Monde de Demain et de notre sponsor, l’Église du Dieu Vivant.

Aujourd’hui, nous allons discuter de la façon dont la vision du monde favorisée par la croyance en l’évolution apporte avec elle trois mensonges fondamentaux et déplorables – des mensonges que vous devez rejeter, même si la société les a adoptés.

En 1859, Charles Darwin a publié son livre phare, L’origine des espèces. Dans cet ouvrage, il propose que la variété et la diversité apparemment infinies de la vie sur la planète Terre ont évolué à partir d’ancêtres communs par le biais de forces purement naturelles et non intelligentes : la sélection naturelle, basée sur la pression de la survie et de la reproduction, agissant sur des variations génétiques aléatoires et non planifiées.

L’hypothèse est, qu’à partir d’un simple organisme de type bactérien, il y a plus de trois milliards d’années, des changements génétiques accumulés au hasard et sans but, sous l’effet de pressions naturelles dénuées du moindre esprit, génération après génération, ont littéralement créé toute la vie sur Terre, dans toute sa splendeur et sa variété impressionnante, y compris l’humanité.

Selon cette théorie, il n’est pas nécessaire d’avoir un Dieu, un Créateur ou un Concepteur quelconque, mais seulement du temps et des forces naturelles sans but, sans intelligence et dépourvues d’objectifs.

Bien entendu, cela contraste fortement avec le livre de la Genèse, il affirme très clairement dans son tout premier verset : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1 :1). Il poursuit en racontant comment les origines de la vie que nous voyons aujourd’hui ici-bas furent directement créées par Dieu en six jours.

Si vous êtes un téléspectateur de longue date, vous ne serez pas surpris d’apprendre qu’ici, au Monde de Demain, il n’y a pas de contestation possible : La Bible a raison, Charles Darwin et ses adeptes ont tort. Cela dit, l’émission d’aujourd’hui ne porte pas sur ce sujet.

Nous voulons plutôt nous pencher sur l’impact de la théorie de l’évolution. Car les croyances n’existent pas dans le vide. Elles entraînent des conséquences.

Considérez ce que Jésus dit dans Luc 6 :45 (le lien avec ce que je dis ne sera peut-être pas évident au premier abord, mais soyez indulgent avec moi) : « L’homme bon tire de bonnes choses du bon trésor de son cœur, et le méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor ; car c’est de l’abondance du cœur que la bouche parle. »

Nos croyances ne restent pas cachées dans notre intérieur. Elles se manifestent à travers nos choix, nos paroles, nos actions… et elles ont un impact sur le monde que nous façonnons autour de nous – en tant qu’individus et, collectivement, en tant que société. Nous ne pouvons pas accepter un ensemble de croyances sans en subir les conséquences.

Ainsi, pour le reste de notre émission, nous n’allons pas nous concentrer sur la question de savoir si la théorie de l’évolution est vraie ou fausse.

Nous allons plutôt examiner trois mensonges spécifiques qui ont été adoptés par la société en raison de la croyance répandue en la théorie de l’évolution de Darwin. Comme nous le verrons, ces mensonges ont eu un impact dévastateur sur la société.

Mensonge désastreux n°1 : “l’homme n’est qu’un animal parmi d’autres”

Le premier mensonge est la croyance selon laquelle « l’homme n’est qu’un animal parmi d’autres ». En d’autres termes, lorsqu’une personne accepte la théorie de l’évolution, elle considère les êtres humains comme un animal de plus dans le large spectre de la vie. Rien de spécial. Rien de noble. Juste un animal évoluant parmi d’autres sur la planète Terre.

On retrouve ce type de raisonnement dans les efforts d’organisation tels que le Nonhuman Rights Project qui cherche à obtenir pour les animaux tels que les chimpanzés et les éléphants les mêmes droits juridiques que détiennent les êtres humains. Nous le voyons dans la célèbre déclaration d’Ingrid Newkirk, l’une des cofondatrices de PETA, l’organisation de défense des droits des animaux :

« Les partisans de la libération des animaux ne distinguent pas l’animal humain, de sorte qu’il n’existe aucune base rationnelle pour affirmer qu’un être humain a des droits particuliers. Un rat est un cochon, un chien est un garçon » (Vogue, septembre 1989).

Vraiment ? « Un rat est un cochon, un chien est un garçon » ? C’est une vision de l’humanité totalement fausse et méprisable ! La parole de Dieu déclare que l’homme fut créé à l’image de Dieu Lui-même ! L’homme reflète son Créateur comme aucune autre création sur Terre ne peut le faire – avec un statut moral, la capacité de penser, de raisonner et de créer, et en possession d’une nature spirituelle qu’aucun animal ne possède !

Permettez-moi de vous demander de réfléchir : Avez-vous remarqué que notre société est de plus en plus une société dans laquelle les gens suivent les dictats de leurs propres instincts et désirs, leurs propres volontés, envies et appétits, dérobant chaque fois qu’ils peuvent s’en tirer, mentant quand cela leur convient, obtenant ce qu’ils veulent sans se préoccuper des autres ?

C’est parce que la croyance dans l’évolution entraîne des conséquences, et plus nous croyons au mensonge selon lequel l’homme n’est qu’un animal parmi d’autres, plus nous nous enfoncerons dans une société animale – gouvernée par rien d’autre que des envies et des pulsions, sans se soucier des besoins, des souffrances ou des préoccupations d’autrui.

Mensonge désastreux n°2 : “il n’y a pas de norme absolue de moralité”

Le deuxième mensonge que nous allons examiner est le suivant : « Il n’y a pas de norme absolue de moralité ». La Bible est claire : Dieu est bon (Matthieu 19 :17) ! Dieu est amour (1 Jean 4 :8) ! Et Jésus-Christ dit clairement que ceux qui veulent Le suivre doivent chercher à devenir comme Dieu. C’est ce que nous voyons dans Matthieu 5 :48 : « Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. »

Dieu a créé l’homme pour qu’il soit le reflet de Lui-même, et Il tient donc l’homme moralement responsable – responsable du bien et du mal qu’il fait, le bien reflétant le caractère, la bonté et l’amour de Dieu, et le mal étant ce qui va à l’encontre de ce caractère, de cette bonté et de cet amour.

Il nous aide à voir cette norme absolue dans Ses Dix Commandements – en condamnant le meurtre, par exemple, en ordonnant au mari et à l’épouse d’être fidèles l’un envers l’autre, en nous disant de respecter la propriété de chacun et en nous ordonnant d’être honnêtes et de ne pas mentir.

Le caractère parfait du Dieu éternel représente une norme absolue de ce qui est moralement bon, juste et digne de louange. Pourtant, comme beaucoup l’ont noté, lorsqu’une vision matérialiste du monde est poussée jusqu’à ses conclusions ultimes, elle nous dit qu’il n’y a pas de norme de moralité divine, objective et absolue.

L’évolution est, à la base, un concept sans cœur et sans pitié. La vie progresse lorsque les forts dominent les faibles. Transmettre ses gènes est le seul objectif, quelles que soient la douleur, la souffrance ou la mort qui peuvent en résulter. Aucun code moral ne régit ce processus : il n’y a que la survie ou l’extinction.

Dans son livre révolutionnaire Le Gène égoïste, le célèbre évolutionniste Richard Dawkins fait une observation importante et honnête. Il écrit :

« Je pense personnellement qu’une société humaine fondée simplement sur la loi génétique de l’égoïsme universel sans pitié serait une société dans laquelle la vie serait insupportable. Malheureusement, ce n’est pas parce que nous déplorons une chose qu’elle cesse d’être vraie » (Le Gène égoïste, Richard Dawkins, éditions Odile Jacob, 1990, p. 19, traduction Laura Ovion).

Dawkins a le mérite d’affirmer que le fait de reconnaître la nature implacable et impitoyable de l’évolution nous permet de résister à nos penchants pour rechercher ce qu’il appelle « un bien commun ». Pourtant, en dehors d’un Dieu éternel, comment définir le « bien commun » et pourquoi devrions-nous nous en préoccuper ?

Dans un monde où l’humanité a censément évolué par l’action aveugle de molécules et de substances chimiques, il n’y a pas de source de « loi morale » supérieure dont il faille se préoccuper. Le lion n’est pas coupable de meurtre lorsqu’il tue et dévore le zèbre. Le cobra n’est pas coupable de vol ou d’infanticide lorsqu’il gobe des œufs dans un nid. Dans son livre L’alternative humaniste, le philosophe et humaniste laïque Paul Kurtz note que :

« Si l’homme est un produit de l’évolution, une espèce parmi d’autres, dans un Univers sans but, alors l’option de l’homme est de vivre pour lui-même » (Paul Kurtz, The Humanist Alternative,1973, p. 179).

Par exemple, il n’y a rien dans le concept d’« évolution » qui permet de condamner l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale, ou de dénoncer un violeur en série ou un pédophile. Si les nazis se sont comportés comme des lions humains et que leurs victimes étaient l’équivalent de zèbres humains, l’évolution n’a rien à dire à ce sujet. Dans le cadre de l’évolution, il n’y a rien d’immoral dans le viol, l’esclavage, voire le meurtre. Tout devient une question de liberté d’action en toute impunité, sans qu’aucune puissance supérieure ne puisse nous demander des comptes.

Mais est-ce vrai ? Pensons-nous que l’Holocauste, les nombreux massacres de Joseph Staline ou la boucherie du génocide rwandais n’étaient rien d’autre qu’objectivement mauvais ? Le viol, le meurtre ou la torture d’innocents sont-ils autre chose que des actes objectivement mauvais ?

À présent, regardez autour de vous et posez-vous la question : Vivons-nous dans un monde qui semble de plus en plus juste, droit et bon, ou semble-t-il moralement et éthiquement être à la dérive, dans la confusion et le désarroi ? Vivons-nous de plus en plus dans un monde qui embrasse la même règle du bien et du mal, ou vivons-nous de plus en plus dans un monde où les forts et les puissants établissent des règles qu’ils ne suivent pas eux-mêmes – comme la « société très désagréable » de Richard Dawkins, dans laquelle chacun est libre de faire tout ce qu’il peut faire impunément ?

Lorsque la théorie de l’évolution chuchote à la société qu’« il n’y a pas de norme absolue de moralité », les signes tout autour de nous semblent suggérer que la société est à l’écoute.

Pourtant, le troisième mensonge de l’évolution pourrait, à sa manière, être le plus désastreux d’entre tous.

Mensonge désastreux n°3 : “la vie n’a pas de but, ni de sens”

Le troisième mensonge est profond dans sa portée et dans ses conséquences. Il consiste à dire que « la vie n’a pas de but, ni de sens ». Vous êtes-vous déjà posé la question, pourquoi êtes-vous né ? Pourquoi chacun d’entre nous est-il né ? Quelle est notre raison d’être en vie ? Pourquoi l’humanité existe-t-elle ? Pourquoi est-ce que j’existe ? Quelle est votre raison d’être et quel est le sens de votre vie ?

Même si nous ne l’exprimons jamais par des mots, il y a quelque chose en nous, en tant qu’êtres humains, qui nous oblige presque à chercher un sens et un but. Même le célèbre roi David d’Israël le fit. Nous le voyons poser cette question dans le Psaume 8 :5 : « Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? »

Nous avons besoin de savoir que notre vie a un sens. Nous avons besoin d’un but. Nous avons besoin de savoir que notre vie a une valeur et une signification, et nous souffrons lorsque nous pensons que nous n’en avons pas.

Lorsque nous traversons des épreuves ou des périodes difficiles, nous avons besoin de savoir qu’il y a un but derrière tout cela – que nous ne traversons pas ces difficultés pour rien et que notre vie et nos expériences signifient vraiment quelque chose dans l’ensemble !

Le but et le sens enrichissent notre vie, nous donnent de l’espoir, et nous dotent de ce dont nous avons besoin pour surmonter les inévitables épreuves et périodes de souffrance qui surviennent dans notre vie. Viktor Frankl, le célèbre psychiatre et survivant de l’Holocauste, a écrit dans son ouvrage classique, Découvrir un sens à sa vie :

« Ce dont un être humain a besoin, ce n’est pas de vivre sans tension, mais bien de tendre vers un but valable, de réaliser une mission librement choisie. Il a besoin, non de se libérer de sa tension, mais plutôt de se sentir appelé d’accomplir quelque chose » (Découvrir un sens à la vie, “La noodynamique”, Victor Frankl, éditions de l’Homme, traduction Clifford Bacon et Louise Drolet).

Frankl avait appris, par une dure expérience, que le sens et le but sont quelque chose d’essentiel dans notre constitution et notre composition.

Pourtant, l’évolution affirme qu’il n’y a pas de but réel ou transcendant à l’existence. La vie serait un accident dénué de sens – et même la vie humaine ne serait que le résultat final d’une longue chaîne d’accidents. La vie et l’homme ne seraient pas le résultat d’une planification ou d’une intention, selon l’évolution, mais plutôt de la façon dont les molécules se sont assemblées par hasard. Dans un autre Univers, ces molécules pourraient s’assembler différemment, voire ne pas s’assembler du tout. Le hasard règne dans l’évolution – un hasard sans but, sans esprit, filtré par la mort et la souffrance dans une lutte insensée pour la survie dans un Univers qui s’en moque.

Bien sûr, de nombreux athées et évolutionnistes vous diront que cela signifie simplement que vous êtes libre de déterminer le sens de votre vie !

Peut-être s’agit-il de planter des fleurs, d’étudier la littérature, de nourrir les sans-abris ou de prouver que les ovnis sont réels – c’est à vous de choisir !

Mais cela ne fonctionne pas, n’est-ce pas ? Nous ne voulons pas imaginer un but ou un sens à notre vie. Nous voulons savoir qu’il existe un sens réel, objectif et transcendant ! La vie est trop dure, trop cruelle pour que nous nous contentions de fantasmes.

Lorsque nous lui demandons quel est le but de la vie humaine, de notre propre vie, l’évolution nous répond clairement : Il n’y en a pas. L’évolutionniste George Gaylord Simpson a écrit dans son livre Le sens de l’évolution :

« L’homme est le résultat d’un processus naturel dénué d’objectif, sans intérêt pour lui-même. Il n’était pas planifié » (The Meaning of Evolution, George Gaylord Simpson, édition révisée, Yale University Press, 1967, p. 345).

De même, dans son livre Le fleuve de la vie, Richard Dawkins note :

« Dans un Univers où les acteurs sont des forces physiques aveugles et la réplication génétique, certains vont souffrir, d’autres auront de la chance, et il n’y aura ni rime ni raison à cela, ni aucune justice. L’Univers que nous observons a exactement les propriétés auxquelles on peut s’attendre s’il n’y a, à l’origine, ni plan, ni finalité, ni mal, ni bien, rien que de l’indifférence aveugle et sans pitié » (Le fleuve de la vie, Richard Dawkins, éditions Hachette, p. 150, traduction Lê Thiên-Nga).

En fait, Dawkins l’a dit encore plus crûment dans une interview pour le magazine Omni : « Vous ne servez à rien. Vous êtes ici pour répliquer vos gènes égoïstes. Il n’y a pas de but supérieur à la vie » (Thomas Bass, “Interview with Richard Dawkins”, Omni, janvier 1990, p. 60).

Mes amis, cette vision du monde entraîne des conséquences. Dans quelle mesure le chaos sociétal auquel nous avons assisté au cours de la dernière décennie a-t-il été le résultat des idées telles que nous n’avons pas de but commun et transcendant – qui nous a été donné par notre Créateur éternel ?

Combien de personnes, à l’heure où je vous parle, font des choix pour leur vie, qui affectent leur esprit et leur corps ? Combien s’appuient sur le concept que leur existence est dénuée de sens ? Qu’il n’y a pas de but ultime à leur vie ?

L’absence de sens et l’absence de but fait qu’il n’y a pas d’espoir ! Faut-il s’étonner que nos enfants, à qui l’on a enseigné de la première à la dernière année d’école à croire en la théorie de l’évolution, semblent de plus en plus perdus, sans espoir, incapables de trouver un sens à leur vie dans ce monde ?

N’y a-t-il rien d’autre dans la vie que de manger, de survivre et d’exister dans un monde où nos vies n’ont aucun sens ? Absolument pas ! Le mensonge selon lequel nous ne sommes rien d’autre que des sacs de viande et de substances chimiques attendant simplement notre heure jusqu’à ce que nous expirions et retournions à la poussière est un mensonge satanique ! La vie a un but et un sens ! Nous ne sommes Pas obligés d’accepter les mensonges de l’évolution.

Des vérités pleines d’espoir

Avant de conclure, je dois faire une remarque : ce n’est pas parce que nous n’aimons pas des conclusions qu’elles sont fausses. Par exemple, nous pouvons ne pas aimer ce que l’évolution implique – que l’homme est un animal, ou qu’il n’y a pas de moralité objective ou de but à la vie. Mais le fait que nous n’aimions pas ces conclusions ne suffit pas à affirmer que l’évolution est fausse. Ce qui est vrai ou faux n’est pas déterminé par ce que nous tenons pour être vrai ou faux.

Mais le fait est que l’évolution n’est pas vraie. La vie n’a pas évolué à partir d’une créature ressemblant à une bactérie il y a plus de trois milliards d’années, quel que soit le nombre de scientifiques qui vous disent le contraire dans des émissions de vulgarisation scientifique et quel que soit le nombre d’enseignants ou de professeurs qui le disent dans leurs salles de cours. Si vous voulez comprendre ce que ces soi-disant experts admettent rarement, il vous faut l’offre gratuite d’aujourd’hui traitant de l’évolution et de la création.

Parce que l’évolution n’est pas vraie, que Dieu est très réel, et que vous et moi sommes bien Ses créations – fabriquées par Ses propres mains selon Son bon plaisir – alors chaque mensonge raconté par l’évolution est remplacé par son exact opposé et transformé en une proclamation d’espoir !

  • L’homme n’est pas un animal comme les autres, mais il est créé à l’image même de son Créateur – le summum de l’œuvre créatrice de Dieu !
  • Une moralité objective est à l’œuvre dans le monde, avec un vrai bien et un vrai mal. Le bien et le mal ne sont pas déterminés uniquement par les caprices des forts et des puissants.
  • La vie a un sens et un but ! Il y a de l’espoir dans nos souffrances et nos luttes, parce que notre Créateur nous a créés avec un plan et un but que nous devons accomplir dans notre vie !

La plénitude de ce plan et de ce but est trop grande pour que nous puissions en parler en détail ici dans les derniers instants qui nous restent, mais je vous encourage à consulter notre site Internet sur MondeDemain.org. Vous y trouverez une mine d’informations gratuites à votre disposition. En fait, je peux difficilement imaginer une meilleure façon de commencer à apprendre. Rendez-vous sur notre site Internet et recherchez « but de la vie » dans le champ de recherche !

Pour l’heure, permettez-moi de laisser l’apôtre Paul commenter cette finalité transcendante. Dans Romains 8, il parle de notre but et de l’espoir que ce but nous donne, même dans les moments d’épreuve et de souffrance :

« J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité – non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise – avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu » (versets 18-21).

Une existence éternelle dans la Famille de Dieu, apportant la liberté à toute la création – juste une facette du magnifique but de la vie – votre vie – qui peut être apprise, comprise et embrassée par ceux qui sont prêts à appréhender, à comprendre et à accepter la vérité.

Ce but ne peut être découvert par la logique ou la science humaines, mais il est révélé par Dieu dans les Écritures. L’évolution apporte des mensonges qui ne font que l’obscurcir. Ce but donne un sens à la vie, dans ses bons comme dans ses mauvais jours.

Ce que Dieu nous offre à tous par l’intermédiaire de Son Fils Jésus-Christ dépasse presque l’entendement, même l’espoir qu’il procure dépasse presque l’imagination. Mais il n’est accessible qu’à ceux qui peuvent regarder au-delà des mensonges tissés par le mythe de l’évolution et fixer leur esprit sur la vérité. Pour eux, comme l’a dit le Christ, il y a près de 2 000 ans : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira » (Jean 8 :32).


Le cheval noir et le cheval pâle de l’Apocalypse

Dans deux émissions précédentes du Monde de Demain, nous avons discuté du premier et du deuxième des quatre cavaliers de l’Apocalypse. Dans cet épisode, nous expliquerons la signification des cavaliers du cheval noir et du cheval pâle, et nous montrerons comment ces quatre chevaux s’inscrivent dans la chronologie de la prophétie de la fin des temps.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Une bénédiction pour ceux qui lisent et écoutent la prophétie de l’Apocalypse

Le livre de l’Apocalypse, pour beaucoup, reste un grand mystère – et beaucoup évitent de le lire. Pourtant, dès le début il nous est dit : « Heureux celui qui lit, et ceux qui écoutent les paroles de cette prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ; car le temps est proche » (Apocalypse 1 :3, Ostervald). Alors, si la lecture, l’écoute et l’observance des informations consignées dans ce livre vous apportent une bénédiction ou vous profitent, pourquoi les négligeriez-vous ?

Dans deux émissions précédentes du Monde de Demain, nous avons discuté du premier et du deuxième des quatre cavaliers de l’Apocalypse. L’évangéliste et présentateur Wallace Smith a expliqué la signification du cavalier au cheval blanc et son collègue évangéliste Rod McNair a expliqué la signification du cavalier au cheval roux. Si vous avez manqué ces émissions puissantes et instructives, vous pouvez les retrouver sur notre site Internet, MondeDemain.org.

Aujourd’hui, j’expliquerai la signification des cavaliers du cheval noir et du cheval pâle, mais je vais aussi montrer comment ces quatre chevaux s’inscrivent dans la chronologie de la prophétie de la fin des temps. De plus, je vous offrirai une ressource gratuite qui donne une explication plus détaillée du cheval noir et du cheval pâle. Restez donc avec moi car je serai de retour d’ici cinq secondes pour vous révéler comment ces quatre fléaux de la fin des temps s’inscrivent dans l’avenir pour vous et vos proches.

Le préambule du livre de l’Apocalypse

Je vous souhaite chaleureusement la bienvenue, de la part de toute l’équipe du Monde de Demain, dans cette troisième émission d’une série consacrée aux quatre cavaliers de l’Apocalypse. Aujourd’hui, j’expliquerai la signification des troisième et quatrième chevaux et de leurs cavaliers, mais il est essentiel de commencer par le début. Le préambule du livre donne les clés essentielles pour comprendre comment les quatre cavaliers s’intègrent dans le tableau d’ensemble :

« Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt, et qu’il a fait connaître, par l’envoi de son ange, à son serviteur Jean ; celui-ci a attesté la parole de Dieu et le témoignage de Jésus-Christ ; soit tout ce qu’il a vu. Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche » (Apocalypse 1 :1-3).

Il est facile de penser que ces mots sont sans importance, mais soyons prudents, car ils expliquent (1) de qui vient le message, (2) qui ouvre ou révèle ce message, (3) qui le délivre et (4) qui en sont les destinataires.

Certaines des spéculations les plus surprenantes sont le résultat de la méconnaissance de ces simples faits. Ceux qui traduisent et publient la Bible se trompent parfois. Par exemple, notez le titre donné à ce livre dans ces traductions bien connues :

  • L’Apocalypse de Jean (Version Louis Segond, 1910)
  • Le livre de l’Apocalypse – L’Apocalypse de Jean (Le Nouveau Testament en anglais moderne par J.B. Phillips)

Ces titres ont été ajoutés par la main humaine et contredisent les premiers mots du préambule.

Sept clés pour comprendre l’Apocalypse, contenues dans le préambule du livre

Ainsi, la première chose que nous devons savoir est l’identité de Celui qui ouvre notre compréhension au message. D’où la :

Clé n°1 : “Révélation de Jésus-Christ…” 

Le terme « de » indique la possession plutôt que « à propos de ». Le message ne concerne pas principalement la personne du Christ, comme beaucoup le croient. Oui, Il est intimement impliqué dans le message, mais Son rôle est avant tout de révéler, ou d’expliquer, le sens du message. Qui est Celui à l’origine du message ?

Clé n°2 : “…que Dieu lui a donnée…” 

Le message que Jésus révèle ou explique vient de Son Père. À qui s’adresse ce message en fin de compte ?

Clé n°3 : “…pour montrer à ses serviteurs…”

Il peut sembler facile de répondre à la question de savoir qui sont ces serviteurs de Dieu, mais est-ce bien le cas ? Je vous donnerai la réponse dans un instant, mais d’abord, quand les événements décrits dans le livre doivent-ils débuter ?

Clé n°4 : “…les choses qui doivent arriver bientôt…֨

Bien que le livre traite principalement des événements de la fin des temps, le message était également pertinent pour l’époque de Jean. Maintenant, qui devait transmettre le message aux serviteurs de Dieu ?

Clé n°5 : “…et qu’il a fait connaître, par l’envoi de son ange, à son serviteur Jean…”

Et Son serviteur Jean que devait-il enregistrer ?

Clé n°6 : “Jean a attesté [A] la parole de Dieu et [B] le témoignage de Jésus-Christ : [et C] soit tout ce qu’il a vu”

Il existe une clé supplémentaire pour comprendre la place des quatre cavaliers dans les événements de la fin des temps, cette clé se trouve au verset 10. C’est ici que nous trouvons le thème du livre. Jean écrit :

Clé n°7 : “Je fus saisi par l’Esprit au jour du Seigneur…” (Apocalypse 1 :10)

Ce point est essentiel à la compréhension, mais il est obscurci par de soi-disant érudits qui nous disent que le Jour du Seigneur se réfère à un jour de la semaine. Notez le même verset dans cette version paraphrasée de la Bible : « C’était un dimanche et j’étais en train d’adorer… » (Kenneth Taylor, Living Prophecies. 1965, p. 182).

Mais le Jour du Seigneur désigne-t-il le dimanche ? Chers amis, rien n’est plus faux. Comme nous le verrons, le Jour du Seigneur ne parle pas d’un jour de la semaine. Mais si c’était le cas, de quel jour de la semaine Jésus nous dit-Il qu’Il est le Seigneur ? Il n’y a pas un seul passage des Écritures qui dise que Jésus est le Seigneur du dimanche – c’est une invention humaine promulguée longtemps après la résurrection du Christ. Au contraire, Jésus Lui-même nous dit à trois reprises, lorsqu’Il parle d’un jour de la semaine, que Lui, c’est-à-dire « le Fils de l’homme », est le Maître du sabbat.

À titre d’exemple : « Le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat, de sorte que le Fils de l’homme est maître même du sabbat » (Marc 2 :27-28). Jésus observa le sabbat biblique au coucher du soleil du vendredi jusqu’au coucher du soleil du samedi. Cependant, le thème de l’Apocalypse ne concerne pas un jour de la semaine. Dans Apocalypse 1 :10, Jean fait référence, non pas à un jour de la semaine, mais à la période de l’intervention du Christ à la fin de cette ère. Cela ressort clairement du contenu du livre, que j’expliquerai plus en détail plus tard dans l’émission.

Qui sont les serviteurs de Dieu ?

Mais puisque Jean devait transmettre le message aux serviteurs de Dieu, nous devons savoir qui sont ces serviteurs. Immédiatement après le préambule, nous lisons : « Jean aux sept Églises qui sont en Asie » (Apocalypse 1 :4).

Au verset 13, nous lisons que le Christ glorifié marche au milieu de sept chandeliers et nous sommes informés au verset 20 que les chandeliers représentent ces sept Églises : « Les sept étoiles sont les anges des sept Églises, et les sept chandeliers sont les sept Églises. »

De nombreuses autres congrégations étaient disséminées dans la région méditerranéenne. Pourquoi donc avoir choisi ces sept congrégations spécifiques ? Les chapitres 2 et 3 contiennent des messages adressés à chacune de ces sept Églises ou congrégations. Les érudits reconnaissent que ces Églises revêtent une signification importante, par rapport aux autres congrégations de l’époque. Dans les messages à ces Églises, il y a des références à des événements historiques. Par exemple, la lettre à Smyrne parle de dix jours de tribulation sévère.

Un jour, dans le langage prophétique de la Bible, correspond à une année, et nous lisons dans l’Histoire au sujet de dix années de persécution sévère contre les chrétiens sous l’empereur romain Dioclétien, de 303 à 313 apr. J.-C. En outre, les messages aux Églises de Philadelphie et de Laodicée mentionnent la fin de cette ère, lorsque le Christ reviendra.

Les érudits ont beau essayer, ils ne parviennent pas à intégrer l’Église dominante dans ces sept ères historiques qui correspondraient à ces sept Églises. Il y a une raison à cela : ils cherchent les serviteurs de Dieu au mauvais endroit. La clé de la compréhension a été donnée par M. Wallace Smith, qui a souligné dans son émission que le premier cavalier de l’Apocalypse, celui monté sur le cheval blanc, représente un christianisme contrefait. L’émission dans laquelle M. Smith l’a expliqué est disponible sur notre site Internet : MondeDemain.org.

Un aperçu de l’introduction du livre de l’Apocalypse

Voici maintenant un bref aperçu de l’introduction du livre de l’Apocalypse, laquelle précède la description des cavaliers :

  • Chapitre 1 : le message vient de Dieu le Père, il est révélé par Jésus-Christ, il est donné à Jean pour qu’il le transmette aux serviteurs de Dieu, et le message concerne l’avènement du Jour du Seigneur.
  • Chapitres 2 et 3 : expliquent en détail qui sont les serviteurs de Dieu, l’Église de Dieu, à travers le temps.
  • Chapitre 4 : donne une description de Dieu assis sur Son trône dans les cieux.
  • Chapitre 5 : présente le message de l’Apocalypse, contenu dans un rouleau scellé de sept sceaux.

Il est essentiel de comprendre cela, alors regardons de plus près, en lisant les cinq premiers versets du cinquième chapitre :

« Puis je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux. Et je vis un ange puissant, qui criait d’une voix forte : Qui est digne d’ouvrir le livre, et d’en rompre les sceaux ? Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder. Et je [c’est-à-dire, Jean] pleurai beaucoup de ce que personne ne fut trouvé digne d’ouvrir le livre ni de le regarder. Et l’un des vieillards me dit : Ne pleure point ; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux » (Apocalypse 5 :1-5).

Le reste du chapitre révèle qu’il s’agit de l’Agneau de Dieu qui est digne de toute adoration et de tout honneur. Oui, comme nous le lisons dans le premier verset du livre, c’est Jésus-Christ qui ouvre les sceaux et révèle le message. Nous arrivons maintenant au :

  • Chapitre 6 : Dans lequel six des sept sceaux sont ouverts dont les quatre cavaliers.

Dans cette série sur les quatre cavaliers, le présentateur Wallace Smith a expliqué le cheval blanc, dont le cavalier représente le christianisme contrefait. Rod McNair a expliqué la signification du cheval roux, dont le cavalier porte une grande épée et enlève la paix de la Terre.

Jésus-Christ explique la signification des quatre cavaliers

Examinons maintenant le troisième et le quatrième chevaux et leurs cavaliers :

« Quand il ouvrit le troisième sceau, j’entendis le troisième être vivant qui disait : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance dans sa main. Et j’entendis au milieu des quatre êtres vivants une voix qui disait : Une mesure de blé pour un denier, et trois mesures d’orge pour un denier ; mais ne fais point de mal à l’huile et au vin. Quand il ouvrit le quatrième sceau, j’entendis la voix du quatrième être vivant qui disait : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval d’une couleur verdâtre. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre » (Apocalypse 6 :5-8).

La compréhension de ce que symbolise le troisième cavalier est assez simple. Il est monté sur un cheval noir et représente la famine. Cependant, le cavalier au cheval pâle est un peu moins évident. Il représente la mort et le séjour des mort l’accompagne, mais nous devons spéculer pourquoi il représente la mort. Notez que la dernière partie du verset 8 dit : « Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. » 

Les bêtes sauvages terrestres pourraient difficilement causer la totalité des décès provoqués par le cavalier pâle. C’est une raison supplémentaire de se tourner vers Celui qui révèle – Jésus-Christ. Comme l’ont souligné les présentateurs Wallace Smith et Rod McNair dans les deux émissions précédentes dans cette série, nous devons nous tourner vers les paroles de Jésus pour expliquer ces symboles. Ne pas le faire ouvre la voie aux spéculations les plus extravagantes. Matthieu 24 nous donne le modèle qui explique Apocalypse 6. Notons que le contexte temporel se situe juste avant le retour de Jésus :

« Il s’assit sur la montagne des Oliviers. Et les disciples vinrent en particulier lui poser cette question : Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? Jésus leur répondit : Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens » (Matthieu 24 :3-5).

C’est grâce à ce passage que nous savons que le cavalier du cheval blanc représente un christianisme de contrefaçon. Notez que les signes suivants dont parle Jésus sont dans le même ordre que les cavaliers, et nous donnent le même modèle pour les comprendre :

« Et vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres ; prenez garde que vous ne soyez troublés, car il faut que tout arrive ; mais la fin n’est pas encore. Car nation s’élèvera contre nation, et royaume contre royaume » (Matthieu 24 :6-7, Darby).

Ces déclarations de Jésus révèlent clairement que le cheval roux représente la guerre. Nous retrouvons la même séquence d’événements dans Matthieu 24 et dans Apocalypse 6. Le prochain signe que Jésus mentionne est le suivant : « il y aura des famines » (Matthieu 24 :7, Darby).

Cela correspond au cavalier sur le cheval noir qui dispose d’une balance pour mesurer la nourriture qui se fait spartiate. Après les famines, Jésus mentionne les pestes (ou épidémies) et les séismes : « Car nation s’élèvera contre nation, et royaume contre royaume ; et il y aura des famines, et des pestes, et des tremblements de terre en divers lieux » (Matthieu 24 :7, Darby).

Il est facile de comprendre pourquoi Dieu utilise un cheval pâle pour représenter ce signe, car les malades ont souvent l’air « pâle et souffrant ». Mais Celui qui révèle indique qu’il y aura d’autres causes de mort, notamment des séismes et des animaux sauvages. Collectivement, ces quatre cavaliers apportent la mort et la destruction sur un quart de la Terre : « Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre » (Apocalypse 6 :8).

Les quatre cavaliers ne sont que le commencement

Avant de terminer cette émission, nous devons examiner quelques détails concernant la place de ces cavaliers dans le fil de la prophétie biblique de la fin des temps. Nous avons vu dans le préambule de l’Apocalypse que si Dieu le Père est l’Auteur du message, c’est Jésus-Christ qui le révèle – ou donne la compréhension. Les paroles de Jésus dans Matthieu 24 nous donnent le schéma des événements de la fin des temps.

Le christianisme de contrefaçon, les guerres, les famines et les pestes tourmentent l’humanité depuis que le Christ prononça ces paroles, alors qu’y a-t-il de nouveau à propos des quatre cavaliers ? Tout simplement, ces quatre fléaux atteindront une bien plus grande ampleur.

Le cavalier montant le cheval blanc, un leader religieux charismatique, trompeur et faiseur de miracles, appelé dans l’Apocalypse le faux prophète, apparaîtra sur la scène dans un avenir proche. Il s’alignera sur un leader politique connu sous le nom de la bête. Le cavalier montant sur le cheval roux de la guerre le suivra. Le cheval noir de la famine et le cheval pâle suivront de près à leur tour. Il en résultera une mort massive touchant un quart de la Terre.

Mais la prophétie de la fin des temps ne concerne pas seulement quatre cavaliers destructeurs. Comme nous le lisons au chapitre 5, le message de l’Apocalypse est contenu dans un rouleau qui est scellé non pas par quatre mais par sept sceaux. Les cavaliers commencent leur cavalcade lorsque chacun des quatre premiers sceaux sont ouverts. Une fois ouverts, ils restent ouverts jusqu’au retour du Christ, beaucoup de choses se passent dès qu’ils commencent leur chevauchée. Après le cavalier pâle, le cinquième sceau s’ouvre et nous lisons que les serviteurs de Dieu sont martyrisés.

Le Jour du Seigneur – le message central du livre de l’Apocalypse

L’ouverture du sixième sceau est suivie de signes célestes terrifiants, indiquant le début imminent du Jour du Seigneur :

« Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau ; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme les figues vertes d’un figuier secoué par un vent violent. Le ciel se retira comme un livre qu’on roule ; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places. Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes. Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l’Agneau » (Apocalypse 6 :12-16).

Remarquez maintenant le verset 17 : « Car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister ? »

Voilà, chers amis, le thème du livre de l’Apocalypse. Souvenez-vous d’Apocalypse 1 :10, où Jean a dit : « Je fus saisi par l’Esprit au jour du Seigneur ».

Il ne s’agit pas d’un jour de la semaine. Le Jour du Seigneur est une autre façon de dire le Jour de l’Éternel – une période prophétique dont la Bible parle une vingtaine de fois comme étant le temps de l’intervention divine dans les affaires du monde, avant le retour du Christ. Paul en parle dans 1 Thessaloniciens 5 :2 : « Car vous savez bien vous-mêmes que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit ». On trouve de nombreuses références dans l’Ancien Testament, comme dans Zacharie 14 :1 : « Voici, le jour de l’Éternel arrive, et tes dépouilles seront partagées au milieu de toi. » Ésaïe nous dit qu’il s’agit d’une période d’un an « de vengeance pour l’Éternel » :

« Approchez, nations, pour entendre ! Peuples, soyez attentifs ! Que la terre écoute, elle et ce qui la remplit, le monde et tout ce qu’il produit ! Car la colère de l’Éternel va fondre sur toutes les nations, et sa fureur sur toute leur armée : Il les voue à l’extermination, il les livre au carnage […] Car c’est un jour de vengeance pour l’Éternel, une année de représailles pour la cause de Sion » (Ésaïe 34 :1-2, 8).

Oui, les quatre cavaliers ne sont que le prélude au thème de l’Apocalypse – le temps de la colère du Christ contre l’humanité rebelle. Bien sûr, les cavaliers continuent leur cavalcade pendant cette période, mais ils ne constituent pas le thème exclusif de l’Apocalypse. Ils apparaissent lorsque les quatre premiers sceaux du rouleau sont ouverts. Le septième sceau consiste en de nombreux événements qui constituent le Jour du Seigneur, l’année de la colère de Dieu sur l’humanité rebelle.


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